Citation d'Howard Schultz sur Besoin, Parce et Elles

La société a besoin de transgresseurs. Elle établit des lois pour qu'elles soient dépassées. Si tout un chacun respecte les règles en vigueur et se plie aux normes, c'est toute la société qui se retrouve "normale" et qui stagne.

Le cafard est un besoin d'aimer que seul un baiser peut apaiser.

Je suis un homme aux vices coûteux... j'ai donc toujours besoin d'argent.

Nous avons besoin d'autres êtres humains pour être humains.

Il faudrait arriver à n'avoir que des tentations relativement nobles. Et à ce moment-là, il est urgent d'y succomber. Même si c'est dangereux. Même si c'est impossible. Surtout si c'est impossible.

Point n'est besoin d'écrire pour avoir de la poésie dans ses poches.

Chez les femmes, il n'est point de classes. Elles ne sont quelque chose dans la société que par ceux qui les épousent ou qui les patronnent.

Les courtes peines, et qui sont suivies de bonheur, ne détruisent pas le goût des plaisirs, au contraire, elles l'aiguisent.

Les femmes sont toutes des sottes. Elles aiment provoquer le désir des hommes et le redoutent.

L'éthos de confiance compétitive, la mentalité propice à l'adaptation performante ne sont pas le fait de communautés prédestinées, dans le cadre d'une mystique ou d'une théologie. Elles sont plutôt le fruit d'une libre élection du destin personnel. Elles résultent d'une [...] ► Lire la suite

Nous avons besoin d'hommes qui sachent rêver à des choses inédites.

La justice n'est pas qu'une notion abstraite mais un besoin qui ne peut pas attendre demain.

La cupidité est un puits sans fond qui épuise la personne dans un effort sans fin pour satisfaire le besoin sans jamais atteindre la satisfaction.

Les choses ne doivent pas forcément finir. Elles peuvent recommencer.

Les choses n'ont pas besoin d'être vraies, du moment qu'elles en ont l'air.

- Vous êtes marié ?

- Non Sire...

- Alors à quoi elles pensent les françaises ?

Si les femmes que j'ai connues ont quelque chose à me reprocher, elles n'ont qu'à déposer plainte !

Toutes les preuves conduisent inévitablement à des propositions qui n'ont pas de preuve ! Toutes choses sont connues parce que nous voulons croire en elles !

Il y a une contradiction indépassable entre les fermetures ethniques, nationalistes, religieuses et le besoin d'une conscience d'humanité commune au XXIèeme siècle.

Vous n'avez pas besoin de mots pour exprimer vos sentiments.

La fortune est souvent comme les femmes riches et dépensières, qui ruinent les maisons où elles ont apporté une riche dot.

Mes pensées me disent où je me trouve ; mais elles ne m'indiquent pas où je vais.

Vous aurez beau fouiller le ciel vous n'y trouverez que des étoiles qui vous demanderont d'où elles viennent.

Je suis Michael Schumacher. Je n'ai pas besoin de tester mes capacités de conduite.

J'ai besoin d'être entouré d'honnêtes gens qui aient le courage de m'avertir de mon devoir.

Les questions, ce n'est pas nous qui les posons. Elles se posent et s'imposent toutes seules et à tour de bras.

On pense sûrement que je suis une nymphomane dévergondée avec un appétit sexuel insatiable alors que la vérité c'est que je préfère largement lire un livre.

Nous avons tendance à penser que les violences dans le monde, via nos écrans, sont anecdotiques, locales. Nous les regardons comme un spectacle. En vérité elles incarnent la réalité de la planétarisation.

Comme les muses, les racines inspirent, mais elles ne sauraient donner à quiconque le souffle nécessaire à sa propre course.

Les princes d'aujourd'hui, même s'ils n'étaient que d'opérette, auraient-ils tellement besoin d'argent que, comme de pauvres starlettes de troisième zone, ils devraient vendre leur vie ?