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US Open: "Ça commence à gratter", Cazaux ne devrait pas faire durer sa dernière extravagance capillaire

Dans la foulée de sa brillante qualification pour le 2e tour de l'US Open, le Français Arthur Cazaux s'est arrêté sur sa nouvelle coupe de cheveux, qu'il ne devrait pas tarder à abandonner, car "ça commence à gratter".

En Australie, sa coupe mulet, destinée à se mettre le public local dans la poche, avait rendu fous ses parents, mais cet écart lui avait été pardonné étant donné qu'elle l’avait emmenée très loin dans le tournoi (jusqu’en huitièmes de finale). Pour l’US Open, dernier tournoi du Grand Chelem de la saison, qu’il vient d’entamer par une victoire aisée sur l’Espagnol Pablo Carreno Busta, deux fois demi finaliste du tournoi (2017 et 2020), Arthur Cazaux a abandonné la "Team mulet" pour les tresses africaines. Une nouvelle recette pour l’emmener le plus loin possible à Flushing?

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"C'était vraiment pour le kiff"

"Comme vous le savez, moi j'adore tous les styles un peu funs. J’avais tenté le mulet en Australie. Là, je me suis dit, ‘je suis aux Etats-Unis, faut que je fasse une coupe un peu afro-américaine’. Quoi de mieux que de faire des tresses. Il y avait un salon de coiffure à Winston-Salem à côté de l’hôtel, tenu par des Sénégalaises. Je me suis dit: 'C’est le timing parfait'", a souri le Français à notre micro après sa qualification. Malheureusement, cette nouvelle coupe de cheveux - qualifiée de "désastre capillaire" par certains internautes - ne devrait pas résister à un deuxième match.

"Ça fait une semaine que je les ai, ça commence un peu à se détacher et surtout ça fait une semaine que je n’ai pas fait un shampoing, parce qu’on m’a dit qu’il ne fallait pas mettre trop d’eau, et là, je n’en peux plus, ça commence à gratter", a confié le Français. "Je vais faire un shampoing. Ça aura au moins tenu une semaine, ça aura fait parler les gens sur les réseaux sociaux. Je crois qu’elle n’a pas fait l’unanimité malheureusement. Mais bon, je m’en fous un peu. C’était vraiment pour le kiff."

QM avec Eric Salliot à New York