Citation de Jean-Paul Sartre sur Temps et Mourir

Les temps changent. Autrefois, c'était l'homme qui décidait. Il donnait la vie, la femme était comme un frigidaire. Enfin, un frigidaire chaud ! Dont l'homme tirait la poignée !

La première fois c'est une erreur, la seconde c'est qu'on le fait exprès.

Les hommes sont tous condamnés à mort avec des sursis indéfinis.

On n'est pas des manouches il me semble... Un coup de balai une fois de temps en temps ça t'arracherai la gueule !?

Oh ! que si l'âne alors, à bon droit misanthrope,
Pouvait trouver la voix qu'il eut au temps d'Esope ;
De tous côtés, docteur, voyant les hommes fous,
Qu'il dirait de bon coeur, sans en être jaloux,
Content de ses chardons, et secouant la tête :
Ma foi, non plus que nous, l'homme n'est qu'une bête !

Le temps ne pouvait détruire la vérité, mais seulement la dissimuler au travers des légendes.

Le temps n'a pas la même allure pour tout le monde !

Nul ne connaît la mort s'il ne l'a une fois vue sur un visage adoré.

Cette incapacité de nos sociétés à fonder une civilisation du temps libéré entraîne une distribution absurde et scandaleusement injuste du travail, du temps disponible et des richesses.

Qu'est ce qu'on a réellement le temps de faire en une heure ? Ses courses, peut-être. Un trajet dans les embouteillages. Une vidange de sa voiture. Quand on y pense, une heure ce n'est pas très long. 60 minutes. 3 600 [...] ► Lire la suite

J'ai pas voulu me retrouver ici. Je suis dégoûtée. Je donnerais tout pour être ailleurs. Tu vois ? Je donnerais tout pour avoir une vie qui ressemble à ce que moi j'avais en tête. Pour avoir au moins le temps de me dire, et moi alors ? Quand ça marche pas il faut changer, il faut s'adapter.

Vous avez déjà eu le besoin irrépressible d'être avec quelqu'un pour finir par avoir le coeur brisé...

La folie est le prix à payer pour le temps passé à être trop lucide.

La mort est un petit oiseau qui chaque jour vient se désaltérer dans ta coupe de vin.

Toute vie est un échec puisque aussi la mort la termine.

Jean-Marie Le Pen : Je suis passionné par l'histoire de la Deuxième Guerre mondiale. Je me pose un certain nombre de questions. Je ne dis pas que les chambres à gaz n'ont pas existé. Je n'ai pas pu moi-même en [...] ► Lire la suite

Heureux chocolat, qui après avoir couru le monde, à travers le sourire des femmes, trouve la mort dans un baiser savoureux et fondant de leur bouche.

Le réel ne peut émerger, se décanter que si en même temps émerge, se décante l'irréel.

Moi, quand je foutais rien dans la vie, t'avais mon grand-père maternel qui venait me voir : "Nous on a fait la Seconde Guerre mondiale avec le général de Gaulle". Là tu fermais ta gueule tu allais faire tes devoirs. [...] ► Lire la suite

Vous allez y arriver. Maintenant, dans une semaine, un mois ou un an... ça prendra le temps que ça prendra. Mais vous y arriverez.

C'est ainsi : les choses qui arrivent dans la vie basculent tôt ou tard dans les livres. Elles y trouvent leur mort et un dernier éclat.

Le temps est disloqué. Ô destin maudit, pourquoi ne suis-je né pour le remettre en place ?

Le drame quand on est président, c'est que si on entreprend de résoudre les problèmes, on n'a plus le temps de gouverner.

Quand un fourbe vous dit : Pour finir votre affaire, voici ce qu'il faut faire ; vous croyez que pour but il n'a que votre bien, mais désabusez-vous, il ne songe qu'au sien.

La colère est comme le feu par un temps de vent, elle fait brûler les vêtements de la saison d'hiver.

Le grand avantage des films, c'est que vous donnez aux gens de petits morceaux de temps qu'ils n'oublient jamais.

La vie humaine se compose de deux parties : on tue le temps, le temps vous tue.

Quelles choses donnent de la tragédie, lesquelles de la comédie ? C'est avec le temps qu'on le découvre.

La mort n'est que le milieu d'une longue vie.

Du temps que j'en étais épris,
Les lauriers valaient bien leur prix.