Bonsoir Londres. Permettez-moi tout d'abord de vous présenter mes excuses pour cette interruption. J'aime, comme beaucoup d'entre vous le confort du train-train quotidien, le sentiment de sécurité et la tranquillité que procure ce qui est familier et répétitif. Je les [...] ► Lire la suite
Voilà ! Vois en moi l'image d'un humble Vétéran de VaudeVille. Distribué Vicieusement dans les rôles de Victime et de Vilain par les Vicissitudes de la Vie. Ce Visage, plus qu'un Vil Vernis de Vanité est un Vestige de la [...] ► Lire la suite
Preuve est faite que visages dévots et pieuses actions nous servent à enrober de sucre le Diable lui-même.
- Qui êtes-vous ? - Qui ? « Qui » n'est autre que la forme qui résulte de la fonction de « qu'est-ce-que », et ce que je suis c'est un homme sous un masque. - Ça je vois... - De toute évidence. Je ne mets [...] ► Lire la suite
Vi Veri Veniversum Vivus Vici. Par le pouvoir de la vérité, j'ai de mon vivant, conquis l'univers.
Sous ce masque, il y a plus que de la chair. Sous ce masque, il y a une idée Creedy... Et les idées sont à l'épreuve des balles.
Les peuples ne devraient pas avoir peur de leurs gouvernements. Les gouvernements devraient avoir peur du peuple.
- Où est-ce que je suis ? - Dans ma maison. Je l'appelle la Galerie des Ombres. - C'est magnifique... [en parlant des oeuvres d'art exposées] Mais où est-ce que vous avez trouvé tout ça ? - Oh, ici et là. Beaucoup [...] ► Lire la suite
C'est à madame justice que je dédie ce concerto, en l'honneur des vacances qu'elle semble avoir prises très loin d'ici et en reconnaissance de l'imposteur qui se dresse à sa place.
Dédaignant la fortune et brandissant son épée qui fumait d'une sanglante exécution.
- Mon père était écrivain. Il vous aurait plu. Il disait que les artistes utilisaient les mensonges pour dire la vérité, et que les politiciens le faisaient pour cacher la vérité. - Un homme selon mon coeur.
J'ose tout ce qui sied à un Homme ; qui n'ose point n'en est plus un.
Le bâtiment est un symbole, tout comme le fait de le détruire. C'est le peuple qui valorise les symboles. Isolé, un symbole est dénué de sens, mais soutenu par toute une foule, le fait de détruire un édifice peut changer le monde.