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Mathurin Méheut

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Mathurin Méheut
Mathurin Méheut en 1941
Fonction
Peintre officiel de la Marine
Biographie
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Œuvres principales
Ramasseuse de sel à Guérande (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Mathurin Méheut, né le à Lamballe et mort le à Paris[1], est un peintre et illustrateur français.

Mathurin Méheut naît dans une famille d'artisans. En 1896, il entre en apprentissage à Lamballe chez Mathurin Guernion, peintre en bâtiment ; de là sont connus ses premiers dessins datés. Il entre à l'École régionale des beaux-arts de Rennes (Ille-et-Vilaine) en 1898 et séjourne pendant un mois à Paris en 1900. En 1902, à la fin de ses études à Rennes, il s'installe à Paris. Il travaille à la revue Art et Décoration et publie des illustrations sur les poissons et les coraux. Parallèlement, il s'inscrit à l'École nationale supérieure des arts décoratifs à Paris. Il effectue son service militaire de 1903 à 1904 à Saint-Lô.

En 1905, il épouse Marguerite Rouja au Mans. Le couple se fixe à Paris dans le 15e arrondissement, au 45, rue Falguière. Leur fille Maryvonne naît en 1908.

De 1910 à 1912, il séjourne et travaille à la station biologique de Roscoff, où il peut observer et dessiner le milieu marin dans un contexte scientifique. C'est là qu'il crée les bases de l'ouvrage Étude de la mer 1913-1914 sous la direction de Maurice Pillard (dit Verneuil). Une exposition qui lui est consacrée au musée des arts décoratifs de Paris en 1913 réunit 450 œuvres sur la faune et la flore marine réalisées à Roscoff. La revue L'Illustration publié plusieurs de ses tableaux en couleur[2]. Le musée océanographique de Monaco et le musée du Luxembourg à Paris acquièrent certaines de ses œuvres.

Méheut est lauréat de la « Bourse autour du monde » attribuée par la Fondation Albert-Kahn. Il peut ainsi voyager à Hawaï puis au Japon où le séjour est interrompu par la mobilisation due à la Première Guerre mondiale. Méheut rentre en France et est incorporé en octobre au 136e régiment d'infanterie d'Arras, puis de 1916 à 1917, il est détaché au service topographique et cartographique à Sainte-Menehould puis à Bergues. Il y réalise ses Croquis de guerre témoignant de la vie dans les tranchées. Il est démobilisé en 1919. Méheut reprend son poste de professeur à l'École Boulle à Paris jusqu'en 1928 après avoir brièvement enseigné à l'école Estienne à Paris en 1921.

Après l'armistice, il revient dans sa Bretagne natale et exerce les métiers de décorateur et d'illustrateur. Devenu peintre officiel de la Marine en 1921, Méheut fait preuve d'une activité diversifiée : entre 1924 et 1935, il participe à la décoration de neuf paquebots dont le Normandie. Il est aussi illustrateur de livres, collabore comme céramiste pour la faïencerie Henriot à Quimper.

Mathurin Méheut fait plusieurs séjours chez Albert Kahn en 1924. Il refuse de s'engager dans le mouvement Seiz Breur. Il rencontre Yvonne Jean-Haffen en 1925. Elle devient une de ses élèves. 150 lettres parmi les nombreuses lettres qu'il lui a écrites entre 1926 et 1954 ont fait l'objet d'une publication en 2018[3].

En 1926, il adhère à la Société des artistes décorateurs et réalise ses premières céramiques pour la Manufacture nationale de Sèvres en 1927. En 1936, il fait la connaissance du peintre Yves Floc'h en compagnie d'Yvonne Jean-Haffen à la chapelle Sainte-Anne-la-Palud.

Témoin d'une époque, passionné par les hommes et les paysages de sa province natale, il sillonne la Bretagne de Rennes à Dinan, de Roscoff à Saint-Guénolé en pays Bigouden, laissant une abondante production et un témoignage précis et multiforme de la vie bretonne à son époque. Il enseigne de 1940 à 1944 à l'École des beaux-arts de Rennes et compte parmi ses élèves des artistes comme le peintre verrier Joseph Archepel, le peintre muraliste et cinéaste d'animation Frédéric Back, le peintre Geoffroy Dauvergne, le sculpteur Roland Guillaumel, les peintres Roger Marage, Jean-Marie Martin.

Un musée Mathurin-Méheut est créé à Lamballe, sa ville natale, à l'intérieur d'une maison à pans de bois du XVe siècle, dite « Maison du Bourreau ». Ce musée conserve environ 5 000 de ses œuvres. Le musée est transféré au haras national de la ville. Le 18 juin 2022, le musée accueille ses premiers visiteurs et présente 260 œuvres sur une surface d’exposition de 400 m2 [4],[5].

Mathurin Méheut est élu à l'Académie de marine en 1956 et meurt à Paris le . Il est inhumé à Paris au cimetière du Montparnasse[6].

Œuvres dans les collections publiques

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Entre 1910 et 1926, Mathurin Méheut travaille les techniques traditionnelles[Lesquelles ?], puis se lance dans les techniques nouvelles[Lesquelles ?] de 1939 à 1948. De 1944 à 1945, il approfondit son travail de gravure sur bois.

  • Les filets bleus, technique mixte, 71x103 cm, vendu 60 000€ (le 22 juillet 2023 à Brest)[8].

Peinture murale

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  • Le Port de Sainte-Marine à Combrit, 1952, peinture murale pour la Caisse d'épargne de Pont-l'Abbé, en dépôt à la salle des mariages de la mairie de Pont-l'Abbé.

Mathurin Méheut travaille dès 1919 pour les faïenceries de Jules Henriot, renouvelant les décors, et va également travailler pour la Manufacture de Sèvres de 1927 à 1940, ainsi qu'avec Villeroy et Boch[9].

Illustration

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Méheut illustra également, des menus et des catalogues de croisières pour la compagnie des messageries maritimes.

  • Maurice Genevoix, Raboliot, illustrations de Mathurin Méheut gravées sur bois par Georges Beltrand, Paris, Cercle parisien du livre 1927[12], tirage à 132 ex.
  • André Savignon, Les Filles de la pluie, illustrations de Mathurin Méheut, Paris, Grasset, 1912.
  • Maurice Pillard Verneuil, Étude de la mer, flore et faune de la Manche et de l'Océan, ouvrage auquel il collabore pour l'illustration avec la station biologique marine de Roscoff depuis 1910, publié en 1913.
  • Maurice Pillar Verneuil, Études de végétaux, sous la direction d'Eugène Grasset, 1913.
  • Alphonse de Chateaubriant, La Brière, bois gravés par Soulas et Méheut, Mornay, coll. « Les beaux livres », 1924.
  • Jean Brunhes, La Géographie humaine de la France, dans Histoire de la Nation française de Gabriel Hanot, 1926.
  • Léon Simon Baranger, Almanach du Franc-Buveur, bois gravé, éditions du Livre de Paris, 1926.
  • Jean Brunhes, Géographie, cours supérieur, chez Afred Mame, 1928.
  • Pierre Loti, Mon Frère Yves, chez Calmann-Levy éditeurs, 1928.
  • Colette, Regarde…, 17 illustrations au pochoir, éd. J.G. Deschamps, Imprimerie nationale, 1929.
  • Francis Gourvil, En Bretagne de Saint-Brieuc à Brest et de Quimper à Vannes, réalisation de la couverture, B. Arthaud, Grenoble, 1929.
  • En Bretagne, de Saint-Brieuc à Brest, de Quimper à Vannes, éditions Arthaud, 1930.
  • Bretagne, au bout du monde : types et coutumes de Pierre Guéguen, Paris, éditions des Horizons de France, 1930.
  • La Plante exotique, introduction de M.L. Plantefol, Paris, éd.Massin et Cie, 1931.
  • Pax Mundi, Ligue mondiale pour la paix, Genève, 1932.
  • Menu du Champlain, 1934.
  • André Savignon, Les Filles de la Pluie, lithographies de Mathurin Méheut, Paris, Mornay, 1934.
  • Au pays des corsaires, Saint-Brieuc, Éditions Aubert-ti-Breiz, 1935.
  • Pierre Loti, Pêcheur d'Islande, Calmann-Levy éditeurs, 1936.
  • André Savignon, « Douarnenez », illustration de Mathurin Méheut, dans la revue Synthèse, no 7, .
  • Florian Le Roy, Pays de Bretagne, éditions Alpina, 1937.
  • Auguste Dupory, La Basse Bretagne, éditions Arthaud, 1940, rééd. 1952.
  • Auguste Dupouy et Mathurin Meheut, La Basse-Bretagne, Grenoble Arthaud 1940[13], couvertures illustrées en couleurs par Mathurin Meheut.
  • Florian Le Roy, Vieux métiers bretons, Paris, éditions Horizons de France, 1944.
  • Édition avec Géo-Fourrier de la série de cartes postales dite la Bretagne bleue, 1946.
  • En Bretagne morbihannaise, costumes et traditions du Vannetais bretonnant au XIXe siècle, éditions Arthaud, 1947.
  • Roger Vercel, Sous le pied de l'archange, Paris, éditions Moulin de Pen-Mur, Arc-en-ciel, 1947.
  • Roland Dorgelès, Les Croix de bois, Monte-Carlo, éditions du Livre, 1947.
  • Jean de La Varende, Broderies en Bretagne, Le Minor, 1947.
  • Jean de La Varende, Mers bretonnes, Nantes, Albert Richard, 1950.
  • Jean Chagnolleau, Les Îles de l'Armor, Paris, Horizons de France, 1951.
  • Une porte de l'Europe, Nantes, pour le Rotary-Club, par Beuchet et Vanden Brugge, illustrations de Gaston Alaux, sept de Georges Gobo dit Gobô, deux de Géo Ham, dix-sept d'Albert Brenet, une de Félix Lorioux, six de Jean Picard Le Doux, quatre de Jean Bouchaud, deux de Michel Bouchaud, une de Paul Ordner, treize de Mathurin Méheut, vingt de Jean-Adrien Mercier, ce dernier illustrant également initiales et culs-de-lampe en couleurs, 1951.
  • Presqu'île guérandaise, éditions Horizons de France, 1952.
  • Auguste Dupouy, Souvenirs d'un pêcheur en eau salée, Paris, B. Arthaud, 1953.
  • Marie Mauron, En parcourant la Provence, illustrations de Mathurin Méheut, Monte-Carlo, SAM Les Beaux Livres, Édition Les Flots Bleus, 1954.
  • La pêche artisanale à Boulogne-sur-Mer, calendrier pour les pêcheries Delpierre, 1956.
  • Roger Vercel, Boulogne, grand port de pêche, édité par le Comité d'entraide aux familles des marins péris en mer du chalutier Colbert, Nantes, Imprimerie Beuchet et Vandenbrugge, .
  • Roger Vercel, Pêcheurs des quatre mers, collaborèrent également à l'illustration, Albert Brenet et Marin-Marie, 1957.
  • Jean de La Varende, À ciel ouvert : images du terroir, Rennes, Terre de Brume, , 135 p. (ISBN 978-2-84362-365-3).
  • Jean Rouaud, Éclats de 14, Brest, Éditions dialogues, , 95 p. (ISBN 978-2-918135-95-1).

Art décoratif

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Après l'exposition au pavillon de Marsan en 1921, Méheut entame une longue collaboration avec différentes compagnies maritimes, dont la Compagnie des Messageries maritimes de 1924 à 1935. Il participe à la décoration de 25 navires recensés.

  • 1923 : décors pour les paquebots de la Compagnie générale transatlantique.
  • 1923 : décor du paquebot Champollion, interprétation de la Dame à La Licorne pour le fumoir de 1re classe.
  • 1924 : décor du paquebot Le Mariette Pacha[14].
  • 1925 : décor du paquebot Le d'Artagnan[15]. Mouettes pêchant en mer pour le salon des dames en 2e classe.
  • 1925 : décor des appartements du commissaire principal de bord et de la suite Fontainebleau du paquebot Île-de-France.
  • 1926 : décor du paquebot Le Leconte de Lisle[16], Paysage de brousse africaine, inspiré du poème de la Panthère Noire, dans le fumoir en 1re classe.
  • 1928 : décor du paquebot L'Eridan (II)[17], deux panneaux de 5,5 m de diamètre et six petites gouaches sur la faune et la flore australienne.
  • 1929 : décor du paquebot Le Jean Laborde[18] pour la salle des pas perdus et la descente de la salle à manger vers les 1res classes.
  • 1929 : décor de la villa Miramar à Cap Martin pour Albert Kahn.
  • 1930 : décor du paquebot Le Georges Philippar, Faon avec cerf et biche, couchés dans un sous-bois pour la salle à manger (navire coulé).
  • 1930 : décor du hall de l'immeuble Heinz & Co à Pittsburgh en collaboration avec Yvonne Jean-Haffen. Ils y réalisent des caravelles.
  • 1931 : quatre décors pour le paquebot Normandie.
  • 1931 : décor du paquebot Aramis[19] pour la salle à manger de 1re classe, et de 27 panneaux inspirés des fresques crétoises. Yvonne Jean-Haffen y peint Le Roi aux fleurs de lys. Léo Fontan collabore également à la décoration de ce paquebot.
  • 1932 : décor à bord du paquebot Président Paul Doumer.
  • 1933 : décor pour le paquebot Maréchal Joffre, Un marché malgache, Paysages malgache, La Princesse Sakalavé au bain, décor pour les salles de bain et cabines de luxe.
  • 1934 : décor pour le paquebot le Ville d'Alger.
  • 1949 : décor du navire L'Atlas, scène pastorale avec en second plan la chaîne de montagne l'Atlas, pour la salle à manger-salon.
  • 1950 : décor du paquebot Liberté, L'Arche de Noé et Nids d'oiseaux marins, motifs du tapis de l'allée centrale de la chapelle.
  • 1950 : décor du grand escalier du paquebot Ville de Marseille.
  • 1951 : décor de la Caisse d'épargne de Pont-l'Abbé (Finistère).
  • 1952 : décor du navire de croisière Le Flandre pour le salon de première classe.
  • 1952 : décor pour le paquebot Ville de Tunis.
  • 1953 : décor sur le pétrolier Le Camargue.
  • 1957 : décor du pétrolier Le Lorraine, panneau représentant Place Stanislas de Nancy sous le 1er Empire peinture à la caséine sur toile marouflée sur panneau.
  • Décor du navire pétrolier Le Sologne pour la salle à manger : panneaux Vendanges, Chasse à courre et Le Château de Lassay.

Travail publicitaire

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  • Méheut dessine également des décors de boîtes et autres conditionnements pour le parfumeur Roger & Gallet, des cartons pour confiserie avec le Pardon Notre-Dame de la Joie, des boîtes à sardines en chocolat pour Amieux frères.

Expositions

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Expositions posthumes

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  • 1960 : « Mathurin Méheut. Exposition rétrospective »[22], Lamballe, Syndicat d'initiative de Lamballe.
  • 1973 : « Rétrospective Mathurin Méheut 1882-1958 », Paris, musée national de la Marine.
  • 2001 : « Mathurin Méheut, donation Château-Grall »[23], Rennes, musée de Bretagne[24].
  • 2005 : La ville de Saint-Briac-sur-Mer pour son 10ème Festival d'Art organisa au Couvent de la Sagesse une exposition : Dix regards de peintres de marines consacrée à Édouard Adam (1847-1929), Étienne Blandin (1903-1991), Albert Brenet (1903-2005), Roger Chapelet (1903-1995), Lucien-Victor Delpy (1898-1967), Ernest Guérin (1887-1952), Marin-Marie (1901-1987), Mathurin Méheut (1882-1958), Joseph-Honoré Pellegrin (1793-1849) et aux Roux : Joseph (1725-1789), Antoine (1765-1835), et François Joseph Frédéric (1805-1870).
  • 2011 : Saint-Malo, chapelle Saint-Sauveur, « Mathurin Méheut, Yvonne Jean Haffen et la nature »[25],[26],[27], avec des œuvres d'Yvonne Jean Haffen. L’originalité de cette exposition était double : c’était la première présentation publique intégrale des 25 œuvres du décor réalisé pour l'Institut de géologie de Rennes, et c’est également le seul témoignage encore actuellement conservé en l’état de l’art de Méheut comme décorateur monumental, la plus grande part de ses autres réalisations ayant disparu.
  • 2012-2013[28] : « Dans le décor ! Grands décors sous-marins de Mathurin Méheut », musée des Beaux-Arts de Brest[29].
  • 2013 : Paris, musée national de la Marine[30].
  • 2013 : Rennes, présentation de certaines de ses œuvres pour l'exposition « Archeologia »[31], présentée à 40mcube, au musée des Beaux-Arts de Rennes, au musée de géologie de l'université de Rennes 1 et au Frac Bretagne.
  • 2017 : « Animalia. Mathurin Méheut et Damien Colcombet », Centre Cristel éditeur d'Art, Saint-Malo[32]. Pour la première fois sont montrées au public les 26 planches inédites de l'abécédaire animalier créé dans les années cinquante par Mathurin Méheut, et réunies pour l’occasion dans un livre d’artiste[33].
  • 2022 : « Colette et Méheut. Le livre secret », Centre Cristel Éditeur d'Art, Saint-Malo. Une exposition consacrée à l'ouvrage Regarde… paru en 1929, gouaches inédites réalisées pour l'ouvrage, maquette, correspondance, manuscrit original.

Élèves notoires

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Notes et références

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  1. p. 29/197. Registres d'état civil de Lamballe aux archives des Côtes-d'Armor.
  2. Gustave Babin, « Le peintre de la vie sous-marine : M. Mathurin Méheut », L'Illustration, no 3695,‎ (lire en ligne).
  3. Méheut, Mathurin, Stoop, Anne de, Wahl, Philippe et Le Guillou, Philippe, Lettres de Mathurin Méheut à Yvonne Jean-Haffen, Rennes, Éditions "Ouest-France", 157 p. (ISBN 978-2-7373-7913-0 et 2-7373-7913-X, OCLC 1086612103, lire en ligne).
  4. [1] À Lamballe, le nouveau musée Mathurin Méheut a ouvert ses portes, Le Télégramme, 18/06/2022.
  5. [2] L'ouverture animée du musée Mathurin-Méheut à Lamballe, Ouest-France, 18/06/2022
  6. Jean de La Varende, À Ciel ouvert. Images du terroir, Rennes : Terre de Brumes, 2007, dessins de Mathurin Méheut ; Présence de La Varende rééd., p. 132 (ISBN 9782843623653).
  7. Le tableau fut à Toulon la propriété du service historique de La Défense, offert ensuite en dépôt au musée Mathurin-Méheut de Lamballe puis, par la suite, prêté à la Marine nationale pour orner le carré du porte avion Clemenceau.
  8. Rémy Quéméner, « À Brest, le tableau « Les Filets bleus » de Mathurin Méheut adjugé à 60 000 € aux enchères », JournalLe Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  9. Denise Delouche, op. cit.
  10. Assiette décagonale La Mer.
  11. Ensemble de pièces présentées au musée de la Marine à Paris à l'exposition rétrospective de 2013[source insuffisante].
  12. In-4. Maroquin marron dos à quatre nerfs, titre, auteur, illustrateur et date en lettres dorées. Lièvre assis et meule de foin en marqueterie de cuirs sur le caisson central. Tranches dorées. Couverture conservée. Gardes en papier marbré doré, contre-plat à encadrement de cuirs marron et vert à filets dorés. Etui à rebords. Reliure de H. Blanchetière. Exemplaire no A des 12 ex. destinés aux collaborateurs avec une aquarelle originale signée et envoi de Mathurin Méheut (Rapace dans un arbre).
  13. 2 vol. in-8, 170 pp et 153 pp., rel.1/2 bas. verte ép., dos à nerfs, têtes dorées. Nombr. héliogravures dans le texte.
  14. Le Mariette Pacha.
  15. Le d'Artagnan.
  16. Le Leconte de Lisle.
  17. L'Eridan (II)
  18. Le Jean Laborde.
  19. Aramis.
  20. Du au .
  21. Du 9 au .
  22. -.
  23. Catalogue.
  24. -.
  25. Du au .
  26. Mathurin Méheut à Saint Malo.
  27. Mathurin Méheut, Yvonne Jean-Haffen, et la nature.
  28. Du au .
  29. « Expositions passées », sur musee.brest.fr (consulté le ).
  30. Du au .
  31. « Archeologia », sur 40mcube (consulté le ).
  32. Du au .
  33. Christophe Penot, « Exposition Animalia », Centre Cristel éditeur d'Art,‎ du 6 mai au 15 juillet 2017 (lire en ligne, consulté le ).
  34. Alain Valtat, op. cit., p. 21 et 460 ; liste établie d'après les photographies du groupe par les élèves survivants.

Bibliographie

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  • Dictionnaire Bénézit.
  • Article d'Henri Lavedan dans L'Illustration, (année ?)[réf. incomplète].
  • Claude R. Marx, « Peintres-graveurs contemporains : Mathurin Méheut », Gazette des beaux-arts, no 677, , pp. 389-400.
  • Gustave Babin, « Mathurin Méheut le peintre et la vie sous-marine », L'Illustration, .
  • Marcel Valotaire, « Mathurin Méheut décorateur de livres », Byblis, no 10,‎ , p. 45-48.
  • Georges Philippar, « Mathurin Méheut, peintre de la Bretagne », L'illustration, .
  • Raymond Hesse, Mathurin Méheut, Paris, Henry Babou, 1929.
  • Alain Valtat, Catalogue raisonné du peintre Geoffroy Dauvergne (1922-1977), auto-édition, Sceaux, 1996, 483 p.
  • Patrick Jude, Mathurin Méheut, richesse et diversité, Éditions Ouest-France, 1997 (ISBN 2-7373-2158-1).
  • Anne de Stoop et Patrick le Tiec, La Bretagne de Mathurin Méheut, édition musée Mathurin-Méheut, Bibliothèque de l'Image, 2000.
  • Élisabeth et Patrick Jude, Mathurin Méheut, 1914-1918, des ennemis si proches, Éditions Ouest-France, 2001 (ISBN 2-7373-2438-6)
  • Denise Delouche, Anne de Stoop et Patrick Le Tiec, Mathurin Méheut, Éditions du Chasse Marée, 2e édition, 2004.
  • Élisabeth, Hélène et Patrick Jude, Voyage d'un peintre breton au Japon, Mathurin Méheut, avril-, Éditions Ouest-France, 2004 (ISBN 2-7373-3564-7).
  • René Le Bihan, Mathurin Méheut. Gravures sur bois, linogravures et peintures, Ville de Pont-l'Abbé, 2005.
  • Denis-Michel Boëll, Mathurin Méheut, La Mer et les marins, Éditions Ouest-France, 2013 (ISBN 2-7373-6491-4).
  • Erwann Le Gall, « Un artiste trop populaire ? Mathurin Méheut », sur enenvor.fr, (consulté le ).
  • Maadiar, Mathurin soldat, Un crayon dans le canon, Éditions du Pelimantin, (ISBN 978-2-95462-571-3) (bande dessinée).
  • « Mathurin Méheut 1882-1958, peintre des tranchées - Grande Guerre : territoriaux bretons et normands du 87 DIT », sur 87dit.canalblog.com, (consulté le ).
  • Mathurin Méheut et Marc Vincent, Alphabet des animaux, 2018 (ISBN 978-2-9504756-3-3).
  • Philippe Le Stum, La Gravure sur Bois en Bretagne, 1850-2000, Spézet, Coop Breizh, , 319 p. (ISBN 9782843468216).
  • Gilles Baratte et Anne de Stoop, Colette et Méheut. Les Secrets de "Regarde...", Saint-Malo, Cristel Éditeur d'Art, (ISBN 978-2-84421-177-4).

Iconographie

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Articles connexes

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Liens externes

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