Sécurité dans le bois de Vincennes : « Près de 4 150 PV ont été dressés depuis le début de l’année »

Emmanuel Grégoire (PS), premier adjoint à la maire de Paris, répond aux villes voisines du Val-de-Marne qui dénoncent des problèmes d’insécurité et de nuisances dans le bois. Il évoque des phénomènes sociaux parfois anciens sur lesquels les services de la capitale, comme la police municipale, sont mobilisés pour juguler les incivilités.

Bois de Vincennes, le 26 septembre 2023. Les agents de la police nationale et municipale patrouillent dans le bois, assurant des missions de répression, de prévention et d'accompagnement des publics vulnérables. LP/Olivier Arandel
Bois de Vincennes, le 26 septembre 2023. Les agents de la police nationale et municipale patrouillent dans le bois, assurant des missions de répression, de prévention et d'accompagnement des publics vulnérables. LP/Olivier Arandel

    Il y a eu le sujet des arbres coupés, de la Foire du Trône ou encore l’entretien de routes… Entre la Ville de Paris et ses voisines du Val-de-Marne, les conflits ne manquent pas. À cela s’ajoutent les « nuisances » qui touchent parfois à la sécurité. Emmanuel Grégoire (PS), premier adjoint d’Anne Hidalgo à Paris, leur répond sans détour.

    Les villes riveraines du bois de Vincennes se plaignent de « nuisances » : prostitution, sans-abri, fêtes sauvages… Des familles ne s’y promèneraient plus. Que leur répondez-vous ?