S'embêter, c'est s'insulter soi-même.
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Cette phrase possède 8 mots. Elle est considérée comme 1 citation très très courte.
Ce n'est pas celui qui prie pour lui-même qui est guéri. C'est celui qui prie pour les autres.
On voyage autour du monde à la recherche de quelque chose et on rentre chez soi pour le trouver.
Rien n'est imbattable à par moi qui me bat contre vous quand vous vous dites qu'un truc est imbattable !
J'avais trente ans. Devant moi s'allongeait la formidable, la menaçante route d'une nouvelle décennie.
Parce que moi quand je te regarde belle comme t'es, dans ta boutique là, avec tes ongles, avec tes bras, tes beaux yeus, tes petits seins, tes cheveux qui sentent bon comme quand on sort de la douche... Et ben pour moi, t'es une putain de princesse. Ma princesse.
Tu peux les aimer tous les deux, moi je l'ai bien fait.
Ne t'attache en toi qu'à ce que tu sens qui n'est nulle part ailleurs qu'en toi-même.
Le sage laisse à autrui La course à la célébrité Et c'est en lui-même recueilli Que le sage suscite la renommée.
Je ne sais pas comment ça se passe, mais les Allemands sont émerveillés devant moi et je suis émerveillé devant eux pour trouver de quoi émerveiller.
Tes faims de moi sont difficiles.
Où irais-je, si je pouvais aller, que serais-je, si je pouvais être, que dirais-je, si j'avais une voix, qui parle ainsi, se disant moi ?
Il faut aimer ses amis comme on aime ses enfants, pour eux et non pour soi. Le moi cause les malheurs et les chagrins.
Ris de toi avant tout, avant qu'un autre ne puisse le faire.
M'en voudrez-vous beaucoup si je vous dis un mondeQui chante au fond de moi au bruit de l'océanM'en voudrez-vous beaucoup si la révolte grondeDans ce nom que je dis au vent des quatre ventsMa mémoire chante en sourdine: Potemkine.
À part le coeur, il me semble que tout vieillit en moi proportionnellement. Et même ce coeur a de l'artificiel. Les danseuses l'ont cousu dans un sac de satin rose, du satin un peu fané, comme leurs chaussons de danse.
Mon amour tu es ma seule famille avouée, et je vois par tes yeux le monde, et c'est toi qui me rends cet univers sensible et qui donnes sens en moi aux sentiments humains.
Nous ne pouvons ajouter au langage impunément le mot qui dépasse les mots, le mot Dieu ; dès l'instant où nous le faisons, ce mot se dépassant lui-même détruit vertigineusement ses limites.
Il y a un paradoxe chez tous mes confrères, moi compris : On rêve d'être reconnus, et en même temps, que personne ne nous emmerde.
Ça y est, j'ai survécu à ma première garde. On a tous survécu. Les autres internes sont tous des gens bien. Ils te plairaient, je crois, j'en sais rien, peut-être. En tout cas moi ils me plaisent.
- De qui te sens-tu le plus proche ? D'un Dieu qui éprouve rien ou d'un Dieu qui souffre ? - Celui qui souffre évidemment... Mais moi si j'étais Dieu j'éviterai de souffrir... - Personne ne peut éviter de souffrir, ni Dieu, [...] ► Lire la suite
L'homme doit avoir juste assez de foi en lui-même pour avoir des aventures et juste assez de doute de lui-même pour en jouir.
Bon faut que j'y aille. Mais sache qu'on a pas de domestiques ici, donc si tu vois quelqu'un d'autre que moi déambuler dans le loft, appelle la police, c'est pas le cuisinier !
Si vous êtes fidèles à la France, si vous l'aimez, si vous adoptez ses lois, ses moeurs, sa langue, sa façon de penser, en un mot, si vous vous intégrez complètement à elle, nous ne vous refuserons pas d'être des [...] ► Lire la suite
Qui aime autrui plus que lui-même Se meurt de soif à la fontaine.
Je me refuse à faire de toi un objet, même quand ce serait l'Objet Aimé.
J'ai mille raisons pour t'aimer; ton charme, qualité dont je fais grand cas, et que je trouve dans peu de personnes. Ensuite, tu as des attentions infinies, tu me procures de l'amusement, des rires et du plaisir; sans toi mes [...] ► Lire la suite
Le président Hollande n'aime pas les riches, moi j'ai toujours pensé qu'il fallait les protéger, les exploiter même parce qu'ils sont un trésor pour notre économie. Les contraindre à fuir est une faute.
Seul un sot voudrait se mesurer au dieu de l'Amour, l'amour ne suit que sa voie avec les dieux eux-mêmes. Alors pourquoi pas avec moi ?
Les questions du type « Qui suis-je réellement ? » ou « Que fais-je exactement ? » ont toujours été un frein tant à l'existence qu'à l'activité. En bref, l'exercice de la vie implique une certaine inconscience qu'on pourrait définir comme une insouciance du « Quant à soi ».
Quels choix, à l'opposé, les hommes de la liberté ont-ils à proposer aux Français guettés par la résignation ou la révolte ? N'est-il pas temps de passer du malentendu à l'espoir, en permettant que ce peuple, purgé de ses fantasmes, se réconcilie avec lui-même ?