Citation de Gérald Jampolsky sur Monde, Idée et Changer

La mer est un espace de rigueur et de liberté.

Quittez le monde avant qu'il ne vous quitte.

La réalité ne pardonne pas qu'on la méprise ; elle se venge en effondrant le rêve, en le piétinant, en le jetant en loques dans un tas de boue !

Vieillir, c'est passer de la passion à la compassion.

Les associations comme la CICAD, une association en plus qui est mal placée, qui est une association que je n'apprécie pas particulièrement comme vous le savez, mais qui est une association raciste, communautaire, excessive, repliée sur elle-même, qui n'arrive pas [...] ► Lire la suite

Le monde est très grand et plein de contrées magnifiques que l'existence de mille hommes ne suffirait pas à visiter.

Allez-y, faites-moi la peau, bande de fumiers et de lâches. Je m'en fous, j'ai pas envie de vivre, surtout dans un monde aussi dégueulasse que celui-ci.

Et je lui souris. Pas le sourire standard de l'hypermarché ; le sourire que son fils m'a rendu, ce sourire qui chasse les peurs, les remords et les drames, qui réenchante le monde et détourne le malheur vers les méchants et les tristes. Mon sourire de fée.

Qu'on en dise du bien ou du mal, quand tout le monde en parle, c'est un succès.

J'ai parfois l'impression de vagabonder autour du monde dans le seul but d'accumuler le matériau de futures nostalgies.

Quand la science saura, la religion pourra, et l'homme agira avec une énergie nouvelle.

Il semble que le monde est divisé vraiment entre bons et méchants : les bons et les méchants. Les bons dorment mieux... mais les méchants profitent beaucoup plus de leurs heures de veille.

Le rire doit être construit, basé sur la réalité de la vie, sur des faits communs. La folie, oui, mais avec un cadre.

Le test d'une bonne religion est de savoir si vous pouvez faire des plaisanteries à son sujet.

La vraie religion consiste à se garder d'un genre de croire qui nous délivrerait de vouloir.

Ce qu'il y a de merveilleux dans l'éducation, c'est que tout le monde la veut. Comme la grippe, vous pouvez la donner sans en perdre vous-même.

La mort, c'est personnel. Tout le monde meurt, mais les détails sont personnels. Au fond, c'est une question de détails.

Dans ce monde complexe où l'information n'a jamais été aussi abondante, nous devons développer l'intelligence économique.

Dieu dort dans le minéral, rêve dans le végétal, s'éveille dans l'animal, pense et aime dans l'homme.

Quand on se noie, on pense à sa famille qui va se demander d'abord pourquoi on est en retard pour le thé et ensuite ce qui va se passer étant donné qu'on n'a pas fait de testament.

Un livre, c'est le seul lieu au monde où deux étrangers peuvent se rencontrer de façon intime.

Nous sommes à un moment de l'histoire où tout le monde doit faire attention à la politique. Il y a trop en jeu pour que nous soyons apathiques.

Aux Etats-Unis, pays des plus gros mangeurs de viande et qui influence les habitudes alimentaires de toute la planète, 20% des étudiants sont aujourd'hui végétariens. Dans quelques années, ce sont eux qui occuperont des postes clés dans la société : ils commenceront alors à définir sérieusement les contours d'un monde sans viande.

La mort est un vêtement que tout le monde portera.

Il faut apprendre, non pas pour l'amour de la connaissance, mais pour se défendre contre le mépris dans lequel le monde tient les ignorants.

Tout le rêve de la démocratie est d'élever le prolétaire au niveau de bêtise du bourgeois. Le rêve est en partie accompli.

Nul question de patriarcat, le monde se construit homme-femme et femme-homme tout est paritaire depuis l'aube des temps.

Nous avions quitté le monde des femmes, de la campagne de la bienvaillance, nous entrions dans celui de la ville, des hommes, de leurs combats, de leur rage à se mesurer les uns aux autres, désormais les dangers nous cernaient de toute part.

L'enfance est ce que le monde abandonne pour continuer d'être monde.

Le grand argument du fascisme se résume à «tout le monde tait la vérité, mais nous, nous la disons, au risque de choquer».