Réinventer la ville grâce à l’autopartage

Contenu proposé par LYNK & CO

L'équipe éditoriale du Parisien / Aujourd'hui en France n'a pas participé à sa rédaction.

Plus de 77 terrains de football : c’est la surface occupée par les places de stationnement de Stockholm. Et la capitale scandi­nave est loin d’être une exception : chez ses homologues euro­péennes, les aménagements font eux aussi la part belle à l’automobile. Sachant qu’une voiture reste stationnée 96 % du temps, l’espace urbain qui pourrait être reconverti en réduisant le nombre de véhicules est donc considérable.

Des villes pensées pour les gens qui y vivent et non pour les voitures qui y circulent, voilà juste­ment le souhait d’une majorité d’habitants des capitales européennes, selon une étude* menée par Lynk & Co et Ipsos. À Paris par exemple, 51 % des sondés estiment que les espaces verts devraient remplacer les places de stationne­ment. Trottoirs ou pistes cyclables plus larges sont également cités. Sans surprise, les citadins déplorent également les embouteillages récur­rents, notamment à Rome.



Plus de vert, moins de voitures : le défi est de taille. Mais certaines capitales s’y attellent déjà. C’est le cas de Paris, avec le chantier « Réenchanter les Champs Élysées », qui vise notamment à convertir la place de la Concorde en allée de promenade.

De l’économie de la propriété à celle de l’usage

— Dessiner cette ville du futur nécessitera toute­fois des changements radicaux dans les modes de déplacement. Oubliée la voiture individuelle, vive l’autopartage ! La mise en commun d’un véhicule entre plusieurs usagers permet de décongestionner le trafic routier, de réduire la consommation d’énergie comme les émis­sions de polluants et de libérer de l’espace urbain. Selon l’étude 2022 de l’ADEME, une voiture partagée permet de remplacer entre cinq à huit voitures personnelles. De plus, l’au­topartage permet de ne plus dépendre de l’achat – souvent conséquent – d’un véhicule afin de se déplacer. Ce passage de l’économie de la propriété à celle de l’usage est de plus en plus populaire auprès des jeunes : selon l’étude Lynk & Co, 34 % des Parisiens de 18 à 34 ans en ont une image très positive.

Un abonnement ultra-flexible

— Convaincu des bénéfices de l’autopartage sur la qualité de vie et de ville, Lynk & Co en a fait le coeur de son offre. La marque, fondée en 2016 par Alain Visser et issue du joint-venture entre le groupe chinois Geely et le constructeur automobile suédois Volvo, ambitionne de révo­lutionner le modèle de possession de la voiture individuelle. Comment ? Grâce à un système d’abonnement ultra-flexible dans lequel l’usager ne paie que pour l’utilisation qu’il en fait. Et ça fonctionne ! Présente dans sept pays euro­péens, la première entreprise automobile 100 % digitale affiche déjà une communauté de 170 000 membres. Elle devrait accélérer son développement en France, avec l’ouverture prochaine du premier club Lynk & Co.

*Étude « Cities Reimagined by Lynk & Co » menée par Ipsos et Lynk & Co auprès de 8 000 répondants à Amsterdam, Berlin, Bruxelles, Londres, Madrid, Paris, Rome et Stockholm.

Le « Netflix » de la mobilité

Lynk & Co s’impose comme un acteur disruptif de la mobilité avec une formule d’abonnement simple et sans contrainte.

  • Tarif fixe : un abonnement mensuel à 550 euros sans autres frais additionnels que l’essence et les coûts de recharge de la batterie.
  • Tout en un : un bouquet de services inclus (assurance, révision planifiée, assistance dépannage, et bien d’autres encore).
  • Un véhicule unique aux multiples fonctionnalités : la 01, un SUV hybride rechargeable à la fois performant et durable. Un seul choix, celui de sa couleur (noire ou bleue).
  • Le partage au coeur de son ADN : l’abonné peut sous-louer la 01 lorsqu’il ne l’utilise pas, dans une logique d’économie circulaire.
  • L’appartenance à une communauté : les membres Lynk & Co partagent des expériences lifestyle et des moments conviviaux dans les 11 clubs de la marque.