Citation de George Eliot sur Sourire, Amis et Rides

Les vrais amis sont ceux qui mêlent leur confiance réciproque, leurs pensées et leurs rêves, leurs vertus comme leurs bonheurs et leurs souffrances, libres de se séparer toujours et ne se séparant jamais.

Ne vous réjouissez point quand votre ennemi sera tombé, et que votre coeur ne tressaille point de joie dans sa ruine ; de peur que le Seigneur ne le voie, que cela ne lui déplaise et qu'il ne retire sa colère de dessus lui.

Les soupçons ne sont autre chose que des rides ; la première jeunesse n'en a pas.

La vie pourrait être une joie sans limite, si seulement nous la prenions pour ce qu'elle est, telle qu'elle nous est donnée.

Il n'y a pas d'union plus confortable que d'être mari et femme.

Dieu nous a donné deux oreilles et une bouche pour nous apprendre à dire seulement la moitié de ce que nous entendons.

Un sourire ne peut être acheté, mendié, emprunté ni volé.

Il faut aimer ses amis comme on aime ses enfants, pour eux et non pour soi. Le moi cause les malheurs et les chagrins.

- Il te faut un guide médical pour quoi foutre ?

- Pour voir, j'ai jamais fait de piqûre d'adrénaline !

- Quoi, t'as jamais fait d'injection ?

- Nan, j'en ai jamais fait, j'me défonce pas avec des Connasses, et mes amis [...] ► Lire la suite

Ne donne pas à tes amis les conseils les plus agréables, mais les plus avantageux.

La haine soutenant mieux que l'amitié, si l'on pouvait haïr ses amis on leur serait plus utile.

- Qui es-tu donc ?

- Personne ! C'est personne ! Un lointain cousin germain, un neveu d'une tante au deuxième degré... Comme chanteur, il est divin ! Un eunuque !

Pas de sourire en coin, tu es trop expressive ! Vivement le botox !

J'ai de la peine à quitter la ville parce qu'il faut me séparer de mes amis ; et de la peine à quitter la campagne parce qu'alors, il faut me séparer de moi.

Le saumon vit dans des boîtes en fer-blanc, d'où il ne sort que le dimanche soir quand des amis arrivent à l'improviste.

Les amis de la paix ne sont pas les meilleurs ennemis de la guerre.

La femme est tour à tour la joie et le fléau de la vie des hommes.

On prend pour des amis de simples connaissances ; et que de repentirs suivent ces imprudences !

La joie réside dans le combat, dans la tentative, dans la souffrance impliquée, pas dans la victoire elle-même.

Un ami pour le chic, Un amant pour le choc, Un mari pour le chèque.

Les amis vont et viennent, mais les ennemis s'accumulent.

N'étant de mes ennuis la fortune assouvie,
Afin que je devinsse à moi-même odieux,
M'ôta de mes amis celui que j'aimais mieux,
Et sans qui je n'avais de vivre nulle envie.

Ce sont souvent nos meilleurs amis qui nous font choir !

Il ne faut jamais juger les gens sur leurs fréquentations. Tenez, Judas, par exemple, il avait des amis irréprochables.

Aimer ne peut être que joie et bonheur, sinon ce n'est pas de l'amour.

Il faut sourire face à l'adversité, jusqu'à ce qu'elle capitule.

Un sourire ne coûte rien, mais il rapporte beaucoup ; il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne.

Les vrais amis sont ceux sur lesquels on peut compter même quand on en a besoin.

L'épouse est en puissance de l'époux, et le mari en possession de la femme.

La jalousie d'un coeur de femme est l'obscure terreur que sa joie doit finir.