Citation de Tristan Bernard sur Liberté, Bien et Avoir

Tu dois, donc tu peux. Une volonté libre et une volonté soumise à des lois morales sont une seule et même chose.

Je préfère être princesse d'un petit royaume que courtisane dans un grand château.

La liberté ne peut pas plus exister sans vertu et sans indépendance que le corps ne peut vivre et se mouvoir sans âme.

La liberté n'est jamais donnée volontairement par l'oppresseur ; elle doit être exigée par les opprimés.

La loi doit protéger la liberté publique et individuelle contre l'oppression de ceux qui gouvernent.

Qui femme prend liberté vend.

La liberté consiste moins à donner beaucoup qu'à donner à propos.

Aimer ses parents c'est prendre sur soi, agir par sa volonté pour leur faire plaisir.

On a souvent besoin d'un plus petit que soi.

Mon premier « Je t'aime » ? Une petite lettre d'un petit garçon de Colmar qui m'a écrit : « J'aime deux choses, toi et la rose. La rose pour un jour, et toi pour toujours ». Moi je ne dis jamais je t'aime.

La liberté coûte très cher et il faut, ou se résigner à vivre sans elle, ou se décider à la payer son prix.

Le rif ne combat pas les espagnols et ne ressent pas de haine envers le peuple espagnol. Le rif combat cet impérialisme envahisseur qui veut lui ôter sa liberté à force de sacrifices moraux et matériels du noble peuple espagnol.

Dolorès, je vais être un petit peu brutal mais il m'est impossible de m'engager avec une femme. Avec moi, les histoires d'amour ne s'écrivent pas dans le temps, ce sont des histoires courtes, compactes, passionnelles. D'aucun ont des aventures... Je suis une aventure.

Si j'ai survécu, je le dois d'abord et à coup sûr au hasard, ensuite à la colère, à la volonté de dévoiler ces crimes et, enfin, à une coalition de l'amitié, car j'avais perdu le désir viscéral de vivre.

J'ai toujours pensé qu'en politique un petit pas fait ensemble vaut mieux qu'un grand bond solitaire.

C'est la force et la liberté qui font les excellents hommes. La faiblesse et l'esclavage n'ont fait jamais que des méchants.

La vraie liberté consiste dans la faculté de choisir ses propres contraintes.

Toutes choses étaient ensemble, infinies en nombre et en petitesse ; car le petit aussi était infini.

Il y a beaucoup de parties de qui je suis que personne dans le public n'a jamais connu, mais plus j'ai vieilli, plus j'ai apprécié mon petit moi étrange et en venir à bout.

La vie est, à mes yeux, instinct de croissance, de durée, d'accumulation de force, de puissance : là où la volonté de puissance fait défaut, il y a déclin.

La famille est un asile et un abri, un petit nid où l'on se sent en sécurité, protégé et aimé.

La mort est la seule liberté que connaisse l'esclave.

Pourquoi prétendre que je doive choisir ? C'est mon existence qui me choisit, petit à petit.

C'est par le travail que la femme a en grande partie franchi la distance qui la séparait du mâle ; c'est le travail qui peut seul lui garantir une liberté concrète.

Renoncer à sa liberté c'est renoncer à sa qualité d'homme, aux droits de l'humanité, même à ses devoirs.

Il y a quatre droits naturels que le prince est obligé de conserver à chacun de ses sujets ; ils ne les tiennent que de Dieu et ils sont antérieurs à toute loi politique et civile : la vie, l'honneur, la liberté et la propriété.

Le plus beau présent de la vie est la liberté qu'elle vous laisse d'en sortir à votre heure.

Plus on est grand et moins on doit avoir de volonté ; l'on dépend des événements et des circonstances.

La liberté que nous cherchons n'est pas une contrée lointaine, elle est en nous.

La marche des vertueux est semée d'obstacles qui sont les entreprises égoïstes que fait sans fin, surgir l'oeuvre du malin. Béni soit-il l'homme de bonne volonté qui, au nom de la charité se fait le berger des faibles qu'il guide [...] ► Lire la suite