Citation de William Shakespeare sur Tempête, Nuage et Enfante

Chacun interprète la diversité à sa manière. Peut-être ce grand vent de nouveautés n'est-il qu'un sirocco qui de nouveau les endormira tous.

Dieu sait que nous n'avons jamais à rougir de nos larmes, car elles sont comme une pluie sur la poussière aveuglante de la terre qui recouvre nos coeurs endurcis.

Les cinéastes ne sont pas des marques de confiture ou des couturiers à la recherche du vent qui passe.

Le vent faillit me faire tomber de la passerelle, dès j'y eus posé le pied. Il venait du désert, libre et sauvage. Il remplit mes bronches d'un seul coup, à éclater de chaleur, d'oxygène et de lumière. Depuis plus de vingt-quatre heures, j'étais mort à toute sensation, sauf à celle-là : l'appel de la vie.

Il n'est pas de vent favorable pour celui qui ne sait pas où il va.

En province, la pluie devient une distraction.

La pluie ruisselait en pleurs le long de ses joues amaigries. Puis deux lourdes larmes coulèrent de ses yeux : les deux dernières...

Contemplez hardiment tous ceux qui sont costumés De se sacrifier à l'autel des beautés Vous verrez que le vent de leur légèreté Leur éteint le brasier aussitôt qu'ils l'allument.

A-t-on bien vu que, lorsque le destin s'en mêle, il va comme le vent et jonche la route avec les coeurs - nos pauvres coeurs humains ? Ainsi se font les feuilles mortes.

Dans le désert, la tourmente de l'âme se change en ennui. Au contact des êtres susceptibles de les comprendre, les peines s'attisent.

Elle dort toute blanche,
En robe de dimanche,
Dans son cercueil ouvert
Malgré le vent d'hiver.

Le vent pleurait les oiseaux de passage,
Berçant les mers sur ses ailes de sel,
Je prends l'étoile avec un beau nuage,
Quand la page blanche a bu tout le ciel.

Prends garde à cette phrase que tu vas écrire : des yeux de l'autre monde peut-être la liront. Il ne faut pas qu'elle y laisse un nuage trouble.

Le vent fera craquer les branches
La brume viendra dans sa robe blanche
Y aura des feuilles partout
Couchées sur les cailloux
Octobre tiendra sa revanche
Le soleil sortira à peine
Nos corps se cacheront sous des bouts de laine.

Tout homme a besoin de s'attacher à une bouée spirituelle ou superstitieuse, tourmenté qu'il est par le mystère de l'inconnu, notamment celui du secret de la mort.

Dieu a permis, pour punir l'homme du péché originel, qu'il se fît un dieu de son amour-propre pour en être tourmenté dans toutes les actions de sa vie.

Qui sème le vent récolte la tempête.

Le vent pousse la feuille morte dans le trou, mais ne l'en ressort pas.

Le vent ne renversera jamais la montagne.

Le babil du texte, c'est seulement cette écume de langage qui se forme sous l'effet d'un simple besoin d'écriture

Qu'est-ce qui distingue les anges de nous ? Leur très grand naturel. Comment s'appelle le chien qui mort son maître ? La gloire. Qui rit après sa mort ? La pluie dans le feuillage.

Dieu est celui qui est feu, sel et vent et qui reste insaisissable comme la respiration de la vie.

Pauvres messieurs auxquels on interdit de fumer leur cigare parce que la fumée risque de réveiller le chat que la demoiselle a dans la gorge !

Le vent n'est pas plus rapide que le choix d'une femme entre deux hommes.

Gargouille. Tuyau d'évacuation de l'eau de pluie sur l'avant-toit des constructions médiévales, généralement sous la forme grotesque et caricaturale d'un ennemi personnel de l'architecte ou du propriétaire du bâtiment.

Sur la littérature universelle plane un nuage d'alcool.

Celui qui urine contre le vent se retrouve toujours avec les pieds humides.

La clémence est autant agréable aux hommes qu'une pluie qui vient sur le soir, ou dans l'automne, tempérer la chaleur du jour ou celle d'une saison brûlante, et humecter la terre que l'ardeur du soleil a desséchée.

Qui enfante un mensonge de sa langue se couvre de honte.

La pluie nous a debués et lavés
Et le soleil desséchés et noircis;
Pies, corbeaux nous ont les yeux cavés
Et arraché la barbe et les sourcils.