Citation de Mihaly Tancsics sur Science, Vent et Économie

Le cerveau des enfants est comme une bougie allumée dans un lieu exposé au vent : sa lumière vacille toujours.

La technique nous écarterait-elle de notre passé, au point de nous le rendre inintelligible ?

La science des projets consiste à prévenir les difficultés de l'exécution.

Rien n'arrête un vent qui souffle, un esprit.

La renommée est un instrument à vent que font résonner les soupçons, les jalousies, les conjectures.

La science m'ordonne de n'aimer que moi, attendu que tout le monde est fondé sur l'intérêt personnel.

La science est un acquêt de l'homme.

L'hypocrite tergiverse dans le sens du vent quand le menteur se noie dans ses propres mensonges.

La météo est une science qui permet de connaître le temps qu'il aurait dû faire.

C'est tout une science que d'arriver à comprendre, de la scène, l'effet que le jeu produit de l'autre côté de la rampe.

- Toi, tu mets ton point d'honneur à ne pas être dans le vent ! - J'ai peur de m'enrhumer.

Le changement climatique est réel. La science en est convaincue. Et plus nous attendons, plus le problème sera dur à résoudre.

Si la sociologie avait trouvé une solution, cela se saurait !

L'homme oriente sa voile, appuie sur le gouvernail, avançant contre le vent par la force même du vent.

Nous avons construit un monde où l'intelligence est la premières des facultés, où la science et la technique nous tirent en avant et nous chutons, en produisant plus de misères, de famines, de maladies.

Personne ne devrait approcher le temple de la science avec l'âme d'un changeur de monnaie.

La science cherche encore, l'amour a trouvé.

Un homme sans éthique est une bête sauvage abandonnée à ce monde.

La science ouvre à l'esprit humain une voie infinie, et le lance, par une série d'étapes sans nombre, sur l'Asymptote de la Vérité.

L'amour de la science et l'amour de l'argent se rencontrent rarement.

On ne méprise pas la science sans mépriser la raison ; on ne méprise pas la raison sans mépriser l'homme ; on ne méprise pas l'homme sans offenser Dieu.

J'aime la simplicité qui s'accompagne d'humilité. J'aime les gens qui savent sentir le vent sur leur propre peau, sentir les arômes des choses, en capturer l'âme. Ceux qui ont leur chair au contact de la chair du monde. Car là, est la vérité...

Ceux qui ont inventé le bateau à vapeur. Que savent-ils du vent qui gonfle les voiles ?

La science n'a pas de patrie.

Le loisir moderne ? L'art de brasser du vent travesti en surmenage.

L'amour en un dieu imaginaire varie selon la somme de nos satisfactions et insatisfactions comme un moulin à vent tournique ses ailes quand Dieu le veut.

La civilisation a pour but, non pas le progrès de la science et des machines, mais celui de l'homme.

Parce que la science nous balance sa science, science sans conscience égale science de l'inconscience.

Le vent ne soulève pas la poussière sans raison.

Disséquer le corps humain, c'est détruire sa beauté ; et pourtant, par cette dissection, la science arrive à y reconnaître une beauté d'un ordre bien supérieur et que la vue superficielle n'aurait pas soupçonnée.