« Il y a des limites à la mauvaise foi » : règlement de comptes au tribunal autour des « 10 Commandements »

    Le tribunal de Paris a écouté ce jeudi les arguments des uns et des autres dans l’affaire qui oppose Élie Chouraqui et Pascal Obispo, qui reprend les chansons des « Dix Commandements » pour créer un nouveau spectacle. Décision attendue le 17 janvier.

    Élie Chouraqui, metteur en scène historique des « Dix Commandements ». AFP/François Guillot
    Élie Chouraqui, metteur en scène historique des « Dix Commandements ». AFP/François Guillot

    « Qui a le droit ? », chantait Patrick Bruel. Lui n’a rien à voir avec l’affaire réunissant ce jeudi 7 décembre six avocats, un juge, ses assesseurs et greffiers devant la 3e chambre civile du tribunal de Paris. Il y est question de chansons et de droit d’exploitation, de spectacle.

    Qui a le droit pour lui ? Élie Chouraqui, metteur en scène historique des « Dix commandements », spectacle dont il revendique la paternité ? Ou Pascal Obispo, qui en signe les musiques, et ses partenaires dont le producteur Albert Cohen et les paroliers, Lionel Florence et Patrice Guirao, qui présenteront « Les 10 Commandements - l’envie d’aimer », à partir du mois de mars 2024 à Paris, puis en tournée.