Dans «Chefs à domicile», sur M6, Norbert Tarayre défie les ex de «Top Chef»

Nous avons assisté au tournage de «Chefs à domicile, livraison exceptionnelle», diffusée à partir de ce lundi 25 avril sur M6. Une nouvelle émission dans laquelle Norbert Tarayre et un autre chef connu s’affrontent en préparant et livrant des repas... sans connaître les goûts de leurs convives.

Meudon (Hauts-de-Seine), le 15 mars. Chaque semaine, Norbert Tarayre (à droite) va affronter un ancien candidat de «Top Chef». Ici il se mesure à Pierre Augé. LP/Olivier Corsan
Meudon (Hauts-de-Seine), le 15 mars. Chaque semaine, Norbert Tarayre (à droite) va affronter un ancien candidat de «Top Chef». Ici il se mesure à Pierre Augé. LP/Olivier Corsan

    « Ces fours sont plus compliqués à faire marcher qu’une bagnole ». Avec bonhomie, agitation et autodérision, le chef Norbert Tarayre se met aux fourneaux dans la vaste cuisine de l’école Ducasse de Meudon (Hauts-de-Seine). Plus calme, son collègue Pierre Augé fait chauffer les casseroles face à lui. Le concept de « Chefs à domicile, livraison exceptionnelle » qui démarre ce 25 avril sur M 6 (tous les soirs, du lundi au vendredi, à 18h40) : chaque semaine, Norbert Tarayre affronte un ancien candidat de « Top Chef » en préparant des repas… sans connaître les goûts, les identités et le nombre de convives qui les recevront ! Une nouvelle émission, proposée par M 6 et produite par Endemol, inspirée d’un programme allemand.

    À distance et au contact de ces gourmands mystères, l’animateur Jérôme Anthony envoie des indices à Norbert et Pierre via écran interposé, SMS ou appel. Tout est fait pour compliquer la tâche des cuisiniers, qui observent notamment à distance la façon dont est dressée la table pour s’en inspirer. « Ils ont quelques indices en vidéo mais les messages qu’ils reçoivent au fur et à mesure peuvent les forcer à revisiter leurs plats. À l’inverse des autres programmes culinaires du groupe, il y a un travail d’enquête auquel les téléspectateurs peuvent participer. Les conseils de préparation sont cependant toujours là », détaille William Lebugle, chef adjoint de l’unité des flux externes de M 6.