Citation de Geneviève Dormann sur Bonheur, Bien et Très

On avait les poches pleines de mouizka, si bien qu'on n'avait vraiment pas besoin, histoire de craster encore un peu de joli lollypop, de toltchocker un vieux veck au fond d'une impasse et de le relucher baigner dans son sang [...] ► Lire la suite

Quand je connaîtrai bien la mort, il sera trop tard pour disserter dessus.

C'est Lui qui donne la vie et qui donne la mort; et c'est vers Lui que vous serez ramenés. Ô gens! Une exhortation vous est venue, de votre Seigneur, une Guérison de ce qui est dans les poitrines, un Guide [...] ► Lire la suite

Un bien n'est agréable que si on le partage.

Tirer bénéfice d'un bon conseil demande plus de sagesse que de le donner.

- Je peux être franche avec toi ?

- Ah mais je t'en prie.

- Avant que j'arrive ici j'avais entendu dire que tu étais un gros connard macho !

- Ah je ne m'attendais pas à autant de franchise !

- Oh [...] ► Lire la suite

Si le théâtre est bien le laboratoire des gestes et des paroles de la société, il est à la fois le conservateur des formes anciennes de l'expression et l'adversaire des traditions.

Il faut travailler, sinon par goût, au moins par désespoir, puisque, tout bien vérifié, travailler est moins ennuyeux que s'amuser.

Dès qu'on voit la moindre lueur de bonheur dans ce monde il se trouve toujours quelqu'un pour la détruire.

Prends garde a ne pas la faire pleurer
Elle me quitte ainsi soit-il
Essaie au moins de bien l'aimer.

Tu as tes occupations et la vie se hâte ; sur ces entrefaits la mort sera là, à laquelle, bon gré mal gré, il faut bien finir par se livrer.

Avec une campagne de presse bien menée, au bout de deux mois, les Français croiraient en Dieu.

Un beau souvenir est un bien si précieux qu'il ne faut rien négliger pour lui épargner les coups dont il est sans cesse menacé !

Il y a certes bien des absurdités dans ces innombrables prières jetées tous les soirs dans la boîte aux lettres de l'infini.

Chacun se trompe ici-bas : On voit courir après l'ombre Tant de fous qu'on ne sait pas, La plupart du temps, le nombre.

Il me semble que le monstre humain, que la nouvelle économie du pouvoir de punir a commencé à dessiner au XVIIIe siècle, est une figure où se combinent fondamentalement ces deux grands thèmes de l'inceste des rois et du cannibalisme [...] ► Lire la suite

Pour tout bagage on a vingt ans,
On a l'expérience des parents,
On se fout du tiers comme du quart,
On prend le bonheur toujours en retard.

Aperçut dans Central Park, deux drapeaux blancs hissés au vent, ce pourrait-il qu'un armistice soit bientôt signé a Manhattan ? Accord de paix définitif ou simple trêve avant la reprise des hostilités ? Tout le monde sait que deux Reines ne peuvent [...] ► Lire la suite

Passez du temps avec des gens qui savent bien utiliser leurs journées. Tout comme le fer aiguise le fer, les personnes positives vous inciteront à être positif.

A quoi sert d'aller dans la lune, à quoi bon dompter l'espace, si l'on ne sait pas dompter le temps ?

Il est difficile de trouver le bonheur en soi-même, on fait peu d'estime de celui qui peut venir d'ailleurs.

Un Anglais, même quand il est seul, forme une queue bien alignée d'une seule personne.

L'égoïsme est en fin de compte le pire ennemi du bonheur humain.

La mélancolie est le plaisir d'être triste.

Les gens qui parlent bien mais ne font rien sont comme des instruments de musique ; le son est tout ce qu'ils ont à offrir.

A vingt ans, la rupture entre le plein et le vide est brutale. On ne sait pas se prévenir de la souffrance. Le bonheur qui nous arrive, on le croit éternel. Puis un jour on s'aperçoit que l'un et l'autre se remplace : la souffrance, le bonheur.

En amour, le plaisir que j'éprouve est pour moi secondaire. Ma sensualité se satisfait fort bien du plaisir que je donne.

- Qu'est ce que vous glandez là hein ?!

- Nan sir faites pas le con.

- Nan mais je fais pas le con ! Je dératise, je désinfecte !

- J'peux plus respirer.

- Ah c'est bien possible j'peux pas vous dire [...] ► Lire la suite

Si la question est donc « Est-il trop tard pour que tout aille bien ? », la réponse est évidemment oui ! Il n'y a aucun doute là-dessus. Mais si la question est « Est-il trop tard pour que la vie perdure ? », la réponse est évidemment non.

Le philosophe fait bien son travail s'il parvient à faire naître de véritables doutes.