Aller au contenu

Claude Spanghero

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Claude Spanghero
Description de cette image, également commentée ci-après
Claude Spanghero en 1971.
Fiche d'identité
Naissance (76 ans)
Payra-sur-l'Hers (France)
Taille 1,96 m (6 5)
Poste Deuxième ligne, troisième ligne centre puis entraineur
Carrière en senior
PériodeÉquipeM (Pts)a
1972-1980
1981-1989
1991-1997
1998-2000
RC Narbonne
RO Castelnaudary
SC Pamiers
AS Bram
Carrière en équipe nationale
PériodeÉquipeM (Pts)b
1971-1975 France 022 (12)
Carrière d'entraîneur
PériodeÉquipe 
1981-1989
1991-1997
RO Castelnaudary
SC Pamiers

a Compétitions nationales et continentales officielles uniquement.
b Matchs officiels uniquement.

Claude Spanghero est un joueur français de rugby à XV, né le à Payra-sur-l'Hers, de 1,96 m pour 104 kg[1],[2],[3].

Il a évolué au poste de seconde ligne aux côtés de son frère Jean-Marie au RC Narbonne, leur club de toujours (Claude finira cependant sa carrière à Pamiers). Il occupa aussi le poste de troisième ligne centre[4],[5].

Il est le 4e garçon de la fratrie Spanghero, l'aîné étant Laurent, le cadet Walter, et le 3e Jean-Marie. Il est dans les années 1980 président du Rugby olympique castelnaudarien[6].

Blason de l'AS Bram dont Claude Spanghero fut le président.

Il est président de l'AS Bram de 1998 à 2001. Dernier match officiel avec l'AS Bram en 2000 (52 ans)[réf. nécessaire].

Il est actuellement gérant de sociétés à Castelnaudary, dont une fabriquant des plats cuisinés[7].

Claude Spanghero est également vice-président de l’« Amicale des internationaux du rugby français ».

Statistiques en équipe nationale

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. « Claude Spanghero », sur finalesrugby.fr (consulté le ).
  2. Yves Bordenave, « La touche, c'était un combat » Accès payant, sur lemonde.fr, (consulté le ).
  3. « Les coulisses de l'exploit. La famille Spanghero », sur ina.fr, (consulté le ).
  4. « Série Capitaine Fracasse (5/5) - Et Claude Spanghero ferma la porte ! » Accès payant, sur midi-olympique.fr, (consulté le ).
  5. Richard Escot, « Un jour - une finale : 1979, Narbonne met le feu au Parc », sur lequipe.fr, (consulté le ).
  6. Justine Bonnery, « Les Spanghero, dans l'œil de l'aîné », sur ladepeche.fr, (consulté le ).
  7. Les fractures de la société française : Walter Spanghero «Avoir un nom ne suffit plus...»

Liens externes

[modifier | modifier le code]