Citation de Sigmund Freud sur Père, Désir et Fille

Une fille doit être deux choses : classe et fabuleuse.

Même si votre mère vous trouve parfaite, elle aura toujours besoin de replacer l'une de vos mèches de cheveux.

Je voudrais être comme mon père et tous mes ancêtres qui ne se sont jamais mariés.

C'est un mauvais signe dans le ciel conjugal quand la femme dont le mari a toujours fumé s'aperçoit qu'il sent le tabac.

Mon mari me trompe, et je me demande bien avec quoi...

Il est pourtant des choses du temps jadis qui te manquent, même si tu n'as aucun désir de voir revenir ces jours anciens.

D'abord, peut-on aimer à vingt ans ? Bien sûr qu'on peut aimer, mais à condition d'avoir lu La Princesse de Clèves, La Chartreuse de Parme, Le Lys dans la vallée ou Anna Karenine, d'avoir été formé, éduqué, habitué ou conditionné à l'amour.

Le monde est à la volonté bien plus qu'à la sagesse.

Une fille sage connaît ses limites, une fille intelligente sait qu'elle n'en a pas.

Mon père m'a dit « quitte le village », on m'a dit de renoncer à Paro, Paro de renoncer à la boisson et voila que vous me dites de quitter cette maison, un jour on me dira « quitte ce monde ! »

Je n'essaie pas de me faire ressembler à une fille parce que je ne suis plus une fille. Je suis très heureux d'être une femme adulte.

Ma mère me disait toujours : " Si tu ne trouves pas de quoi vivre, tu ferais mieux de trouver quelque chose pour quoi mourir."

J'ai été marquée par de grands films américains, des actrices mythiques... Mais j'avais aussi, en moi, ce désir de notoriété.

Vous devriez tous être honnêtes. Vous ne voulez pas faire équipe avec une fille ou un vieil homme.

Il n'y a que deux femmes qui doivent se trouver mêlées à la vie de chaque homme pour son bonheur : sa mère et la mère de ses enfants. Hors de ces deux amours légitimes, outre ces deux créatures sacrées, il n'y a qu'agitations vaines, qu'illusions douloureuses et ridicules.

Sainte Mère de Dieu, vous qui avez conçu sans pécher, accordez-moi la grâce de pécher sans concevoir.

Les actes qui nous apportent une satisfaction sont toujours ceux qui sont posés avec vertu. Vivre ainsi, c'est vivre heureusement.

T'as un vrai problème mon Julien. Ta mère a crevé quand t'étais gosse alors t'as jamais fini ton Œdipe. T'as jamais pu la baiser et t'as jamais pu tuer ton père. Et te voilà à 25 balais à quémander ta vie au lieu de la diriger !

Elle cherche un mari pour sa fille et une femme mariée pour son fils.

Qui n'a jamais été allaité par sa mère se contente du pis de la chienne.

Le contribuable qui fait sa déclaration ressemble à une jeune fille qui arrive sur la plage. Il commence par retirer tout ce qui est permis et, si on ne le surveille pas, il en retire encore un peu plus.

J'étais très attaché à ma famille quand mon père est mort. J'avais 19 ans. J'étais sur le point d'aller vivre avec mon père juste avant qu'il meurt, donc c'était très intense.

Car bien que je sois un corps de cette terre, mon ferme désir est né des étoiles.

Le respect est une barrière qui protège autant un père et une mère que les enfants, en évitant à ceux-là des chagrins, à ceux-ci des remords.

Le dieu père est mort. Et l'Eglise est comme une vieille veuve qui fait du charme vainement à la jeunesse.

Dans l'immensité des Univers, mère nature nous a « produit ». Sur notre petite puce de planète, mère nature commence à nous « détruire ».

Le mariage c'est la robe. Après, évidemment, on a le mari !

Il ne faut pas regarder quel bien nous fait un ami, mais seulement le désir qu'il a de nous en faire.

La mixité généralisée de tous les espaces (jusqu'aux stades de football), mais surtout à l'école, anesthésie la virilité des petits hommes qui ont besoin de s'arracher à leur mère (...) Nous vivons dans une époque de mixité totalitaire, castratrice.

Une jolie fille m'a demandé ce qu'elle devait faire. Je lui ai suggéré de se trouver un petit ami riche.