Réplique Kung Fu Panda sur Avoir, Savoir et Passé

Le bonheur est un maître exigeant, surtout le bonheur d'autrui.

Rien n'est facile un jour ou l'autre pour personne. Et des milliers de pages ne suffiraient pas à décrire le tourment. La terre tremble et engloutit par centaines des milliers d'humains. Alors il faut faire pousser des fleurs sur sa merde.

Je crois encore à la bonté innée des hommes. Il m'est absolument impossible de tout construire sur une base de mort, de misère et de confusion, je vois comment le monde se transforme lentement en un désert, j'entends plus fort, [...] ► Lire la suite

Le compositeur de musique est devenu, par suite de la difficulté des temps, un être singulièrement compliqué, une sorte de diplomate au petit pied ; il dissimule sans cesse, il feint de feindre, comme s'il jouait les Fausses Confidences de [...] ► Lire la suite

L'être que je serai après la mort n'a pas plus de raisons de se souvenir de l'homme que je suis depuis ma naissance que ce dernier ne se souvient de ce que j'ai été avant elle.

Cette fille, alors que je rencontrais à chaque pas des types qui me payaient à boire mais jamais à boulotter, cette fille m'a ravitaillé.

Si le cinéma est le reflet d'une société alors la nôtre doit être peuplée de cas cliniques.

Les mots prononcés ne peuvent pas être rappelés, alors réfléchissez-y à deux fois avant de parler.

La prospérité se mesure à l'aune de la seule conquête, ou de la prédation de ressources déjà existantes - et les seules qui vaillent, après quelques illusions perdues, sont celles de l'or et de l'argent.

Les profondeurs de la mer ne sont que de l'eau après tout.

La musique ne ment pas. S'il y a quelque chose à changer dans ce monde, alors cela ne peut se faire que par la musique.

Les gens bavardent. Les gens ne sont pas sûrs d'eux, alors ils parlent des autres pour qu'on ne parle pas d'eux. Ils soulignent les défauts des autres pour les faire se sentir bien dans leur peau.

Le courage, le vrai, ça n'est pas d'attendre avec calme l'événement ; c'est de courir au devant, pour le connaître le plus tôt possible, et l'accepter.

Il y eut le vin partagé, les nuits blanches, les chants du silence entre les débats fiévreux, les fugues et les murmures, les questions après les caresses. On jouait à la vie, comme des funambules.

Bambou a été pour moi la meilleure des personnes. Elle a empêché Serge de se ruiner, de s'abîmer, elle lui a donné un enfant, une nouvelle famille, elle était jeune, belle, et elle tolérait sa façon de lui parler (...) [...] ► Lire la suite

Nous sommes après tout, la seule civilisation où des préposés reçoivent rétribution pour écouter chacun faire confidence de son sexe.

Le déraisonnable de l'opéra réside dans le fait qu'on y utilise des éléments rationnels, qu'on y cherche une certaine matérialité et un certain réalisme, alors que la musique anéantit tout cela.

Ce qui lie une famille, ce n'est pas le sang, c'est d'avoir usé les mêmes planches, rempli les mêmes poêles, et vu fleurir les mêmes jardins, année après année.

Salut. Je n'ai pas appelé parce que... Toi non plus. Tu avais raison. À propos de tout. Tu avais raison. C'est l'endroit où d'horribles choses arrivent. Tu as eu raison de partir. Tu as sûrement échappé à un désastre. Regarde-moi. [...] ► Lire la suite

On a aussi peu de liberté maintenant qu'il y a vingt ans : faire l'amour était alors interdit aux jeunes filles ; maintenant c'est presque devenu obligatoire. Les tabous sont les mêmes.

Pourquoi demander plus et prétendre rester toujours en fête, alors que les fêtes n'ont qu'un temps ?

C'est vrai ce que les gens disent : pour pouvoir avancer il faut se détacher du passé. Se détacher c'est facile, avancer c'est une autre paire de manches. Alors parfois on se renferme. On essai de résister au changement. Mais les [...] ► Lire la suite

Une fleur me fut offerte,
Telle que mai n'en apporta jamais;
Je dis alors "j'ai un joli rosier"
Et négligeai la douce fleur.

Messieurs, après la faculté de penser, celle de communiquer ses pensées à ses semblables est l'attribut le plus frappant qui distingue l'homme de la brute.

L'esclave est un serviteur qui ne discute point et se soumet à tout sans murmure. Quelquefois il assassine son maître mais il ne lui résiste jamais.

Dans la vie, contrairement aux échecs, le jeu continue après l'échec et mat.

Je préfère ne pas penser à la mort, ou alors à celle des autres, c'est plus gai.

- Je veux te remettre dans mon lit et ne jamais te laisser partir.

- Alors fait le.

- Tout le monde m'aime ici. Et j'aime tout l'monde. Je veux avoir la sagesse d'aimer tout le monde. Et je suis très heureux !

- Alors vous y croyez à l'amour ?

- Totalement ! Je crois qu'il y a une histoire d'amour pour chaque êtres humains de la planète.

Cette nuit me plaisait. Les choses grandissent la nuit, mon imagination ouvre ses portes, les idées préconçues s'évanouissent. On cherche parfois le paradis aux mauvais endroits. Alors qu'on l'a à ses pieds. Ou dans son lit.