Citation d'Humphrey Davy sur Art, Paris et Belles

Ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort n'est donc pas vrai. Vous savez ce qui vous rend plus fort ? Quand les gens vous traitent et traitent votre art avec dignité.

La littérature est un art inégalable qui relate la vie réelle d'une communauté, ses moeurs.

La poésie guérit les blessures infligées par la raison.

La peinture ou la poésie sont faites comme on fait l'amour - une étreinte totale, la prudence au vent, rien n'est retenu.

La poésie est une espèce de musique : il faut l'entendre pour en juger.

Le cinéma est un art du passé qui ne correspond plus aux modes d'expression contemporains ; j'ai besoin d'une palette plus large.

Enfin me voilà dehors. Je suis la seule personne, dans le monde où je vis, la seule personne qui sache se lever et partir. Quel orgueil, encore ! Mais c'est comme ça. Partir est un art trop peu connu.

Le parvis du Trocadéro me donne encore la chair de poule. J'y avais chanté en 1995 sous la direction de Seiji Ozawa lorsque, à l'occasion d'une visite à Paris de Nelson Mandela.

La poésie est aussi réflexion sur le sens puisque c'est l'écoute des intuitions, des pensées, des valeurs qui affleure le poème.

Mon grand faible est aux portes de Paris : rien ne vaut une partie de foot entre copains et enfants le dimanche dans le parc de Sceaux.

Le livre détaille sa découverte de l'informatique dans la banlieue de Melbourne, sa passion pour les commutateurs de téléphone, ses bidouillages pour ce faire remarquer par la communauté du hacking de l'époque.

La filature est, de toute évidence, un concept d'origine anglaise puisqu'il s'agit d'un art qui consiste à garder ses distances.

Le dessin et la couleur ne sont en aucun cas deux choses différentes. Quand vous peignez, vous dessinez... Lorsque la couleur est à son plus fort, la forme est à son maximum.

Tout art a ses racines dans le primitif ou alors il devient décadent.

Les extrêmes marquent la frontière au-delà de laquelle la vie prend fin, et la passion de l'extrémisme, en art comme en politique, est désir déguisé de mort.

Peut-être Paris ne vaut-il que par ses provinciaux ?

La poésie est la tendresse espiègle des jeux de mots.

Le temps est le grand art de l'homme.

La réussite, c'est un peu de savoir, un peu de savoir-faire et beaucoup de faire-savoir.

Tout art s'apprend par art, la seule poésie est un pur don céleste.

La plupart des hommes ont de la poésie une idée si vague que ce vague même de leur idée est pour eux la définition de la poésie.

La poésie est aux sentiments ce que la philosophie est aux pensées.

La poésie est désuète pour ceux qui sont gavés, mais quand le réel est insupportable, elle prend la valeur d'une arme de survie.

D'ailleurs, parce que le vent, comme on dit, n'est pas à la poésie, ce n'est pas un motif pour que la poésie ne prenne pas son envol. Tout au contraire des vaisseaux, les oiseaux ne volent bien que contre le vent. Or la poésie tient de l'oiseau.

Le mystère est le meilleur artisan du merveilleux.

Le sens de l'histoire d'un art est opposé à celui de l'Histoire tout court. Par son caractère personnel, l'histoire d'un art est une vengeance de l'homme sur l'impersonnalité de l'Histoire de l'humanité.

Car la vie, j'en suis convaincu, est faite de poésie. La poésie n'est pas étrangère à la vie.

Si Paris Hilton pense que mon derrière est affreux, je m'en moque. Moi, au moins, j'en ai un.

Celui qui excelle dans son art pour le porter au plus haut degré de perfection dont il est capable, on peut dire qu'il le dépasse en quelque sorte : ses productions transcendantes n'admettent aucune appellation.

L'intelligence de la poésie est répandue, chez les Français, autant, ou quasiment, que l'instinct maternel chez les poissons.