Citation d'Anonyme sur Amitié, Gens et Confiance

Faites-vous toujours confiance aux gens ? Même après tout ce que vous avez traversé ?

Je le répète: c'est à l'école que se joue l'avenir de notre pays. Il faudra beaucoup de pédagogie pour vaincre les réticences et les conservatismes. Cela étant, comme partout ailleurs dans la société française, il suffirait de peu de chose pour faire naître la confiance et repartir de l'avant.

La sagesse conventionnelle peut nous causer beaucoup de problèmes, surtout en tant qu'artistes.

L'amour commence par l'amour ; et l'on ne saurait passer de la plus forte amitié qu'à un amour faible.

L'injustice humaine se manifeste chaque jour, sur tous les plans. Je la trouve beaucoup plus scandaleuse que l'injustice du destin, qui quand elle s'y met, est de taille.

Vieille amitié ne craint pas la rouille.

Je me suis toujours senti un peu seul et isolé des autres... J'ai beaucoup fait semblant quand j'étais enfant. C'était ma façon de gérer le fait que je ne me sentais pas à ma place.

Dans l'affection que je vous porte, il y a trop de passé pour qu'il n'y ait pas beaucoup d'avenir.

Quand le chariot est brisé, beaucoup de gens vous diront par où il ne fallait pas passer.

Il y a des visions qui se sont gravées dans ma mémoire et beaucoup a été oublié, mais la méfiance est restée inscrite dans mon corps, et aujourd'hui encore je m'arrête tous les quelques pas pour écouter.

Je ne fais pas confiance à la gloire.

Après avoir gravi une grande colline, on constate seulement qu'il y a encore beaucoup de collines à gravir.

Les arrêts de bus sont des endroits beaucoup plus intéressants et utiles pour avoir de l'art que dans les musées.

Seul était beaucoup mieux que seul.

Il existe une efficience basée sur l'amour, qui va bien plus loin et qui est beaucoup plus grande que l'efficience de l'ambition.

Moi, ce qu'il me faut, c'est une existence mouvementée, avec discussions et stratagèmes ! Enfin, un peu de vie avant beaucoup de mort !

Les gens qui donnent beaucoup sont sujets à prendre de même.

Au cours d'une campagne électorale, on dit beaucoup de mensonges. On ment pour synthétiser et simplifier une pensée, on ment pour aller plus vite, on ment par conviction (c'est le cas le plus tragique, car en réalité le menteur ne [...] ► Lire la suite

Bien plus que la paresse, c'est la caresse qui est la mère de certains vices et de beaucoup de fils.

On exagère beaucoup sur la recrudescence de la folie : dans une salle où il n'y a que deux personnes, il n'y a jamais plus de deux fous.

Ça fait rire les gens qui font des gamins en pensant que c'est une assurance vieillesse. On a l'âge d'avoir observé qu'on ne fait que nourrir de futurs vautours impatients. Personne n'aime les vieux, pas même leurs propres enfants.

Quand j'étais jeune, j'attendais des gens plus qu'ils ne pouvaient en donner: une amitié sans fin et une excitation constante. Maintenant, j'attends moins de ce qu'ils peuvent réellement donner: rester près des autres en silence. Et leurs sentiments, leur amitié, leurs actions nobles me semblent toujours un miracle: une vraie grâce.

Le tournant peut surgir de façon subite. Une force fait signe, un soutien survient, une alliance qu'on n'attendait plus se décide, rien n'est fatal ni définitif.

Dans la fraternité, il y a l'amitié entre les cultures, et la solidarité entre ceux qui ont beaucoup et ceux qui n'ont pas assez.

L'histoire est une galerie de tableaux où il y a peu d'originaux et beaucoup de copies.

Quand l'homme se regarde beaucoup lui-même, il en arrive à ne plus savoir quel est son visage et quel est son masque.

- Jolie fille, ça fait longtemps que vous baisez ensemble ? C'est une simple question...

- Et vous, vous baisez la votre depuis longtemps ?

- Je ne suis pas marié, cette alliance est la pour faire croire aux gens que je suis digne de confiance...

- Et vous l'êtes ?

- Bien sur que non !

Il y a beaucoup de connotations dans notre société, je pense.

Il est parsemé de ces pierres à demi cachées, c'est un sentier comme il y en a beaucoup en Grèce. Un chemin qui n'est jamais, qui serpente indéfiniment et sans dire d'avance où il va.

Ce qui fait la sérénité de beaucoup d'auteurs solennels, c'est que les sourires des lecteurs ne s'entendent pas.