Le journaliste sportif connaissait bien la famille de l'élu azuréen, "il jouait au foot avec [son] frère aîné". Une même passion pour le ballon rond et pour sa ville.
"Didier Roustan était amoureux de l'AS Cannes, il en parlait à l'antenne, il a fait beaucoup pour le foot et pour le club."
La mère de Didier Roustan est décédée il y a quelques années. "Il était à un âge trop jeune pour déjà partir", regrette Philippe Tabarot.
"La disparition de notre ami Didier Roustan m’attriste profondément. Homme extrêmement attachant, au grand cœur, il nous manquera terriblement. Voix emblématique, grand journaliste sportif, respecté et apprécié de tous, il savait, par sa justesse et son talent, rendre le football vivant à travers des analyses passionnées et une bienveillance qui transcendaient les écrans", a de son côté réagi la députée des Alpes-Maritimes Michèle Tabarot.
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