Faculty of Social and Political Sciences

Evolutionism was the father of Communism and Nazism. All religious wars since the beginning of the world, together, not killed but a tiny fraction of the number of victims these regimes did in a few decades. Even taking into account the population difference between the seasons, the disproportion is frightening.  And there is between the two ideologies and Darwinism only content affinity, revealed ex post facto by a subtle reading. There is a conscious and declared continuity. Karl Marx repeatedly cited Darwin as one of its main sources, and share of evolutionism in Nazi theories of Alfred Rosenberg is well known.

In a blatant contradiction with himself, ce asserts, moreover, that the scientific method must seek only the truth, without regard for its practical consequences. What is so special about the idea of the sicentific method that it can be endowed with a meaning without any regard for its practical consequences if these, according to the same Peirce, are the only possible meaning of an idea?

" La filosofía es la reflexión crítica sobre el conocimiento y la visión del mundo. Presupone un amplio conocimiento , experiencia de vida y una cierta equidad de opiniones formadas que pueden ser objeto de discusión. Sin eso, la discusión filosófica está en carne viva y se convierte en Pure confrontación retórica vacía. pronto hay actividad para los niños. enseñanza de la filosofía en la escuela secundaria pronto degenera en puro intercambio de puntos de vista cuando no se arrastra el adoctrinamiento ideológico.
La filosofía en general, como brillantemente demostró Eric Voegelin , es en sí mismo un tipo de experiencia existencial de los que siguen en el curso de la historia ; y este tipo se define precisamente por la búsqueda del orden interno del alma como una medida para medir la orden o el desorden en la sociedad y la cultura. Sin embargo , el orden del alma supone una cierta experiencia del orden cósmico o divino que precede y articula . Traducido a más de fácil acceso a la experiencia términos prácticos individuales, el orden divino aparece como un sentido de la vida en el sentido de que Victor Frankl dio término. El sentido de la vida , a su vez , aparece en la forma específica de un deber, una misión que cumplir . La lucha por el cumplimiento del deber en el alma instala una jerarquía de prioridades que se convierte en una parte, la matriz creadora de la personalidad adulta y, por otro lado, el órgano de los sentidos que esa persona va a percibir y juzgar el orden o el desorden en la sociedad . He aquí por qué Aristóteles creía que sólo spoudaios , " hombre maduro " , el ser humano adulto personalidad bien desarrollada, es capaz de fructífera participación en la vida política , ya sea como una regla, ya sea en los ciudadanos - o incluso más sobre el filósofo " .

Plato and Aristotle were conscious, for example, that could not use general terms without first analytically decompose them into their various layers of meaning. After more than two millennia, accept gross figures of speech - "dialectical materialism", "libido", "will to power" - as if they were objective concepts, and we do not even realize that not resist more modest analytical decomposition. We reason in fetishes and magic formulas. Believed to be the pinnacle of knowledge, descend to the level puerile self-deception.

Setelah perang dunia kedua urusan politik dan keamanan telah bergeser dan mulai memfokuskan low politics diantaranya ekonomi dan kehidupan sosial termasuk lingkungan hidup. Pada makalah ini menjelaskan bagaimana China sebagai negara Industri maju yang baru yang menjadi urutan pertama penyumbang gas rumah kaca terbesar sebanding dengan tingkat pertumbuhan ekonomi karena hasil industri,  ikut meratifikasi protokol kyoto periode kedua (doha amandement) dan bagaimana dampak dari ekonomi politik mereka, dan usaha seperti apa yang dilakukan China untuk "bertanggung jawab" atas kemajuan industri mereka.

« La formalisation du présidentialisme sous la Cinquième République :
le Conseil de défense et de sécurité nationale »
Le Conseil de défense et de sécurité nationale a récemment fait l’objet de vives critiques à la fois politiques et juridiques mais demeure largement méconnu. Le nombre régulier et accru de ses réunions en formation restreinte, ainsi que le nombre de matières dans lesquelles il intervient ont conduit cet organe à symboliser l’« hyperactivité » du président de la République française. Tant et si bien que l’attitude de l’Élysée, face à la récurrence des crises majeures (terroristes, sanitaires, écologiques) et à l’accroissement du rôle décisionnel du Conseil de défense, suggèrent que cet organe participe à une formalisation de la pratique présidentialiste du pouvoir. Si son organisation tend à vérifier cette hypothèse, le Conseil ne permet en revanche qu’une extension indirecte du domaine présidentiel et, plus encore, une relégation informelle des responsabilités gouvernement. Il en ressort donc une formalisation volontairement incomplète du présidentialisme.
« The formalization of presidentialism under the Fifth Republic :
the French National Defense and Security Council »
The french National Defence and Security Council has been criticized lately on both political and legal grounds but remains widely unknown. Its numerous gatherings and the growing number of matters on which it operates, led this him to symbolize the President of the French Republic’s « hyperactivity ». Morevover, his attitude towards recurring major crisis (terrorist, sanitary, environmental) and the unprecedented decisional function of this Council, suggests its involvment in a formalization process of presidentialism. If its organisation tends to verify that hypothesis, the Council extends only indirectly presidential powers and, even more, only informally relegates governmental responsabilities. It is thus clear that the formalisation process of presidentialism remains willingly incomplete.

De manière inédite sous la Cinquième République, le « Conseil de défense et de sécurité nationale » s'est réuni une cinquantaine de fois depuis le début de l'année 2020. Cette institution largement méconnue tend ainsi à acquérir une place centrale dans les décisions de l'Exécutif relatives à la crise sanitaire et, à en croire de nombreuses réactions récentes, à des affaires courantes. Or, la croissance soudaine de cet organe n'est pas sans faire naître des griefs d'illégitimité voire d'illégalité, à la fois quant à sa propre compétence et quant à ses effets sur les autres institutions.
The « Conseil de défense et de sécurité nationale » (Council for National Defense and Security) has gathered nearly fifty times since the beginning of 2020, an unprecedented level since the beginning of the Fifth Republic. This largely unknown institution thus tends to acquire a central place in the decisions of the Executive Branch regarding the Covid-19 crisis and, according to many recent reactions, in current affairs. However, the sudden growth of this council raises serious concerns and grievances about both the legitimacy and the legality of its actual functioning as well as its effects on other institutions.

La crise sanitaire a permis à l’Exécutif de trouver dans le Conseil de défense un nouvel organe de décision. Malgré son rôle majeur désormais ancré dans la pratique, ses prérogatives, son fonctionnement et son contrôle restent entourés de certaines incertitudes juridiques.

La fin de la crise sanitaire est restée sans effet sur l'activité incessante du Conseil de défense et de sécurité nationale. L'année écoulée fournit néanmoins de nouvelles réponses à l'étude de cette « hyperactivité ». Ce premier article a pour objectif d'en souligner la cause principale, qui en fait un symptôme de la présidentialisation de la V e République, par-delà son utilité et son efficacité en temps de crise. Un second article a pour objectif d'en discerner les conséquences : son poids sur le Secrétariat général de défense et de sécurité nationale, ainsi que son rôle dans l'exportation manquée de sous-marins vers l'Australie, montrent que l'hyperactivité du Conseil de défense peut également être une source de dysfonctionnements exécutifs.

La fin de la crise sanitaire est restée sans effet sur l’activité incessante du Conseil de défense et de sécurité nationale. L’année écoulée fournit néanmoins de nouvelles réponses à l’étude de cette « hyperactivité ». Un premier article en a souligné la cause principale, liée à la présidentialisation de la Ve République, par-delà son utilité et son efficacité en temps de crise. Ce second article a pour objectif d’en discerner les conséquences : son poids sur le Secrétariat général de défense et de sécurité nationale, ainsi que son rôle dans l’exportation manquée de sous-marins vers l’Australie, montrent que l’hyperactivité du Conseil de défense peut également être une source de dysfonctionnements exécutifs.

Vendredi 2 septembre s’est réuni pour la première fois un Conseil de défense « énergétique » sous la présidence du chef de l’État français, Emmanuel Macron. L’utilisation répétée de ce conseil restreint, au sortir d’une crise sanitaire qu’il a déjà contribué à gérer, conduit à s’interroger sur les fondements juridiques de sa compétence, ainsi que sur l’effet politique de ces nouvelles interventions. Une telle sollicitation du Conseil de défense a pour particularité de survenir à un moment constitutionnel où s’ouvre une nouvelle législature, au sein de laquelle la majorité parlementaire soutenant la présidence s’avère toute relative. Cette activité marque-t-elle la permanence d’un présidentialisme pourtant devenu anachronique ?