Stéphane Bern et l’argent : « Je me suis mis beaucoup de dettes sur le dos »

SÉRIE (5/5). Télévision, radio, édition, patrimoine… Stéphane Bern, véritable bourreau de travail, est sur tous les fronts et perpétuellement dans l’actualité. Un « business » très lucratif ?

« Dans ma vie, je ne suis jamais allé renégocier un contrat. J’ai été mal payé. J’ai accepté des prime time à 2 000 euros la soirée. » Montage LP – LP/Hervé Sénamaud; Fred Dugit; DR
« Dans ma vie, je ne suis jamais allé renégocier un contrat. J’ai été mal payé. J’ai accepté des prime time à 2 000 euros la soirée. » Montage LP – LP/Hervé Sénamaud; Fred Dugit; DR 

    Notre série sur Stéphane Bern

    1. Enfant, « j’étais très insolent »
    2. « Monsieur têtes couronnées »
    3. Stéphane Bern, vie publique, vie privée
    4. Comment il séduit les politiques… ou pas
    5. « Je me suis mis beaucoup de dettes sur le dos »

    Un nouveau « Secrets d’Histoire » sur France 3, un « cahier de vacances » spécial Histoire à sortir en mai (Plon), « les Secrets de l’Élysée » (Plon), son dernier livre toujours en rayons, l’épisode 2 de « Bellefond » qui devrait prochainement arriver sur le petit écran comme « le Village préféré des Français », sans oublier, au quotidien, « Historiquement vôtre… » sur les ondes d’Europe 1 et des « spéciales » comme le 14 juillet. Ce à quoi il faut ajouter les réunions et déplacements pour la Mission Patrimoine ou pour la fondation qui porte son nom.

    N’en jetez plus, la cour est pleine ! Stéphane Bern est partout, tout le temps, un incontournable souriant de l’actualité, et pour lequel le mot « ubiquité » semble avoir été inventé.