VIDEOS. Diane Von Furstenberg fête la Saint-Valentin entourée de super-modèles

 

VIDEOS. Diane Von Furstenberg fête la Saint-Valentin entourée de super-modèles

    La styliste Diane von Furstenberg a aussi succombé dimanche à la recherche de nouveaux formats lors de la Fashion Week de New York, abandonnant son défilé traditionnel pour une brève fête dans ses studios, célébrant, Saint-Valentin oblige, le «pouvoir de l'amour». Les invités entraient par un labyrinthe couvert de miroirs avec, sur les murs, quelques réflexions de la styliste : «Si tu doutes de ton pouvoir», «tu donnes le pouvoir au doute». Ou encore «sois toi».

    Au premier étage de ses studios, près de la High Line dans le quartier de Meatpacking, des serveurs stylés proposaient champagne et petits fours aux invités. Des mannequins stars, dont Karlie Kloss en longue robe dorée, Gigi Hadid et Kendall Jenner, et la sublime Irina Shayk posaient et dansaient sur une petite scène. Irina Shayk ayant de faux airs d'Esmeralda pour l'ocasion.

    A son arrivée, Diane von Furstenberg, dont les appartements sont au-dessus de ses studios, a été assaillie par les photographes et des invités armés de leurs téléphones. Elle a dansé quelques minutes avec les modèles sur une chanson datant de 1979, «We are family».

    Nouveaux formats pour nouveaux mode de consommation

    Saint-Valentin oblige, des serveurs proposaient de minuscules coeurs en gelée orangée à la vodka. «Pour notre expérience automne 2016, nous amenons tout le monde chez nous, recapturant l'intimité. Nous offrons aussi, pour la première fois, quelques silhouettes immédiatement disponibles à l'achat», précisaient les notes de collection de DvF. «Juste à temps pour les fêtes des Oscars et autres événements glamours».

    A l'heure d'Instagram et des réseaux sociaux, de plus en plus de créateurs à New York essaient de mettre en vente au moins une partie de leur collection dès qu'elle est dévoilée, et non plus, comme c'était jusqu'à présent la règle, plusieurs mois plus tard.

    Ravis d'être entrés dans l'antre de l'une des femmes les plus puissantes de la mode new-yorkaise, et d'approcher de célèbres mannequins à quelques centimètres, beaucoup d'invités n'avaient pas forcément comme priorité de regarder les détails de la collection : imprimés légers, longues silhouettes fluides, tons de rouille, bottes de daim perforé couleur camel, et parfois de petits bibis noirs pour finir la silhouette. La rançon de la gloire.