Citation de Marc Gendron sur Révolution, Sexuelle et Politiques

Les quatre leaders des grandes formations politiques françaises ne sont pas les uns contre les autres, mais bien unis comme les trois mousquetaires des cinq doigts de la main : « un pour tous, tous pourris ».

Faire une révolution c'est partir en guerre contre l'argent des autres.

Tous les vices politiques ne sont pas des vices moraux, et tous les vices moraux ne sont pas des vices politiques.

La révolution c'est de briser les conventions, c'est de refuser l'ordre de l'anti-humain.

Les hommes politiques ne connaissent la misère que par les statistiques. On ne pleure pas devant des chiffres.

Nous ne savons pas où la révolution virtuelle nous entraîne, seulement que là ou nous arriverons, nous n'aurons pas assez de RAM.

Dans les périodes de grands changements, les caractères des dirigeants politiques sont déterminants.

La laïcité repose tout entière sur la distinction pascalienne entre l'ordre des corps, l'ordre des esprits, et l'ordre de la charité ou de la sagesse.

La révolution sera la floraison de l'humanité comme l'amour est la floraison du coeur.

Le sourire est le signe le plus délicat et le plus sensible de la distinction et de la qualité de l'esprit.

L'action, quelle qu'elle soit, modifie ce qui est au nom de ce qui n'est pas encore. Puisqu'elle ne peut s'accomplir sans briser l'ordre ancien, c'est une révolution permanente.

Quand les élites politiques se comportent d'une manière irresponsable, c'est l'esprit public qui se dégrade.

Le consciencisme : Philosophie et idéologie pour la décolonisation et le développement, avec une référence particulière à la Révolution africaine.

La maladie la plus répandue chez les hommes politiques est l'amnésie.

Pour moi, le service humanitaire, ou plutôt le service de tout ce qui vit, c'est la religion. Et je ne fais aucune distinction entre une telle religion et la politique.

Deux hommes auraient pu éviter la Révolution française: Turgot, mais il était déjà mort, et moi, mais je n'étais pas encore né.

Ce n'est pas pour sauver le capitalisme que nous combattons en Russie... C'est pour une révolution à nous. ... Si l'Europe redevenait l'Europe des banquiers, des grosses bourgeoisies corrompues, nous préférerions le communisme pour tout gagner et tout détruire. Nous [...] ► Lire la suite

C'est que la révolution ne peut être vraiment vaincue.

L'après-guerre est une locution utilisée par les politiques et les économistes qui ont peur de la paix.

Il est du devoir des hommes politiques de parler : quand ils ne parlent pas, on s'imagine qu'ils pensent.

Demain, la révolution «se lèvera de nouveau, heurtant ses armes» et, à votre horreur, elle proclame avec des trompettes flamboyantes: j'étais, je suis, je serai!

Hommes politiques face à la presse : ce n'est pas en crachant dans les miroirs qu'on guérit de l'eczéma.

C'est le parent qui investit le plus son bébé qui devient le principal objet d'attachement - sans distinction de sexe - et ce rapport préférentiel n'en exclut pas d'autres.

Le camarade Mao, qu'il ait traversé « une mer de vagues déferlantes » ou escaladé « un col de montagne imprenable comme le fer », a toujours tenu sa route sans hésiter, donnant un brillant exemple au parti communiste chinois.

Il ne peut y avoir qu'une seule révolution permanente, morale : la régénération de l'homme intérieur.

Pourquoi je suis communiste ? C'est bien simple : je possède un milliard et je veux le garder.

Toute révolution qui n'est pas accomplie dans les moeurs et dans les idées échoue.

La révolution combat aussi pour la beauté. Aidez-nous pour chasser la laideur du monde.

La révolution doit apprendre à ne pas prévoir.

Nous sommes un escalier à double révolution : quand une moitié de nous monte, l'autre descend.