Citation d'Albert Guinon sur Femme, Mari et Commence

L'humanité masculine se répartit en deux groupes : sable ou falaise. La femme est toujours l'océan.

Les célibataires en savent plus long sur le mariage que les hommes mariés. Sans quoi, ils ne seraient pas restés célibataires.

La femme n'est pas encore capable d'amitié : elle ne connaît que l'amour.

La femme vit en général plus longtemps que l'homme pour avoir là encore le dernier mot.

A l'ordre moral imposé d'en haut aux "gens d'en bas", nous devons préférer une société de la responsabilité partagée par tous.

Dissimuler, vertu de roi et de femme de chambre.

L'insensé se fait eunuque pour convaincre sa femme d'adultère, au cas où elle deviendrait enceinte.

Si vous aimez vos amis, n'en faites pas vos amis, vous les condamneriez à aimer votre femme !

Une femme qui se croit intelligente réclame les mêmes droits que l'homme. Une femme intelligente y renonce.

Le femme est l'être qui projette la plus grande ombre ou la plus grande lumière dans nos rêves.

Je ne suis pas du tout un playboy. J'ai passé mon temps à tomber amoureux de telle ou telle fille et de le lui dire avec un tel épanchement de passion et de tendresse, que rien quoi, ça se terminait toujours dramatiquement.

Le statut professionnel d'un homme semble être le meilleur indicateur de la beauté de la femme qu'il épousera.

Un bon mari est le meilleur plâtre pour soigner les maux d'une jeune femme.

On aime aussi bien la femme qui a du bien que celle qui n'a rien.

Un mariage est soit une corne d'abondance, soit une abondance de cornes.

Il n'y a rien qui compte plus pour une femme qu'un amour sur lequel elle peut compter.

C'est un mauvais signe dans le ciel conjugal quand la femme dont le mari a toujours fumé s'aperçoit qu'il sent le tabac.

Je ne me comprends pas. Je déteste avoir l'âge que j'ai, pas encore une femme et plus une enfant. Je déteste qu'on me dise que je suis trop vieille pour quelque chose, mais je déteste 100 000 fois plus qu'on me traite comme un enfant. Je ne suis ni l'un ni l'autre.

La seule façon pour une femme de réformer un homme est de l'ennuyer si complètement qu'il perd tout intérêt possible pour la vie.

Par le mariage la femme devient libre ; par lui, l'homme perd sa liberté.

La femme est de feu, l'homme est d'étoupe, le diable passe et souffle.

Le drame réel et insoutenable est que la femme épouse l'homme en espérant qu'il va changer, et il ne change pas, alors que l'homme épouse la femme en espérant qu'elle ne changera pas, et elle change.

Les hommes croient toujours qu'ils ont gagné la partie dès qu'une femme est heureuse. Ils ne savent pas que le bonheur lui-même peut effrayer...

La vertu est une belle femme sans passions.

Michelle Obama a parlé de la manière dont les femmes ont souvent peur de dire quoi que ce soit car nous nous inquiétons d'apparaitre faibles - que l'on va nous dire que nous exagérons, que nous dramatisons, que nous sommes [...] ► Lire la suite

C'est toujours l'inlassable médiocrité de la femme qui l'emporte.

L'idiot se marie à crédit, et accuse sa jeune épouse de lui porter malchance.

L'amitié entre homme et femme est impensable. Parce qu'il y a toujours sous-jacent le désir animal.

Demander qui est « l'homme » et qui est la « femme » dans une relation homosexuelle, c'est comme demander quelle baguette est la fourchette.

De nos jours,une fille comme elle ferait d'un mouvement politique,ou d'un syndicat. Elle serait contestataire ou membre du M.L.F.,écologiste ou n'importe quoi qui veuille dire quelque chose.Elle aurait un statut qui lui permettrait de ne pas mourir bêtement de sa [...] ► Lire la suite