Citation de Jean Pommier sur Sang et Poètes

Mon stylo, c'est ma vie bafouée, mon encre, c'est mon sang martyrisé, mon talent, c'est ma tête relevée.

On m'a trop souvent dit qu'un hymne national faisait partie de notre culture, de notre histoire et qu'il n'était pas possible de le changer. Je m'inscris en faux contre cette idée. Pourquoi ne pourrions-nous pas le faire ? [...] Aujourd'hui [...] ► Lire la suite

Plus étroits que ceux du sang et de la famille sont les liens de l'amitié.

C'est la LUCIDITE, la fautive, elle met les poètes en lambeaux, elle qui vous apprend un jour que le père Noël n'existe pas. Elle qui vous bouffe l'enfance.

La politique est une guerre sans effusion de sang tandis que la guerre est une politique avec effusion de sang.

Nous reprenons Gotham aux corrompus ! Aux riches ! À ceux qui vous oppriment depuis des générations, qui vous font courber l'échine avec leurs fables sur l'égalité des chances et nous la rendons à vous... le peuple. Gotham est à vous. Nul [...] ► Lire la suite

Chacun de nous a sa blessure : j'ai la mienne - Toujours vive, elle est là, cette blessure ancienne - Elle est là, sous la lettre au papier jaunissant - Où on peut voir encore des larmes et du sang !

L'encre du savant est aussi précieuse que le sang du martyr.

À cinq heures du matin dans une rue neuve et vide j'entends le bruit d'une voiture qui s'éloigne.
Un avertisseur d'incendie a sa glace brisée et les débris de verre resplendissent dans le ruisseau.

Sur le pavé il y a une flaque [...] ► Lire la suite

Le sang d'un seul homme est d'un plus grand prix que la liberté de tout le genre humain.

Les poètes travaillent dans le noir
comme des rapaces nocturnes ou des rossignols
au chant si doux,
et ils craignent d'offenser Dieu.

Et d'où il vient, votre sang du Christ ? C'est le pinard que les prêtres avalent pendant la messe ? On m'a cloné à base de merlot ou de chardonnay ?

Les poètes sont les voix de ceux qui n'ont pas de voix.

Celui qui n'a pas de sang sur son épée quand il crève, je viole son putain d'cadavre !!

Nous lisions souvent ensemble, des poètes de l'amour courtois, mais souvent nous n'allions pas plus loin pour faire une partie de touche-pipi.

Que le sang sèche vite en entrant dans l'histoire.

Les poètes tentent de greffer aux hommes d'autres yeux et de transformer ainsi le réel. Aussi sont-ils des éléments dangereux pour l'Etat, puisqu'ils veulent transformer. Or l'Etat et ses dévoués serviteurs n'aspirent, eux, qu'à durer.

« Les petits ruisseaux font les grandes rivières. »
Ainsi parle mon épicier empochant les sous des misérables. Ainsi parle tel financier raflant l'épargne des humbles gens. Ainsi parle Chamberlain en voyant couler le sang des petits enfants des Boers. Et tous trois disent exactement la même chose.

Je te signale que les flics ont une fâcheuse tendance à remarquer les véhicules pleins de sang !

Un soleil rouge se lève, beaucoup de sang a du couler cette nuit...

Humanité. La race humaine dans son ensemble, à l'exception des poètes anthropoïdes.

La terre n'a pas soif du sang des guerriers, mais de la sueur des hommes.

Le dialecte, c'est le sang d'une région qui n'est pas normalisée et conditionnée par Paris.

Nous sacrifions notre sang et nous-mêmes pour la Palestine !

Les poètes et les écrivains ne doivent pas être subventionnés, encore moins par une Académie elle-même subventionnée, ils doivent être livrés à eux-mêmes

On vit... comme des cons. On mange, on dort, on baise, on sort. Encore et encore. Et encore... chaque jour est l'inconsciente répétition du précédent : on mange autre chose, on dort mieux, ou moins bien, on baise quelqu'un d'autre, on [...] ► Lire la suite

À un moment, on réalise que Dieu nous a donné un cerveau et un pénis, et pas assez de sang pour les faire fonctionner en même temps.

O douleur ! O douleur ! Le Temps mange la vie, Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le coeur Du sang que nous perdons croît et se fortifie !

La voix du sang n'est puissante que chez la mère. Pour l'homme, les seuls vrais fils sont spirituels.

Les femmes sans charme sont comme les poètes qu'on ne lit pas.