PAROLES D’ARDENNAIS

PAROLES D’ARDENNAIS

    Gilles, 58 ans : « Les jeunes, quand ils viennent en centre-ville, ils se mettent au coin de la grand-rue, ils se réunissent à une vingtaine et ils dérangent tout le monde. »

    Stéphane, un jeune, reconnaît que « le matin, on se réveille, on se pose, on se retrouve dans le bloc… et la seule chose qu'on trouve à faire, c'est de descendre en ville où on fout la m… On tue le temps ».

    Les vendeuses de Sephora enragent de voir les jeunes « rentrer, sortir, squatter les rayons. Ils viennent pour emm... les gens ».

    Martine ajoute : « Dans nos campagnes, on n'en est pas au même point qu'en région parisienne, mais c'est vrai que je fais attention à mon sac. »