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Randonnée avec bébé : pour partir du bon pied

Par Amélie Cléroux
JGA/Shutterstock.com

L’arrivée de votre enfant a peut-être bousculé vos habitudes, mais elle n’a pas à signer la fin de vos aventures en nature. Quand pouvez-vous les reprendre? Que faut-il savoir sur le portage et les porte-bébés? Comment faire de la randonnée une activité plaisante pour tous? Voici des astuces pour vos premières sorties en famille et pour initier bébé au plein air.

Malik compte 80 randonnées à son actif, dont une vingtaine d’au moins une nuit en tente ou en refuge. Or ce randonneur aguerri… est âgé de deux ans et demi! Son petit frère de 3 mois l’a même accompagné à deux reprises.

Les exploits de Malik et de son cadet, ce sont avant tout ceux de leur mère passionnée de plein air, Naomie Veillette, alias ActivMom (du nom de sa page Facebook). En plus d’être la créatrice d’ateliers sur la randonnée avec un bébé et l’organisatrice de sorties de groupe, cette entrepreneuse est aussi monitrice de portage, marraine d’allaitement et accompagnante à la naissance.

- Naomie Veillette (alors enceinte de son deuxième enfant) et son fils Malik dans son porte-bébé de randonnée.

La jeune maman en convient : les expéditions avec les petits, ce n’est pas toujours de tout repos. Toutefois, l’effort en vaut la peine. « Quand on persévère et que les enfants finissent par vraiment aimer ça, c’est magique! Mon fils me demande environ une fois par semaine si on peut aller dormir en refuge. Il veut aller “en haut”, il est content de gravir la montagne », raconte-t-elle. Selon son expérience, les tout-petits s’adaptent bien, souvent mieux que leurs parents, qui ont davantage d’appréhensions qu’eux.

Cela dit, nul besoin de cumuler les sommets ou les kilomètres; l’important, c’est le plaisir que vous avez à vous balader à l’extérieur. « Le plein air et la randonnée, c’est une habitude de vie, un apprentissage. Au même titre qu’on apprend à son enfant à faire du vélo, on lui montre à aimer être en nature », croit Anne-Karine Bouthillier, ergothérapeute à la clinique L’ergothérapie de la maison à l’école, à Sainte-Julie. Selon elle, la randonnée a aussi l’avantage d’être plus accessible que plusieurs autres sports et activités.

Jamais trop tôt… ou presque

Lorsqu’il atteint un poids d’environ 8 lb (3,6 kg), un bébé en pleine santé est prêt à être transporté quasiment partout dans une poussette ou en portage ventral. Cependant, qu’en est-il de votre situation comme parent?

Si vous avez accouché par voie naturelle ou par césarienne, une pause d’activités physiques comme la randonnée variant entre 6 et 10 semaines est généralement prescrite. Pour déterminer la durée précise de cette période, consultez un professionnel de la santé. Jessyca Huberdeau et Frédérique Nolet, respectivement physiothérapeute et ergothérapeute à la clinique Action Sport Physio, à Saint-Hyacinthe, invitent d’ailleurs les nouvelles mères à consulter un physiothérapeute en rééducation périnéale, si ce n’est déjà fait. Ce type de professionnel peut vous accompagner et vous indiquer si la reprise de vos activités physiques est sécuritaire.

Néanmoins, au-delà de votre état de santé ou de celui de votre partenaire, avez-vous simplement envie de (re)partir à l’aventure? « Certaines personnes sont prêtes tout de suite, tandis que d’autres prennent plus de temps, voire quelques années, avant d’être à l’aise », nuance Naomie Veillette.

Pour commencer en douceur

« On ne fait pas un sentier comme l’Acropole-des-Draveurs, dans Charlevoix, la première fois! » lance Anne-Karine Bouthillier. Ainsi, commencez par de courtes balades dans votre quartier. « Il y a souvent plusieurs endroits à explorer près de la maison, comme un bord de l’eau, des parcs ou de courts sentiers », suggère l’ergothérapeute.

Au fur et à mesure que vous gagnerez en confiance, vous serez à même d’allonger la durée de vos escapades et de fréquenter des sentiers dignes de ce nom en augmentant la difficulté progressivement. À garder en tête : le poids de bébé est une surcharge inhabituelle qui, en solo, s’additionne à celui de l’équipement nécessaire. Votre équilibre sera aussi affecté.

Des groupes Facebook qui rassemblent des parents ou des adeptes du plein air sont toujours de bonnes sources d’inspiration. « On connaît souvent les montagnes et les sentiers les plus populaires des différentes régions, mais moins les petits bijoux plus tranquilles », fait remarquer Naomie Veillette.

L’essentiel portage

Vous pouvez bien sûr promener votre bébé dans une poussette tout-terrain dans de nombreux sentiers aménagés, plats ou avec de légers dénivelés. Or, pour de la randonnée un peu plus exigeante, vous devrez adopter le portage. « Avoir un porte-bébé de qualité, ajustable et ergonomique, ça change tout, affirme Naomie Veillette. C’est une dépense qui en vaut la peine. »

De nombreux produits offerts sur le marché sont évolutifs et vous permettront de transporter votre enfant jusqu’à un poids de 40 à 45 lb (de 18 à 20 kg). Un bon soutien aux épaules et aux hanches est donc essentiel. Essayez le porte-bébé en magasin – idéalement avec votre poupon –, et vérifiez bien la facilité d’utilisation et les possibilités d’ajustements. Vous voudrez qu’il vous fasse à vous, et peut-être aussi à votre conjoint ou conjointe, dont la morphologie est sûrement bien différente de la vôtre!

Pour dénicher le bon modèle, l’ajuster correctement et bien positionner bébé, Naomie Veillette vous recommande de faire appel à une monitrice de portage de votre région ou d’aller dans une boutique spécialisée, où l’on pourra vous aider. Également, suivez bien les indications du fabricant.

Apprivoiser le portage peut d’ailleurs se faire à la maison, tout simplement, puis lors de courtes balades. Il vous sera alors possible de cerner vos inconforts et de faire les ajustements nécessaires au besoin.

Le portage ventral

Le portage ventral, où l’enfant fait face au parent dans une écharpe ou un porte-bébé préformé (qui ressemble à un sac à dos à porter devant), est nécessaire au début. Privilégiez ceux qui permettent une position ergonomique, « respectant la rondeur physiologique du bébé dans les premiers mois », recommande l’ergothérapeute Frédérique Nolet.

Sortez votre nourrisson (de 0 à 4 mois) du porte-bébé une fois par heure, ou heure et demie, pour dégourdir ses membres et vous assurer que tout se passe bien, selon les conseils de la randonneuse et monitrice de portage Naomie Veillette. « Mais, bien sûr, il faut faire preuve de gros bon sens, nuance-t-elle. Si on respecte les bases du portage, que la position est ergonomique et que l’enfant a une belle respiration, ce n’est pas problématique de dépasser un peu ces recommandations pour le laisser terminer sa sieste. » Dans ces conditions, une balade de deux heures ne lui fera pas de mal. À l’inverse, le poupon pourrait vouloir boire plus tôt ou faire une crise après 30 minutes de promenade!

S’il tient sa tête solidement (souvent vers 3 ou 4 mois), votre bébé peut être porté sur votre ventre, mais face vers l’extérieur. Privilégiez toutefois cette position lors d’une pause ou de déplacements modérés. En effet, c’est une pratique recommandée pour de courtes périodes seulement (jusqu’à 30 minutes), lorsque le petit est éveillé et curieux. En outre, ce n’est pas une position très ergonomique pour le parent.

Les porte-bébés préformés se vendent de 100 à 250 $ environ et les écharpes, souvent moins de 100 $. Entre les deux, vous trouverez des modèles de type Mei Tai, en partie préformés et en partie noués. La plupart des produits sur le marché vous permettront, plus tard, de placer votre poupon dans le dos (à partir de 6 ou 7 mois environ).

Le porte-bébé de randonnée

Les porte-bébés de randonnée avec armature, souvent fabriqués par des marques de sac à dos reconnues, sont conçus pour offrir un support et un confort optimaux pendant l’activité. Ils sont normalement réservés aux tout-petits qui répondent à ces trois conditions :

  • être âgé de 6 mois ou plus;
  • peser 16 lb (7,3 kg) ou plus;
  • surtout, pouvoir se tenir bien assis et droit, seul (souvent seulement vers 7 à 10 mois).

Ces sacs à dos multifonctions sont vendus entre 350 et 500 $ environ et ont une capacité de rangement qui peut aller jusqu’à 26 litres, selon le modèle, ce qui vous permet d’y mettre de l’équipement et des victuailles, en plus de l’enfant. Il y a aussi moyen de les poser sur le sol, bébé à bord, si vous devez faire autre chose, par exemple monter la tente. La plupart de ces sacs possèdent – inclus ou vendus séparément – un pare-soleil et différents accessoires.

Une idée à retenir : traînez un miroir de poche avec vous pour vérifier si bébé dort ou se porte bien à l’arrière!

À lire aussi : Choisir un porte-bébé de randonnée

Quand bébé commence à marcher

Laisser votre jeune marcheur explorer son environnement et faire quelques pas exercera sa coordination et plusieurs de ses capacités motrices. Vers 2 ou 3 ans, par exemple, un enfant est en mesure de franchir de menus obstacles, de contourner des objets, de grimper, etc. 

« Habituellement, je commence la randonnée en faisant marcher mon fils. Il se fatigue plutôt vite et demande alors d’aller dans le sac. Je reste attentive et lui propose de se reposer de temps en temps, parce qu’il a tendance à vouloir performer », raconte Naomie Veillette à propos de Malik, âgé de deux ans et demi.

« Apportez toujours le porte-bébé ou la poussette, au cas où, même pour une courte balade et même si votre enfant est un bon marcheur », recommande par ailleurs l’ergothérapeute Anne-Karine Bouthillier. Votre petit pourrait se fatiguer, et le porter dans vos bras ou sur vos épaules ne sera idéal ni pour lui ni pour vous et vos articulations!

« Il faut baisser un peu ses attentes quand les enfants commencent à marcher et à vouloir explorer, car on ne va pas aussi vite [qu’en temps normal] », souligne Naomie Veillette. Son conseil : revisiter les sentiers plus faciles de vos débuts.

Comment chausser le nouveau marcheur? « Pour un enfant sans problème particulier, vous voulez un soulier qui protège son pied des roches ou d’autres choses du genre, mais qui ne le stabilise pas, afin que l’enfant développe de bons réflexes aux pieds et aux chevilles », explique la physiothérapeute Jessyca Huberdeau. Celle-ci conseille une semelle assez flexible et pas trop haute ou épaisse (donc près du sol).

La nature par le jeu et l’émerveillement

Vos randonnées en compagnie de vos tout-petits seront bien différentes de celles que vous faites entre adultes. « Les parents doivent eux aussi se mettre en mode exploration de la nature et découvertes multisensorielles : remarquer les odeurs, les sons, les couleurs, les textures », souligne Anne-Karine Bouthillier, qui est mère de deux jeunes enfants.

Pour vos cocos, l’expérience sera des plus bénéfiques. « Écouter les bruits et dire si c’est fort ou non; ressentir le vent, la température… Nommer ces choses-là aidera l’enfant à développer une conscience corporelle et sensorielle, et à affiner ses capacités motrices plus tard », renchérit Frédérique Nolet.

En vieillissant, votre enfant verra le plaisir de la découverte passer par le jeu et l’émerveillement : repérer des choses précises, comme des sons, et déterminer d’où ils viennent; imiter la démarche d’un animal… Votre fille adore les insectes? Quel beau thème de chasse au trésor!

« Arriver à un sommet, à un beau point de vue ou à quelque chose de marquant comme un lac, une chute ou un moulin, c’est toujours impressionnant pour les enfants, fait valoir Naomie Veillette. Il y a plusieurs endroits au Québec qui offrent ça sans être difficiles d’accès ou très hauts. »

Un truc est infaillible pour motiver les troupes, de l’avis des mères randonneuses : les collations spéciales! « Des craquelins Goldfish, on n’a pas ça à la maison, mais seulement en randonnée », illustre Naomie Veillette.

Prévoyez plus de temps!

Que vous portiez votre bébé ou que votre bout de chou aime exercer ses deux petites jambes, prévoyez plus de temps – voire beaucoup plus de temps – que d’ordinaire. Pour bien préparer vos sorties, surtout les plus longues, calculez au préalable votre rythme moyen (temps par kilomètre) avec une montre ou une application, comme le suggère la randonneuse et monitrice de portage Naomie Veillette. Le temps consacré à la randonnée évoluera bien sûr en fonction du développement de votre enfant. Apporter une lampe frontale est aussi une bonne idée, au cas où la noirceur vous rattraperait.

Chaleur, froid, soleil, insectes…

Avant que votre petit trésor puisse exprimer ses besoins et ses inconforts, Naomie Veillette vous recommande d’opter pour des sorties par temps ni trop chaud ni trop froid : « Je ne m’aventure pas en randonnée quand il fait très chaud, par exemple avec une température ressentie de 30 °C et plus; surtout avec mon bébé collé contre moi, car on transpire beaucoup. » Par ailleurs, il est difficile pour un poupon de 0 à 1 an de réguler sa température corporelle.

Apportez des vêtements supplémentaires, au cas où. C’est que les conditions météorologiques dans les sentiers ou au sommet d’une montagne sont bien différentes de celles de la ville et plus changeantes. « Dans mon sac, même si c’est l’été, j’ai toujours des vêtements plus chauds, comme une tuque, des mitaines et quelque chose pour les pieds », ajoute la mère entrepreneuse.

En portage ventral, bébé sera au chaud contre votre corps, mais dans un porte-bébé, l’enfant inactif pourrait avoir froid. Une laine polaire et un coupe-vent en surplus ne seront pas de trop. « Il faut aussi penser à faire boire votre enfant, même s’il ne marche pas », fait remarquer Jessyca Huberdeau.

Enfin, le port de vêtements amples, légers et pâles est important pour protéger bébé du soleil comme des moustiques et des égratignures. Munissez-le aussi d’un chapeau à large bord ou d’une casquette, comprenant idéalement un rabat descendant dans son cou.

Moustiques et insectes : évitez la haute saison des moustiques, généralement au début du mois de juin, ou alors leurs périodes de grande activité (soit au coucher et au lever du soleil). Laissez aussi tomber les endroits où ils prolifèrent, par exemple en milieu humide (comme les marais).

Avant 6 mois, aucun chasse-moustiques n’est recommandé, d’après Santé Canada. Faites porter à votre enfant des vêtements pâles et longs, et utilisez une moustiquaire au besoin, par exemple sur sa poussette ou en camping.

À partir de 6 mois, vous pouvez appliquer un produit antimoustiques sur les parties exposées de son corps, sauf sur son visage et ses mains, et sur ses vêtements (chapeau, pantalons, etc.). Attention, toutefois : n’en mettez pas sur les articles qu’il risque de porter à sa bouche. Un produit contenant un maximum de 10 % de DEET, de 20 % d’icaridine ou de 2 % d’huile de soya peut être utilisé, selon l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ).

À lire aussi : Comment choisir un antimoustiques pour le corps?

Protection solaire : évitez toujours d’exposer votre jeune enfant au soleil, surtout entre 11 h et 15 h, puisque le rayonnement ultraviolet (UV) est alors maximal, comme le signale Santé Canada. Si c’est inévitable, couvrez-le avec des vêtements longs et un chapeau.

Pour des enfants de 6 mois à 2 ans, vous pouvez généralement utiliser un écran solaire minéral, qui contient des filtres UV physiques (par exemple de l’oxyde de zinc ou du dioxyde de titane), partout où la peau est exposée. Évitez toutefois d’en mettre près de la bouche et des yeux. Vous avez seulement une crème qui contient des substances chimiques sous la main? Il vaut mieux en appliquer que de risquer que la peau de votre enfant brûle au soleil. Optez pour les écrans solaires à large spectre affichant un facteur de protection solaire (FPS) de 30 ou plus.

Pour les bébés de moins de 6 mois, il a longtemps été recommandé d’éviter tout usage d’écran solaire. « À cet âge, la peau est très délicate. L’application de certains écrans solaires pourrait causer des réactions allergiques », mentionne l’INSPQ sur son site web. Or, l’utilisation d’un produit qui bloque les rayons du soleil est maintenant indiquée quand l’exposition est inévitable.

Ainsi, les pharmaciens et les dermatologues recommandent généralement d’appliquer de la crème solaire minérale sur les parties du corps qui ne sont pas couvertes par les vêtements, comme le visage, les oreilles et le dos des mains. Cela dit, Santé Canada vous conseille toutefois de vous informer auprès d’un professionnel de la santé avant de mettre de l’écran solaire à un si jeune bébé.

Si un chapeau est insuffisant pour protéger les yeux de votre tout-petit, vous pouvez lui faire porter des lunettes de soleil. Vérifiez toutefois que le produit protège contre les rayons UV; recherchez la mention « 100 % UV Protection » ou encore « UV 400 ».

À lire aussi : Comment choisir une bonne crème solaire

Et qu’en est-il en camping?

Les normes de sécurité de base, celles que vous suivez déjà à la maison, sont les mêmes qui s’appliquent lors d’un séjour en camping. Un bébé de moins de 1 an devrait, par exemple, dormir sur le dos sur un matelas ferme et près du sol, sans couverture, comme le rappellent l’ergothérapeute Frédérique Nolet et sa collègue physiothérapeute Jessyca Huberdeau.

À défaut d’un sac de couchage, un pyjama et une dormeuse (parfois appelée « gigoteuse ») en laine polaire, combinés à des mitaines et à une tuque, pourraient d’ailleurs tout à fait convenir à une nuit estivale sous la tente ou en refuge.

« Les enfants ont besoin de beaucoup moins d’équipement qu’on le pense, surtout en refuge, où les matelas sont déjà sur place », indique d’ailleurs Naomie Veillette, une campeuse minimaliste qui est habituée à tout transporter sur son dos.

Elle réserve néanmoins un peu d’espace dans son sac pour y mettre de quoi amuser son fils : un ensemble de trois ou quatre crayons de cire et des feuilles de papier, quelques voitures et camions en plastique très léger, un petit pot de pâte à modeler et/ou un jeu de type Pop It!. Sinon, la nature et l’imagination font le reste. « Mon garçon veut m’aider à mettre le bois dans le feu, à cuisiner, à faire le lit… et on se couche tôt! » lance la jeune mère.

Une chose à ne pas négliger : prévoyez plus de nourriture que pas assez, dont de nombreuses collations qui se conservent bien à la température ambiante et qui se mangent facilement sur le pouce.

En camping ou en randonnée, les essais-erreurs sont inévitables; ainsi, vous vous adapterez au fur et à mesure de vos expériences. « À ma première longue randonnée avec mon fils, alors qu’il ne pesait rien, mon sac était plus lourd que lors de ma dernière sortie avec mes deux enfants! J’apporte moins de choses et j’ai amélioré mon matériel », explique Naomie Veillette.

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