Citation de Dick Rivers sur Mort, Fin et Parce

Nous payons de notre vie ou de notre mort : un prêté pour un rendu.

Quand un homme allume du feu, la mort est chez lui avant qu'il soit éteint.

Nous sommes tous nés pour aimer ; c'est le principe de l'existence, c'est sa fin unique.

La lettre d'amour s'exalte en écrivant : plus les mots vont plus vous aimez, à la fin c'est irrésistible.

La mort n'est qu'un banal incident qui ne dure qu'un instant. Une affaire où l'on a plus de peur que de mal.

À la fin de sa vie, on peut évaluer sa vie à partir de six critères : le physique, la famille, l'époque, les amitiés, l'amour, la profession.

Quand on est né dans la capitale du monde, on en est prisonnier. C'est comme ça. Parce que c'est ce que tout le monde veut. C'est le désir dont il s'agit. On n'a plus de besoin. C'est comme le matin [...] ► Lire la suite

La femme n'est pas seulement une malade, mais une blessée. Elle subit incessamment l'éternelle blessure de l'amour.

Bouche qui rit ne blesse personne.

La mort n'a que douceur pour une âme chrétienne

La mort est un vêtement que tout le monde portera.

Qu'emporteras-tu à la mort ? Uniquement ce que tu auras donné.

La recherche est un processus sans fin dont on ne peut jamais dire comment il évoluera. L'imprévisible est dans la nature même de la science.

La première fois qu'une fille se colle du fard, son univers change du tout au tout, c'est le début de son traumatisme féminin, de son engagement libertaire.

Mon chien, je demanderai au vétérinaire qu'on parte ensemble. Il le piquera afin qu'il meure dans mes bras. Je préfère ça plutôt que savoir qu'il se laissera mourir sur ma tombe avec tant de souffrances.

Être l'homme le plus riche du cimetière ne m'intéresse pas... Aller au lit en se disant qu'on a fait quelque chose de magnifique... C'est ce qui m'importe.

La mort est belle, elle est notre amie ; néanmoins, nous ne la reconnaissons pas, parce qu'elle se présente à nous masquée et que son masque nous épouvante.

Une autre fois Paul Arène, ami de jeunesse de mon père, famillier de la maison, mais déchu par l'alcool et l'envie, cette plaie de l'homme de lettres, colporta qu'il était l'auteur véritable des Lettres de mon Moulin, assertion d'autant plus [...] ► Lire la suite

Le début de l'absence est comme la fin de la vie.

La mort est une surprise que fait l'inconcevable au concevable.

- C'est vraiment la fin du monde alors ?

- Oui.

- On devrait s'étendre et se mettre un sac en papier sur la tête, ça aidera un peu ?

- Non pas du tout.

L'homme de l'organisation a perdu la capacité de désobéir, il n'est même pas conscient du fait qu'il obéit. Au point de l'histoire que nous avons atteint, notre capacité de douter, de critiquer et de désobéir est sans doute le seul moyen d'éviter la fin de la civilisation et d'assurer l'avenir de l'humanité.

Souvenez-vous de ce soir... car c'est le début de toujours.

Un lion mort ne vaut pas un moucheron qui respire.

La mort est un roman.

La mort c'est un laisser-aller de trop.

Un système de protection de la nature basé exclusivement sur l'intérêt économique est désespérément bancal. Il tend à ignorer, donc en fin de compte à éliminer beaucoup d'éléments qui manquent de valeur commerciale mais sont (dans l'état actuel de nos connaissances) essentiels à son bon fonctionnement.

Il n'y a que la mort qui soit vivante dans ce singulier monde qu'on appelle la vie !

La mort est le repos des pauvres.

Le bonheur est la fin que doivent se proposer toutes les sociétés.