Citation d'Isabelle Alonso sur Violence, Langage et Convaincre

Le propre de l'hérétique, c'est-à-dire de celui qui a une opinion particulière, est de s'attacher à ses propres pensées.

Tout bon mouvement passe par cinq étapes, l'indifférence, le ridicule, l'abus, la répression et le respect.

La violence est ce temps qui recouvre les blessures, l'enchaînement irréductible des jours, cet impossible retour en arrière.

Vous pouvez voir ma décision soit comme un facteur distinctif, soit comme une limitation. Je ne pense pas que ce soit une limitation.

Je suis étonné de la facilité avec laquelle des personnes mal informées arrivent à une opinion arrêtée, passionnée, alors qu'elles n'ont pas de motifs de jugement.

La violence n'a pas de langage.

La famille est un conflit et c'est quelque chose qui nous concerne tous.

On en voyait des vertes et des pas mûres. Le quotidien était une suite d'épreuves. Les dentistes n'utilisaient pas d'anesthésie, par exemple. Quand on grandit dans un environnement aussi rude, on apprend pour la vie à résister à la violence physique.

Les Trois lois fondamentales de la robotique :
1. Un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, restant passif, permettre qu'un être humain soit exposé au danger.

2. Un robot doit obéir aux ordres que lui donne un être [...] ► Lire la suite

Une opinion commence à me gêner dès que j'y puis trouver avantage.

Le vrai courage consiste à prendre une décision et à la respecter, à faire ce qui doit être fait.

Un geste d'humanité et de charité a parfois plus d'empire sur l'esprit de l'homme qu'une action marquée du sceau de la violence et de la cruauté.

Voici mon opinion sur la poésie : les vers sont de petites prisons cellulaires où la pensée est coffrée.

Capitaine, j'ai une opinion à ce sujet, à la façon dont je vois la chose, cette mission est juste une mauvaise utilisation de formidables ressources militaires. Il me semble que Dieu m'a donné un don spécial qui fait de moi [...] ► Lire la suite

En regardant la terre de loin, vous réalisez qu'elle est trop petite pour qu'il y ait un conflit et juste assez grande pour une coopération.

Un peu partout on croise le même "portrait type" du "bourreau" et de sa victime : l'homme qui a recours à la violence trouve dans l'emploi de celle-ci "un mode d'emprise sur la vie familiale et de contrôle sur sa [...] ► Lire la suite

Les films que je réalise sont des sortes de reflets de la violence dans notre société. L'inattendue violence quotidienne que tout le monde est obligé de subir.

Les hommes sont si bêtes qu'une violence répétée finit par leur paraître un droit.

Ce soir, ce n'est pas le Président des États-Unis qui vous parle. Ce n'est pas le chef d'État. Mais le simple citoyen du monde. Nous sommes confrontés au plus terrible défi qui se puisse imaginer. La bible annonce ce jour [...] ► Lire la suite

Celui qui prononce la décision n'est pas toujours celui qui a décidé.

La violence est en nous ; nous la portons tous mais quelques-uns seulement la poursuivent jusqu'au bout.

La France est un pays où il est plus important d'avoir une opinion sur Homère que d'avoir lu Homère.

Reconsidérer. Chercher une justification pour une décision déjà prise.

Je pense que la violence au cinéma est tout à fait acceptable, et qu'elle doit être montrée.

Nous ne désirons pas d'armes, car la violence engendre la violence. Mais parfois nous pensons que la paix suscite autant de virulence.

Je le regardai vivre : mon opinion sur lui se modifiait sans cesse, ce qui n'arrive guère que pour les êtres qui nous touchent de près ; nous nous contentons de juger les autres plus en gros, et une fois pour toutes.

J'écris à partir de mon expérience personnelle, mais il n'y a pas conflit avec ma vie privée. Personne ne croit vraiment ce que je raconte dans mes chansons.

La plupart attrapent une opinion comme on attrape la rougeole, par contagion.

La décision la plus importante que nous prenons est de savoir si nous croyons vivre dans un univers amical ou hostile.

Par la violence du dépassement, je saisis, dans le désordre de mes rires et de mes sanglots, dans l'excès des transports qui me brisent, la similitude de l'horreur et d'une volupté qui m'excède, de la douleur finale et d'une insupportable joie !