Sarcelles rêve d'une cité de l'auto

Sarcelles rêve d'une cité de l'auto

    En désaccord sur le montant de l'indemnité proposée par le conseil général, le concessionnaire Renault de l'avenue Paul-Valéry, exproprié par l'arrivée du tramway, qui va empiéter sur sa parcelle, menace de quitter Sarcelles avec ses 70 salariés. « Nous lui avons proposé un package une indemnisation de 2,5 millions d'euros avec des terrains à la clé près de Citroën mais il veut plus », indique-t-on au conseil général. Cet emplacement situé en face du centre sportif Nelson-Mandela, pourrait aussi intéresser l'ancien concessionnaire de Villiers-le-Bel Pétillon, qui étudie cette possibilité depuis que la piste de Groslay est compromise.

    Une première prise de contact entre Vincent Pétillon et François Pupponi, député-maire (PS) de Sarcelles, a déjà eu lieu et un rendez-vous avec l'EPA Plaine de France, en charge du développement économique de la zone, s'est tenu vendredi. Son arrivée à côté du garage Citroën permettrait à Sarcelles d'avoir une mini-cité de l'automobile.