Citation d'Al Goodman sur Problème, Été et Entre

La médecine est née du mal, si elle n'est pas née de la maladie et si elle a, au contraire, provoqué et créé de toutes pièces le malade pour se donner une raison d'être.

Quand intelligence et sensibilité sont en parfait équilibre, on a le merveilleux acteur.

La théologie chrétienne n'a jamais encore accepté de prendre en compte le problème de la souffrance animale.

Le problème aujourd'hui n'est pas l'énergie atomique, mais le coeur des hommes.

A ce grand savant, à ce diagnostiqueur infaillible parlant de sa mort avec cette assurance tranquille, il n'y avait rien à répondre que d'inutiles banalités.

Le problème avec les films comme une entreprise, c'est que c'est un art, et le problème avec les films comme l'art, c'est que c'est une entreprise.

La vie est un mystère qu'il faut vivre, et non un problème à résoudre.

Le principe de l'évolution est beaucoup plus rapide en informatique que chez le bipède.

Pour être tout à fait franche, je t'avouerai que je ne m'en fiche pas du tout, que je me donne un mal infini pour me changer, mais que je me bats toujours contre des armées plus fortes que moi.

Le problème en Amérique n'est pas que nous commettions trop d'erreurs, mais que nous en commettions trop peu.

La fin suprême de la famille serait qu'entre les trois personnes il n'y eût plus ni sexe ni âge, que les fils fût le père de ses parents, l'époux de sa mère.

La cendre est la maladie du cigare.

Les rapports avec les hommes d'affaire et les avocats. C'est le problème de toutes les veuves.

Je vois, vous vous prenez trop au sérieux pour vous soucier de ce que vous portez et vous mettez disons cet espèce de pull difforme mais ce que vous ne savez pas c'est que ce pull n'est pas juste bleu, [...] ► Lire la suite

Le problème du contrat est de savoir sur quoi il se fonde.

Qu'est-ce-qu'une année sinon le volume infini d'une pincée de secondes ?

Vivre est une maladie dont le sommeil nous soulage toutes les seize heures.

Le suprême triomphe de la raison est de jeter le doute sur sa propre validité.

C'est là mon supplice de voir sans cesse le parfait et le juste sans pouvoir jamais y atteindre.

Si vous êtes déprimé, appelez quelqu'un. Et rappelez-vous, le suicide est une solution permanente à un problème temporaire.

Le seul vrai problème philosophique ce n'est pas le suicide, c'est de savoir pourquoi on ne peut pas se suicider.

Chaque problème que je résolvais devenait une règle, qui servait ensuite à résoudre d'autres problèmes.

L'anorexie mentale est une maladie liée à une profonde blessure, parfois mortelle, qu'un simple mot peut déclencher. L'auteur de ce dernier devrait être logé à la même enseigne que le pire des criminels.

Il n'y a qu'un problème philosophique vraiment sérieux : c'est le suicide. Juger que la vie vaut ou ne vaut pas la peine d'être vécue, c'est répondre à la question fondamentale de la philosophie.

Ainsi, à chaque naissance, il y aurait un homme et une femme qui seraient prédestinés l'un à l'autre. Et tout le problème est de savoir qui est le compagnon de son âme.

La femme contient le problème social et le mystère humain. Elle semble la grande faiblesse, elle est la grande force.

Un problème sans solution est un problème mal posé.

Il n'y a rien de plus tragique qu'un homme sérieux déçu dans ses ambitions par une réalité médiocre.

Le silence n'arrange rien, ni les nerfs, ni les crampes. A force de durer, c'est une maladie aussi.

J'ai peine à croire qu'on parvienne un jour à démontrer que nous sommes l'oeuvre d'un être suprême et non pas, comme il semble, celle d'un être fort imparfait qui nous a fabriqués en guise de passe-temps.