Citation de Nostradamus sur Matin, Cheval et Fin

Le vote contre l'embargo américain démontre la nécessité de mettre fin au blocus [contre Cuba], mais aussi au système qui engendre l'injustice sur notre planète, dilapide les ressources naturelles et met en danger la survie de l'homme.

Débauché. Personne qui s'est mise de si bonne heure à la poursuite du plaisir qu'elle a eu l'infortune de le rattraper.

On quitte vite les amis, en fin de compte, c'est moins vrai des femmes que l'on aime. Le plus dur reste la famille, mais, là encore, être rapide est la solution. Sinon, condamnation à perpétuité.

Damon  : Vous avez oublié un personnage clef. Rébékah ! La queue de cheval blonde a tendance à suivre Stefan où qu'il aille.

Elena  : C'est justement pour ça que ta mission est de la tenir à distance.

Damon  : C'est [...] ► Lire la suite

En fin de compte, l'important, ce n'est pas ce que j'ai réussi à faire dans la vie, mais que je n'aie pas vécu une seule minute inutile.

Comment peut-on se prendre au sérieux quand l'existence est si éphémère et qu'elle ne cesse de courir vers sa fin ?

Pourquoi des mecs élus par nous pour faire ce qu'on veut, au lendemain des élections, font ce qu'ils veulent ?

Dans l'administration, on ne doit pas dormir au bureau le matin sinon on ne sait plus quoi faire l'après-midi.

L'esprit humain, au réveil de son ivresse, s'est étonné des excès où l'avait emporté le fanatisme.

Il n'est si bon cheval qui ne bronche.

Est-ce que tu m'aimeras pendant ma phase réveil a 12h entouré de nymphettes, trempé dans mon pyjama paillette, baignant dans une piscine de vomi refroidi, obèse, mauve, la tête dans l'trou des chiottes ?

Les films que je fais ont toujours une fin heureuse. J'espère qu'il reflète la vie réelle.

Chômage : En fait, qui est touché par le chômage ? Eh ben ce sont les pauvres. Mais les pauvres, ça gagne tellement peu que chômage ou pas chômage, ils ne voient pas la différence à la fin du mois.

Ce qui, en fin de compte, détermine les opinions, ce sont les sentiments, non les facultés intellectuelles.

Laissez passer les rêves
Celui de Jacky Chang, celui de Luther King.
Que le matin se lève
Sur un tout nouveau monde comme on l'imagine.

On dit toujours le lendemain ce que l'on a vu la nuit en rêve.

Rouge du soir, le beau temps espère, rouge du matin vent et pluie par chemin.

Tôt ou tard, on finit par commettre les mêmes erreurs que nos parents, peu importe à quel point on les a critiqués : parce qu'en fin de compte, on est tous sujets aux mêmes faiblesses. La leçon à en tirer, c'est qu'il faut être indulgent et moins prompt à juger les autres.

Lorsque son heure est venue, sans doute l'homme laisse-t-il son âme descendre vers les enfers sans retenir sa course.

Devant un escalier... Au départ on a les marches dans la tête. À la fin on les a dans les jambes.

L'heure de la fin des découvertes ne sonne jamais.

Si vous vous levez le matin en vous disant que l'avenir sera meilleur, c'est une belle journée. Sinon, ce n'en est pas une.

Les raisons, les motivations d'un être humain-enfant sont, jusqu'à la fin de la résolution oedipienne, surtout des raisons émotionnelles et affectives.

Quand j'étais petit à la maison, le plus dur c'était la fin du mois... Surtout les trente derniers jours !

Elle repose avec un doux sourire sur les lèvres, et ses dernières pensées ont été un retour vers les jours heureux de jadis. Sa vie a pris fin dans un rêve paisible puisse son réveil dans l'autre monde être aussi agréable !

Les livres de Potter en général sont un argument prolongé en faveur de la tolérance, un plaidoyer prolongé pour mettre fin à la bigoterie.

Tu ne connaîtras jamais la fin de l'histoire en faisant demi-tour à deux minutes de la victoire.

Je n'avais pas à craindre de mourir mais de n'avoir plus le coeur à vivre, du moins de la seule vie qui m'importât. Je n'avais plus devant moi que le lit de douleur de mon frère : il gémissait, il [...] ► Lire la suite

Je danserai, chanterai, jouerai, toute ma vie, je suis née seulement pour cela. Vivre, c'est danser, j'aimerais mourir à bout de souffle, épuisée, à la fin d'une danse ou d'un refrain.

Cette fin de siècle du cinéma, voit l'avènement des films où les idées donnent la main au ludique.