Citation de Joë Bousquet sur Santé, Corps et Pensée

La plus grande partie de la vie passe à mal faire, une grande partie à ne rien faire, toute la vie à ne pas penser à ce que l'on fait.

La vie nous amène des épreuves plus ou moins difficiles. Ces épreuves occasionnent des souffrances, physiques ou psychologiques, qui remettent en question notre mode habituel de pensée ou de vie. Ce questionnement et la réflexion intérieure que nous menons nous [...] ► Lire la suite

Ceux qui souffrent de la même maladie compatissent entre eux, ceux qui ont les mêmes soucis s'entraident.

Le stalinisme n'a existé ni en théorie ni en pratique : on ne peut parler ni de phénomène stalinien, ni d'époque stalinienne, ces concepts ont été fabriqués après 1956 par la pensée occidentale de gauche pour garder les idéaux communistes.

Ce qui m'attriste, c'est de penser que notre expérience et le prix si élevé que nous avons payé n'ont pas réussi à rendre l'humanité un tant soit peu meilleure, plus pacifique, plus respectueuse d'autrui.

La distinction entre le passé, le présent et l'avenir n'est qu'une illusion obstinément persistante.

Une longue maladie semble être une halte entre la vie et la mort, que la mort elle-même peut être un réconfort pour ceux qui meurent et pour ceux qui restent.

Il y a interaction entre langage et pensée. Un langage organisé agit sur l'organisation de la pensée, et une pensée organisée agit sur l'organisation du langage.

N'est-il pas très peu raisonnable de demander à un homme de penser des autres beaucoup plus de bien qu'il n'en saurait penser de lui-même ?

Pire que la folie. La santé mentale.

- Je peux sentir les éclats bouger près de mon coeur... Aide moi !

- Ta parole d'abord.

- Qu'est ce qui te fait penser que je respecterai ma promesse ?

- Tu veux qu'on soit amis ? Amitié, étape 1 : montre-moi que [...] ► Lire la suite

Le théâtre est le premier sérum que l'homme ait inventé pour se protéger de la maladie de l'Angoisse.

La pensée est la plus grande ennemie de la perfection. L'habitude de réfléchir profondément est, je suis obligé de le dire, la plus pernicieuse de toutes les habitudes prises par l'homme civilisé.

Il faudrait pouvoir unir les contraires, l'amour de la vertu avec l'indifférence pour l'opinion publique, le goût du travail avec l'indifférence pour la gloire, et le soin de sa santé avec l'indifférence pour la vie.

Il est également absurde de vivre en perdant de vue le paramètre absolue de la mort que de laisser la pensée de la mort prochaine gâcher mon existence.

Je suis vraiment pas d'humeur, j'ai 30 ans, je suis comptable, et je suis mariée à un avocat homosexuel... On doit penser que je n'assume pas ma sexualité, pour un mariage de raison, c'est plutôt, déraisonnable.

Le rôle de la fiction est de créer des mondes imaginés, que les lecteurs aiment habiter et qui les poussent à penser leurs propres vies

Je suis rempli de joie lorsque le jour se lève doucement par dessus le toit du ciel.

La pensée ne grandit que chez ceux qui sont capables d'amour et de haine.

Un curriculum vitae efficace murmure doucement : je suis un professionnel.

L'argent est en tous points comme le sexe. On n'arrête pas d'y penser quand on en manque et on pense à autre chose quand on en a.

La première étape pour surmonter un problème est de reconnaitre que l'on a un problème. Cette première étape n'est pas la plus facile. Accepter que le problème soit réel et que vous alliez devoir y remédier est effrayant. Si vous [...] ► Lire la suite

Et c'est un parfum que penser à toi,
Le dossier sur ton compte est complet,
Sauf ce que nous avons omis de faire,
Par mille baisers de fond.

La politique, si vous vous avisez de penser à ceux qui vous la servent, il y a de quoi se lever de table et faire voeu de ne plus manger que des oeufs à la coque.

La pensée idéologique est toujours contre quelqu'un. Elle est toujours un instrument de violence. Elle en est imprégnée, empoisonnée.

Le but principal de la vie est de vivre correctement, de penser correctement, d'agir correctement. L'âme doit languir quand nous donnons toute notre pensée au corps.

La crainte est un ressort qu'il faut ménager ; il ne faut jamais faire de loi sévère lorsqu'une plus douce suffit.

Le temps où l'on est élève et étudiant est principalement un temps de pensée suicidaire et celui qui le nie a tout oublié.

Quelle que soit la vérité, nous disposons au moins d'une certitude cristalline: c'est que notre société du toujours-plus-toujours-mieux se comporte à présent en hypocondriaque, tellement obsédée par sa propre santé économique qu'elle en a perdu la capacité de rester saine.

La séparation est une si douce peine.