Citation de Francis Ford Coppola sur Société, Facile et Jeunes

L'abstinence totale est plus facile que la parfaite modération.

La musique, la plus belle religion du monde où on ne menace ni ne promet.

Dans l'histoire, les « droits » n'ont été que trop souvent ce que les maîtres de l'idéologie dominante avaient décidé de définir ainsi. Associé à l'expansion des marchés, le discours des droits de l'homme constitue l'armature idéologique de la globalisation. Il est avant tout un instrument de domination, et doit être regardé comme tel.

Insérer sans assimiler, dans une société multiculturelle, ce serait simplement s' imagine-t-on, imiter le modèle américain. puisque le creuset a prouvé là-bas son efficacité, pourquoi ne le prouverait-il pas chez nous ?

Dans notre société occidentale, le discours des économistes s'exprime désormais seul, comme s'exprime seul en Iran le discours des ayatollahs.

La religion catholique est une méthode pour obtenir le ciel en mendiant. Mais comme il est trop difficile à obtenir, les prêtres servent d'entremetteurs.

C'est la société qui institue des différences monstrueuses entre les personnes. Et ensuite, elle se permet de châtier les uns et pas les autres.

Je vis partout le développement de son grand principe que la nature a fait l'homme heureux et bon, mais que la société le déprave et le rend misérable.

La religion commence peut-être au bord de la détresse.

La famille de celui qui entre en religion est partout.

Dans une société harmonisée par la courtoisie, on ne traitera plus l'autre de con mais de distrait.

On a toujours plus de religion qu'on ne croit.

Je suis contre la religion parce qu'elle nous apprend à nous contenter de ne pas comprendre le monde.

Toujours le Social. Le contrat social, le sens social, l'avenir social, la souffrance sociale, le spectre social. Cette croyance à la Société est quand même la plus étrange qui ait jamais existé.

Toute société est basée sur l'aristocratie, car celle-ci, la vraie, est exigence à l'égard de soi-même et sans cette exigence toute société meurt.

C'est facile de ne rien faire, mais votre coeur se brise un peu plus à chaque fois que vous le faites.

Je vais te dire t'as raison je viens de passer la nuit dans un cimetière et j'ai bel et bien appris... quelque chose : dans une relation à deux on doit accepter l'autre personne dans sa globalité, pas seulement ce qui [...] ► Lire la suite

Nous devons nous évertuer à réduire les conflits, mais non pas à les supprimer. Leur existence même est essentielle à la société ouverte.

Une société ne devrait pas être jugée sur la façon dont elle traite ses citoyens exceptionnels, mais sur la façon dont elle traite ses criminels.

Nous sortons de la civilisation du travail, mais nous en sortons à reculons dans une civilisation du temps libéré, incapables de la voir et de la vouloir, incapables donc de civiliser le temps libéré qui nous échoit, et de fonder une culture du temps disponible et une culture des activités choisies.

C'est facile d'avoir des principes quand on est riche. L'important, c'est d'avoir des principes quand on est pauvre.

Il est toujours plus facile d'être un révolté que d'être un chef.

C'est plus facile d'avoir chacun son dieu, ça permet d'être Dieu soi-même.

La religion est une question trop importante pour ses fidèles pour être un sujet de ridicule. S'ils se livrent à des absurdités, il faut les plaindre plutôt que les ridiculiser.

Se rencontrer et s'unir, rien de plus facile ; demeurer ensemble et vivre en paix, voilà le difficile.

La société est si lente. Une féministe est un ennui.

Combien il est contraire au dessein de Dieu que la vérité de sa religion soit aussi évidente et claire pour tous les hommes qu'une démonstration mathématique.

La société se caractérisera par une surabondance d'informations. Le défi sera de ne pas confondre l'accessoire et l'essentiel.

On ne modifie pas la société par décret.

L'homme pieux et l'athée parlent toujours de religion : l'un parle de ce qu'il aime, et l'autre ce qu'il craint.