Citation de Franklin Roosevelt sur Force, Mémoire et Hommes

Le premier des dons de la nature est cette force de raison qui vous élèves au-dessus de vos propres passions et de vos faiblesses, et qui vous fait gouverner vos qualités même, vos talents et vos vertus.

Vous pouvez juger du vrai caractère d'un homme par la façon dont il traite ses semblables.

Tout brin d'herbe a son coin de terre dont il tire vie et force ; de même l'homme est enraciné dans le sol natal dont il tire sa foi aussi bien que sa vie.

Avoir une idée originale, c'est se souvenir de quelque chose qu'on a entendu quelque part et avoir oublié où.

Un jour, à force de fouiller l'atome, un savant expliquera peut-être la joie et la paix de l'esprit par des formules mathématiques.

A force de vivre ensemble, on finit par se ressembler, à devenir comme deux vases communicants, pour le meilleur et pour le pire.

Si on fait le vide autour d'un souvenir, il ne reste plus rien que ce souvenir dans l'infini qu'on a, et ce souvenir devient l'infini.

La célébrité continuera d'être une façon d'espérer durer dans le souvenir des autres et d'obtenir par là une parcelle d'immortalité.

Ce que l'Ecriture annonce touchant les peines corporelles des âmes des damnés, à savoir qu'elles seront tourmentées par le feu de l'enfer, doit être entendu littéralement.

Il faut plonger dans une trouble ressemblance, c'est à force d'oubli que vient la connaissance.

Le plus beau mot que j'ai pu prononcer c'est ton nom. Chacun de tes sourires, chacun de nos baisers, chacun de nos contacts me rend encore plus certain/certaine de la force de mon amour pour toi. Voilà je te l'ai dit : je t'aime.

La mémoire est la sentinelle de l'esprit.

Vous les pourrirez comme vous l'avez pourri... Vous l'avez détruit, il ne distingue plus le bien du mal, il ne voit même plus le caractère sacré de la vie humaine. Je vous ai aimé et je l'ai aimé... Je suis désolée pour vous, désolée pour vous parce que rien ne peut plus vous sauver.

On ne force pas une curiosité, on l'éveille.

En vérité, c'est par la voix, c'est par le son, c'est par un style qu'on devient animal, et sûrement à force de sobriété.

Si vous avez la témérité de pécher, mesurez auparavant les forces que vous aurez pour supporter le feu de l'enfer et les châtiments de Dieu.

A force de t'avoir aimée pour ce que tu n'étais pas, j'ai appris à te chérir pour ce que tu es.

Il n'y a que ce satané souvenir (le sien ou celui des autres) qui arrive à confirmer la réalité d'une existence.

Je ne peux pas. Je ne peux pas sortir. Je suis restée éveillée pendant 4 jours. Je me souviens, chaque minutes de ces 4 jours. Le feu s'était éteint. Il faisait vraiment, vraiment sombre. Il y avait tellement d'étoiles. Je [...] ► Lire la suite

T'es bien plus qu'un ami, t'es le sang de la veine, si tu sautes, je saute aussi même s'ils sont sept, j'reviendrai avec une arme à feu si on perds.

En démocratie, c'est la force des arguments qui compte.

La force en elle-même chez une femme est assez abrasive et pas très attirante tout le temps.

Si la vertu ne se montrait parfois, le tonnerre à la main ; pour rappeler les vices à l'ordre, la raison de la force serait toujours la meilleure.

L'amour est la seule force qui peut stopper un homme dans sa chute.

Il n'y a d'hommes dignes d'exercer le pouvoir que s'ils ont assez de force d'âme pour le refuser.

L'amour est la force la plus puissante que le monde possède et pourtant c'est la plus humble qu'on puisse imaginer.

L'homme voudrait être égoïste et ne peut pas. C'est le caractère le plus frappant de sa misère et la source de sa grandeur.

L'objet qui frappe l'air développe une force égale à celle de l'air qui frappe l'objet. Tu vois que le battement des ailes contre l'air fait que l'aigle pesant peut se soutenir dans l'air le plus haut et le plus rare. [...] ► Lire la suite

Intuition. Force mystérieuse qui explique pourquoi des hommes sans pensées, sans culture et sans aucun bagage de connaissances que leur petite spécialité prennent spontanément la décision la meilleure.

Le souvenir d'une certaine image n'est que le regret d'un certain instant.