« L’Amour est dans le pré » sur M6 : « Justine, c’est un vrai colonel, elle commence à me saouler ! »

Chez le plus attendrissant des agriculteurs de cette saison 18, Patrice, l’heure est à la cohabitation avec ses deux prétendantes. Et la séquence des courses a créé le malaise entre les deux femmes.

Entre Véronique et Justine, Patrice (en photo) a choisi deux prétendantes très différentes. M6/Cécile Rogue
Entre Véronique et Justine, Patrice (en photo) a choisi deux prétendantes très différentes. M6/Cécile Rogue

    Attention, dans ce troisième épisode de cette dix-huitième saison de « L’Amour est dans le pré », les choses commencent à se corser. Surtout chez Patrice. Alors que certains speed-datings ne sont pas encore terminés, c’est déjà l’heure de la vie à trois… Chez le quadra qui n’a jamais connu l’amour. Entre Véronique et Justine, l’éleveur ne pouvait pas choisir plus différentes. Et après des premières piques, la situation entre les deux prétendantes et leur bien-aimé va se tendre « sur le terrain ménager », comme le glisse Karine Le Marchand en voix off.

    Arrive donc la fameuse étape des courses à faire pour le trio de colocataires. Chaque année, cet exercice donne lieu à des séquences de crêpages de chignons plus drôles les uns que les autres. Les fans sont loin d’oublier le débat houleux entre Laurence et Nathalie, les deux prétendantes de Jean de la saison dernière, qui se sont écharpées pour savoir si une quiche devait se faire avec une pâte feuilletée ou brisée…

    « Du jamais-vu dans l’émission »

    Pour les courses, deux méthodes s’affrontent. Et cette fois, les embrouilles commencent même avant d’entrer dans le supermarché. Justine aime faire des listes… Pas Véronique car elle oublie de « toute façon toujours quelque chose ! »



    Avec une poigne et une rigueur de caporal, Justine demande d’abord à Patrice de « visualiser » les rayons de la grande surface… Alors qu’ils sont encore chez lui. Tout cela pour faire la liste des produits dans l’ordre des rayons. « Du jamais-vu dans l’émission », glousse l’espiègle Karine Le Marchand, en voix off.

    « Elle dirige tout. Ça m’agace ! »

    Dans la boutique, forcément cela s’envenime. Toujours avec un ton professoral, Justine enchaîne sans laisser qui que ce soit en placer une : « On va faire le magasin dans l’ordre et puis, moi, je checke la liste au fur et à mesure. On fait comme ça ? » Et c’est parti pour du shopping au rythme d’un défilé militaire. Exaspérée, Véronique suit avant de lâcher entre deux rayons : « Justine, c’est un vrai colonel. »

    Elles ne sont pas d’accord sur le choix des pommes pour la tarte. Des Golden, côté Justine, des Gala, pour Véronique. La première finit logiquement par ulcérer la seconde : « Elle commence à me saouler, là. Elle dirige tout. Ça m’agace ! » Et contre toutes attentes, cette tension n’a pas pour autant perturbé Patrice, définitivement dans son monde. « Les deux filles s’entendent très bien », commente-t-il, face caméra. La vérité des uns n’est visiblement pas celle des autres.