Citation de Jacques Derrida sur Science, Coeur et Chose

Notre monde fini secrète des efforts individuels finis pour donner corps à un idéal.

Qui a tété la vie connaît le sein de l'angoisse.

Quoique notre esprit ne puisse pas comprendre en soi le rapport de causalité qui existe entre les phénomènes et la matière, la science exige que nous admettions la nécessité d'un déterminisme dans cette causalité.

Marcher est aussi le zen... Que l'on bouge ou que l'on soit immobile le corps demeure toujours en paix même si l'on se trouve face à une épée l'esprit demeure tranquille.

Fais du bien à ton corps pour que ton âme ait envie d'y rester.

Lorsque nous nous donnons la chance de lâcher prise de toutes nos tensions, la capacité naturelle du corps à se guérir peut commencer à fonctionner.

Je veux que mes filles aiment les maths. Je veux qu'elles croient qu'être scientifique est le travail le plus cool possible sur la planète. Je veux qu'elles n'aient pas peur de se pencher vers leur féminité.

J'avais toujours pensé sottement que la dépression nerveuse était un terme inventé pour exprimer une espèce de faiblesse psychologique, un manque d'énergie. Maintenant, je suis persuadé du contraire, et je l'explique dans mon livre en montrant que c'est le corps qui commande et qu'il n'y a aucune énergie à opposer aux décisions du corps dépressif.

La manière de bien conduire une guerre ce n'est pas de suivre, mais de précéder les évènements. Un général marche à la tête des troupes, de même un bon politique doit marcher à la tête des affaires, afin d'être toujours [...] ► Lire la suite

Le style est, pour l'oeuvre d'art, ce que le sang est pour le corps humain ; il le développe, le nourrit, lui donne la force, la santé, la durée.

Il reste que sa faiblesse physique ne permet pas à la femme de connaître les leçons de la violence.

La science est une chose merveilleuse... tant qu'il ne faut pas en vivre !

Aussi l'âme est-elle la finalisation première d'un corps naturel doté en puissance de la vie.

Ce souci est au coeur de l'Introduction à l'Origine de la géométrie, texte que j'avais choisi de traduire en particulier parce que Husserl y bute sur l'écriture. J'avais alors insisté sur le statut de la chose écrite dans l'histoire de [...] ► Lire la suite

C'est le coeur et non le corps qui rend l'union inaltérable.

Sans les religions, les sciences n'eussent pas existé, car la tête humaine n'aurait pas été habituée à s'écarter de l'apparence immédiate et constante qui lui définit la réalité.

Je suis corps tout entier et rien d'autre ; l'âme n'est qu'un mot désignant une parcelle du corps.

L'oeil ne porte aucune charge, mais il sait ce que la tête est capable de porter

Pour changer le monde, il faut d'abord se mettre la tête en avant.

Un peu de science éloigne de Dieu, mais beaucoup y ramène.

La science a fait de nous des dieux avant même que nous méritions d'être des hommes.

Je me frappe la tête contre les murs, mais les murs cèdent.

La douleur physique existe pour nous rappeler que nous sommes mortels. Quand on souffre dans notre corps, on découvre combien sotte et vaine est la vanité.

Quand on a le physique d'un emploi, on en a l'âme.

Face à la nourriture, le corps ne sait rester neutre ; il est prêt à toutes les folies, à toutes les fantasmagories, et la mort ne lui fait plus peut.

Vous ne pouvez pas avoir de pain sans cuisson : la connaissance est l'eau, le corps est la farine et l'émotion - souffrir, c'est le feu.

Plus on marche sur la tête des faibles, plus on est enclin à lécher les bottes des forts.

La vraie capacité est celle de l'intelligence, la vraie science est celle du coeur.

La science seule est incapable de répondre à toutes les questions et, malgré son développement, elle ne le sera jamais.

La pensée correspond au traitement des informations reçues du milieu par l'appareil sensori-moteur. Ce sont les corps et finalement les caractéristiques perceptibles du milieu elles-mêmes qui pensent.