Citation de Démosthène sur Bien, Guerre et Politique

Je suis ravie d'avoir obtenu un tel soutien de mes collègues. Le Parti conservateur peut se réunir - et sous ma direction, il le fera.

J'avais 27 ans la première fois que je suis mort. Je me rappelle qu'il y avait du blanc partout. C'était la guerre et je me sentais vivant mais en réalité, j'étais mort.

Le temps politique est un temps différent de celui que nous vivons dans le quotidien.

Les causes justes les moins visibles ont besoin de lumière pour prospérer. Les artistes auxquels le public a fait le cadeau de la notoriété ont le pouvoir de déplacer le champs des caméras et d'attirer le faisceau des projecteurs...

Mais la Russie, souligne Poutine, doit aussi être indépendante, c'est-à-dire libre de ses décisions, fondées sur sa tradition et ses valeurs propres, refusant toute pression ou ingérence dans ses affaires internes et sa politique internationale. Ce que demande donc Poutine [...] ► Lire la suite

Aujourd'hui, je suis dans une neutralité bienveillante à l'égard de la politique française.

La politique est une volonté de vaincre en recourant au mensonge.

La peinture n'est pas faite pour décorer les appartements. C'est un instrument de guerre offensive contre l'ennemi.

Une loi doit avant tout être une loi juste. La politique moderne fait de la loi un fétiche simplement parce que c'est la loi.

L'exploitation politique des cadavres est une tradition républicaine.

Sans cesse le progrès, roue au double engrenage, Fait marcher quelque chose en écrasant quelqu'un.

La politique anglaise en Europe s'efforçait de diviser les Français et les Allemands, elle sera plus difficile à mener désormais

Qu'est-ce que la politique étrangère ? La coopération entre les classes supérieures des différentes nations.

La guerre se déroule donc déjà, non pas entre l'Islam et ses voisins, mais d'abord au sein de l'Islam lui-même.

Il y a quelque impiété à faire marcher de concert la vérité immuable, absolue, et cette sorte de vérité imparfaite et provisoire qu'on appelle la science.

La politique dans une oeuvre littéraire, c'est un coup de pistolet au milieu d'un concert.

Nombreux sont ceux qui discutent de la guerre ; peu la font.

La meilleure politique c'est la vertu.

La guerre c'est comme une actrice qui vieillit : de plus en plus dangereuse et de moins en moins photogénique.

L'homme ne s'aperçoit pas qu'on l'étouffe, mais en plus il revendique sa famille, son travail, son système politique et la plupart de ses prisons comme autant de formes "d'expression de sa personnalité".

La politique de l'autruche est respectable : tout dépend de ce qu'il y a dans le sable.

Attendre un enfant, c'est marcher seule sur un fil au-dessus du chaos avec la certitude qu'il n'est plus permis de tomber...

On fait de la bonne politique à partir des réalités.

Le seul parti que, à la limite, je pourrais tolérer, ce serait celui du sourire.

On ne ment jamais tant qu'avant les élections, pendant la guerre et après la chasse.

Il y a un culte de l'ignorance aux États-Unis, et il y en a toujours eu. La tension de l'anti-intellectualisme a été un fil conducteur constant dans notre vie politique et culturelle, nourrie par la fausse idée que la démocratie signifie que « mon ignorance est aussi bonne que votre savoir ».

En outre, il y a une loi de beauté qu'il importe de ne pas oublier! malgré l'effort de quelques uns, nous semblons marcher vers cet oubli, tant la médiocrité, monstre à mille têtes, a de fidèles dans les sociétés modernes.

La guerre est un mal qui déshonore le genre humain.

C'est pas dur la politique comme métier ! Tu fais cinq ans de droit et tout le reste c'est de travers.

Les grandes idées ont besoin de silence, de douceur, elles ont besoin qu'on les mette en confiance : il y a un côté réfugié politique dans une bonne idée de roman.