Citation de Jacques Poulin sur Jeunesse, Maladie et Incurable

La jeunesse est un art.

Rouler des mécaniques c'est une maladie des hommes.

La pensée, en Angleterre, n'est pas une maladie contagieuse.

En Occident la jeunesse est désemparée ; l'une des raisons de son trouble est que l'on n'exige plus assez d'elle. La jeunesse avec raison exige qu'on exige.

La jeunesse veut l'espace ; la vieillesse, le temps.

La jalousie n'est qu'un sot enfant de l'orgueil, ou c'est la maladie d'un fou.

J'ai entendu mon âme chanter derrière une feuille, j'ai arraché la feuille, mais alors je l'ai entendue chanter derrière un voile. J'ai déchiré le voile, mais alors je l'ai entendue chanter derrière un mur. J'ai abattu le mur et j'ai [...] ► Lire la suite

Quarante ans, c'est la vieillesse de la jeunesse, mais cinquante ans, c'est la jeunesse de la vieillesse.

La nature de la maladie est aussi obscure que la nature de la vie.

Je garde une grande tendresse pour ce pays qu'esl le languedoc, parce que j'ai passé ma jeunesse de huit ans à quinze ans.

Je suis vraiment enthousiasmé par la perspective d'une femme présidente des États-Unis.

Aux grands-pères : vous avez eu à coeur d'inculquer les bonnes manières à votre progéniture, vous aurez le même enthousiasme à enseigner les mauvaises à la leur.

Tout passe, le temps les gens les mots la peur. L'oubli est une maladie grave.

Un vendeur sans enthousiasme est un simple employé.

C'est là ce qu'on appelle l'âge mûr de l'homme : vivre des provisions amassées en route.

Nos ancêtres sont nos enfants, par un trou dans le mur nous les regardons jouer dans leur chambre, et ils ne peuvent pas nous voir.

Trois choses ne s'obtiennent pas grâce aux trois autres : la richesse grâce au désir, la jeunesse grâce au fard, la santé grâce aux médicaments.

La jeunesse montre l'homme comme le matin montre le jour.

Les extravagantes embardées du Nan-Shan témoignaient de sa lamentable impuissance. Il tanguait, il piquait du nez dans le vide et semblait, à chaque plongée, rencontrer quelque mur ou cogner.

Si je n'avais pas écrit je serais devenue une incurable de l'alcool.

On perd la plus grande partie de sa jeunesse à coups de maladresse.

Ô jeunesse ! Quelle force elle a, quelle foi, quelle imagination.

L'amour est une maladie sans laquelle on ne se porte pas bien.

Les plaisirs de la jeunesse reproduits par la mémoire sont des ruines vues au flambeau.

Votre jeunesse et votre sincérité. C'est peu pour s'en aller dans les méandres du monde.

Je comprends enfin à quel moment les dames commencent à opter pour les deux pièces : quand elles ne supportent plus que la mode de la rue leur rappelle leur jeunesse perdue.

La jeunesse est le temps qu'on a devant soi.

Dresser ce qui vous plaît contre ce qui ne vous plaît pas. C'est là la maladie de l'esprit.

Tombée amoureuse comme on attrape une maladie : sans le vouloir, sans y croire, contre mon gré et sans pouvoir m'en défendre, et puis...et puis je l'ai perdu. De la même manière...

Je pense que la plus grande maladie de cette époque et de cette ère, est que les gens se sentent mal aimés. Je sais que je peux aimer une minute, une demi-heure, une journée, un mois; je peux donner de l'amour. J'en suis très heureuse, et je veux le faire.