Périphérique à 50 km/h, attentat à Paris, nouveau variant du Covid-19 : les infos à retenir ce midi

Voici les actualités que nous avons sélectionnées pour vous ce jeudi 7 décembre à la mi-journée.

La mairie de Paris a annoncé fin novembre son souhait d'abaisser la vitesse maximale du périphérique parisien dès septembre 2024. LP / Olivier Lejeune
La mairie de Paris a annoncé fin novembre son souhait d'abaisser la vitesse maximale du périphérique parisien dès septembre 2024. LP / Olivier Lejeune

    L’info à ne pas manquer

    L’État « ne validera pas » la limitation de vitesse à 50 km/h sur le périphérique parisien fin 2024, a annoncé ce matin le ministre des Transports, Clément Beaune, sur Franceinfo. La mesure était souhaitée par la mairie de Paris afin de réduire les nuisances sonores et la pollution de l’air pour les riverains, ainsi que les risques d’accident. « Si vous faites en même temps la voie réservée et en même temps le périph à 50 km/h, vous allez rendre les gens fous », s’est justifié le ministre des Transports à propos de son refus. Même si le périphérique est géré par la Ville de Paris, un changement de limitation de vitesse doit en effet être validé par l’État.

    Autre annonce forte de la part de Clément Beaune ce matin, le prix des billets des Ouigo et Intercités sera gelé en 2024. « Le train doit rester abordable et populaire », a-t-il déclaré. Il a également fait savoir qu’un passe rail devrait être créé « d’ici l’été 2024 ». Ce passe doit permettre d’emprunter de façon illimitée les TER et Intercités. Son prix, qui doit être encore précisé, devrait se situer autour de 49 euros par mois, selon le ministre.

    Ce qu’il faut aussi retenir

    Ça vous concerne

    Le nouveau variant du Covid-19, le JN.1, va-t-il jouer les troubles fêtes à Noël ? Alors que l’épidémie est repartie à la hausse depuis trois semaines, ce variant se propage très rapidement. Il est désormais majoritaire en Île-de-France. Aux États-Unis, les projections dessinent un pic d’infections autour de Noël, à un niveau beaucoup plus élevé que le précédent en plein été. En France aussi, « plusieurs éléments penchent en faveur de cette hypothèse », estime auprès du Parisien Mircea Sofonea, maître de conférences en épidémiologie à l’université de Montpellier (Hérault).