Législatives : le RN «ne souhaite pas être dans l’obstruction systématique», assure Marine Le Pen

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Merci de nous avoir suivis. Rendez-vous dès demain matin sur notre site pour suivre toute l'actualité politique et la fin des consultations d'Emmanuel Macron avec les chefs des partis politiques notamment.

« Le bilan d'Édouard Philippe est un bilan triste », tacle Christian Jacob

Le président du parti Les Républicains a pris la parole en début de soirée, quelques minutes après l'interview de l'ancien Premier ministre qui avait appelé à une « grande coalition ». « Notre ligne est très claire, nous serons force de proposition, mais jamais dans la compromission », a-t-il répondu, accusant l'ancien LR d'avoir « cherché à tuer le parti des Républicains ».

Le retour tonitruant à l’Assemblée nationale de Jérôme Guedj, qui a fait tomber la ministre Amélie de Montchalin

Élu député (Nupes) de la 6e circonscription de l'Essonne, l’ancien président socialiste du Conseil général de l’Essonne retrouve les bancs du Palais-Bourbon, qu’il avait occupés de 2012 à 2014 en tant que suppléant.

Le RN « ne souhaite pas être dans l'obstruction systématique », assure Marine Le Pen

Marine Le Pen a pris la parole devant la presse après son entretien à l’Elysée avec Emmanuel Macron. « J'ai rappelé au chef de l'Etat que le groupe de 89 députés que j'ai l'honneur de présider est un groupe dans l'opposition mais qui ne souhaite pas être dans l'obstruction systématique», estime-t-elle. Elle a aussi évoqué un entretien d’une heure et demie sur « la situation du pays, les difficultés des Français », et « des sujets de préoccupation urgents : le pouvoir d’achat (…), une immigration absolument anarchique et dérégulée ». Marine Le Pen a aussi eu un mot pour la Première ministre. « Le problème n’est pas la personne d’Elisabeth Borne, mais la politique qu’elle souhaite mettre en œuvre. »

«Un changement d’attitude est nécessaire de la part du président», estime Gérard Larcher

Deux jours après le second tour des législatives, le président (LR) du Sénat prévient que le pays sera «difficile à gouverner» pour Emmanuel Macron, et l’invite à changer son rapport avec le Parlement, négligé durant le quinquennat précédent. Entretien.

Roland Lescure également candidat à la présidence de l'Assemblée nationale

Le président sortant de la commission des Affaires économiques rejoint Yaël Braun-Pivet, Barbara Pompili, Joël Giraud et Eric Woerth, également candidats à la succession de Richard Ferrand au perchoir. Les candidats de La République en marche (LREM) devaient se faire connaître avant 18 heures.

Mathilde Panot réélue à la présidence du groupe LFI à l'Assemblée nationale

« Merci aux député·e·s de m’avoir réélue à l’unanimité présidente du groupe de La France insoumise à l’Assemblée nationale. Cette confiance m'honore », a tweeté la députée du Val-de-Marne.

« Nous allons devoir constituer une grande coalition »

« Nous nous trouvons pour la première fois dans une situation où nous allons devoir constituer une grande coalition », affirme Edouard Philippe. « Il est possible d'imaginer un compromis » avec Les Républicains, assure-t-il.

Edouard Philippe évoque « une situation inédite »

« Je ne dirais pas que c'est un séisme, mais reconnaissons que les résultats des législatives nous placent dans une situation inédite », explique sur BFMTV le président du parti Horizons et ancien Premier ministre à propos du second tour des législatives, où la majorité présidentielle dont il est membre avec son parti Horizons a obtenu 245 sièges à l'Assemblée nationale, loin de la majorité absolue fixée à 289 sièges.

Philippe Martinez refuse de participer à des réunions avec le RN

Le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, affirm qu'il est « hors de question » pour la CGT de « participer à des réunions au niveau national où il y aurait des représentants du Rassemblement national », une situation qui pourrait se produire compte tenu de son poids à l'Assemblée. « Notre opposition concernant le Rassemblement national n'a pas changé », a dit Martinez lors d'une conférence de presse au siège de la CGT à Montreuil (Seine-Saint-Denis).

Jean-Michel Blanquer devrait intégrer un poste sur mesure à l’université Panthéon-Assas

L’ancien ministre de l'Education, défait aux législatives dans le Loiret, devrait obtenir un poste d’enseignant en droit public dans l’université parisienne.

Yaël Braun-Pivet aussi candidate à la présidence de l’Assemblée nationale

INFO LE PARISIEN. La ministre des outre-mer, réélue députée de la 5e circonscription des Yvelines, brigue aussi le perchoir, après avoir été présidente de la commission des lois de l’Assemblée nationale.

Joël Giraud également candidat à la présidence de l’Assemblée nationale

« Avec ma fougue et rigueur hautes-alpines, fort de 20 ans d’expérience à l’Assemblée comme Député puis Rapporteur général du Budget,aguerri par 2 ans au service des territoires dans le Gouvernement, je suis candidat à la Présidence de l’Assemblée nationale », a tweeté l'ancien secrétaire d’Etat en charge de la ruralité et ancien ministre de la cohésion des territoires.

Le député en fauteuil roulant Sébastien Peytavie a fait son entrée à l’Assemblée nationale

La place du handicap dans la société n’est pas « forcément le combat que je vais mener, mais j’y serai vigilant », assure le nouveau député (Nupes-EELV) de la 4e circonscription de la Dordogne.

Barbara Pompili candidate à la présidence de l’Assemblée nationale

INFO LE PARISIEN. Réélue députée de la 2e circonscription de la Somme, l'ancienne ministre de la Transition écologique est candidate à la succession de Richard Ferrand au perchoir.

Elisabeth Borne et Emmanuel Macron en baisse dans les sondages

La cote de popularité de la Première ministre a dévissé de 7 points en juin, un mois seulement après sa nomination à Matignon, selon un sondage Ifop-Fiducial publié mardi qui voit également Emmanuel Macron perdre deux points. Selon cette enquête pour Paris Match et Sud Radio effectuée juste avant le second tour des élections législatives, 41% des personnes interrogées approuvent désormais l'action de d'Elisabeth Borne, contre 48% à son arrivée mi-mai. Le chef de l'Etat est en recul également, avec 41% d'opinions positives, et des plus fortes interrogations quant à sa capacité à mener les réformes promises (45%, -3 pts).

Marine Le Pen est arrivée à l'Elysée

Les consultations continuent. Après Christian Jacob (LR), Olivier Faure (PS), François Bayrou (MoDem) et Stanislas Guerini (LREM), Marine Le Pen (RN) est reçue par Emmanuel Macron.

Éric Woerth candidat à la présidence de l’Assemblée nationale

INFO LE PARISIEN. Réélu dimanche 19 juin député de l’Oise, l’ancien LR rallié à LREM est candidat à la succession de Richard Ferrand au perchoir. « Richard Ferrand avait pour vocation à poursuivre le travail qui était le sien au perchoir. Malheureusement, il n’a pas été réélu et je souhaite rendre hommage à son travail et me placer dans la continuité de son action », explique-t-il.

« Madame la Première ministre, vous devez venir » devant l'Assemblée, lance Jean-Luc Mélenchon

« Quand il y a un gouvernement, il vient devant l'Assemblée (…) et il demande la confiance. Si elle lui est refusée, il forme un autre gouvernement. Par conséquent, la première tache de madame Borne, c'est de se présenter devant l'Assemblée et de demander la confiance. Certes, la Constitution n'oblige pas à ce vote. Mais tout commence par le fait qu'on veuille bien se souvenir qu'on est en démocratie », avance Jean-Luc Mélenchon, depuis l'Assemblée nationale. « Madame la Première ministre, vous devez venir ici », demande-t-il.

« On appelle à des majorités de projet »

« Nous sommes dans un mouvement inédit. J'aurais préféré avoir une majorité absolue mais on s'adapte. On appelle à des majorités au moins de projet », fait savoir Sylvain Maillard, député Ensemble réélu ce dimanche, sur BFMTV.

« Nous sommes là pour gouverner », pointe Le Maire

« Nous sommes là pour gouverner, nous avons été élus par le peuple français pour gouverner et nous gouvernons sous l'autorité d'Elisabeth Borne et du président de la République », fait savoir Bruno Le Maire à la sortie de la réunion de travail des membres du gouvernement.

Mélenchon revient sur sa proposition

« J'ai peut-être été trop rapide hier » en proposant un groupe unique à gauche avec les membres de la Nupes, réagit Jean-Luc Mélenchon, lors d'un déplacement aux Invalides.

Elisabeth Borne recevra les présidents des groupes de l’Assemblée la semaine prochaine

Après Emmanuel Macron avec les chefs de partis ce mardi, la Première ministre recevra la semaine prochaine les nouveaux présidents de groupes de l’Assemblée nationale.

Guerini se veut optimiste

« Je suis certain que nous saurons faire émerger quelque chose de nouveau au Parlement », juge Stanislas Guerini. Il faut « rechercher l'intérêt général » poursuit-il. 

AFP/Ludovic Marin

Pradié n'a pas « vocation à bordéliser l'Assemblée »

« Je suis opposé aux mariages forcés en politique. Je n’ai pas le même projet politique qu’Emmanuel Macron, ça ne veut pas dire que j'ai vocation à bordéliser l’Assemblée Nationale », fait savoir Aurélien Pradié sur BFMTV. « Je pense qu'on est à la fin d'un cycle qui est une imposture politique », juge-t-il, tranchant également qu'on « ne gouverne pas à coup de décret ». « Il nous faut rebâtir la droite populaire », poursuit encore le député du Lot. 

Attal réagit aux attaques de Mélenchon

Le gouvernement fait bloc derrière Elisabeth Borne. Gabriel Attal la défend, après les critiques de Jean-Luc Mélenchon qui estime qu'elle n'a « aucune légitimité ». « Avec lui, la démocratie c'est qui perd, gagne. Hé bien non », balaie-t-il. 

Le gouvernement et Borne « au travail »

« Nous avons un gouvernement au travail, les Français n'ont pas fait le choix de l'immobilisme », juge Olivia Grégoire, précisant qu'Elisabeth Borne recevra « dès la semaine prochaine les présidents de groupe à l'Assemblée nationale fraîchement élus ». La Première ministre « est au travail cette semaine et la semaine prochaine ». Il y aura « bien évidemment un remaniement » pour remplacer les ministres candidats aux législatives qui n'ont pas été élus, confirme par ailleurs la porte-parole du gouvernement, mais « pas aujourd'hui ».

« Il faut s'approcher aussi près que possible de l'union nationale »

« Il y a eu un message du pays, qui est très fort, à certains égards violent et que personne dans la démocratie française ne peut ignorer », juge François Bayrou à sa sortie de l'Elysée. « Il faut s'approcher aussi près que possible de l'union nationale », estime le président du MoDem, « ce qui veut dire prendre la part la plus grande possible des responsabilités. On peut avoir, sur le passé, des contradictions, mais c'est en travaillant le plus possible ensemble dans des débats respectueux - même s'ils sont chauds - que nous ferons ce que les citoyens attendent de nous ». Selon François Bayrou, Emmanuel Macron est « parfaitement conscient de ce qu'il s'est passé ». Il est « en état de réflexion (…) je pense qu'il trouve ça stimulant ». 

POOL/AFP/Ludovic Marin

Borne « n'a aucune légitimité » pour Mélenchon

« Ça ne me fait ni chaud, ni froid qu'Elisabeth Borne reste Première ministre. Elle n'a aucune légitimité », juge Jean-Luc Mélenchon, aux Invalides à Paris. « Nous sommes en train de perdre notre temps en attendant qu'elle s'en aille. »

Stanislas Guerini à l'Elysée

Il y a quelques minutes aux côtés d'Elisabeth Borne, le ministre Stanislas Guerini est désormais à l'Elysée où il doit rencontrer Emmanuel Macron comme directeur général de LREM.

REUTERS/Sarah Meyssonnier

« Jamais aucune compromission envers le RN »

« Quand on a besoin d'avoir une majorité et si c'est bon pour les Français, on va aller chercher les voix du Rassemblement national », disait hier sur France 5 la députée LREM Céline Calvez. Rétropédalage, aujourd'hui, face à la polémique ? « Que les choses soient claires : jamais aucune compromission envers le RN, avec lequel je ne partage aucune valeur », écrit-elle sur Twitter.

« Les oppositions devront aussi prendre leurs responsabilités, loin des blocages, des jeux de posture, et ce pour l’avenir de la France », poursuit la députée des Hauts-de-Seine, réélue dimanche.

Les ministres réunis autour d'Elisabeth Borne

Une réunion de tous les ministres du gouvernement commence à Matignon, autour de la Première ministre Elisabeth Borne, alors qu'Emmanuel Macron poursuit les échanges avec les chefs de parti.

Les députés PS font leur entrée à l'Assemblée nationale

Après les Insoumis et les écologistes, c'est au tour des socialistes et des communistes de faire leur entrée à l'Assemblée nationale. Tous ont été élus sous l'étiquette de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale, mais tous ont fait leur « rentrée des classes » en ordre dispersé.

Christian Jacob quittera la tête de LR début juillet

La président des Républicains Christian Jacob, qui a déjà annoncé son intention de quitter son poste après les législatives, précise qu'il quittera « début juillet » la tête du parti. Les élections pour le remplacer devraient avoir lieu « fin octobre, début novembre », ajoute-t-il. L'échéance pourrait même courir jusque fin novembre, précise-t-on chez LR, compte tenu des délais pour recueillir les parrainages, déposer les candidatures, faire campagne...

Le programme de Macron

Emmanuel Macron va poursuivre, cet après-midi, les échanges avec les chefs de parti. Le début d'après-midi sera « tranquille » avec François Bayrou (Modem) à 14 heures et Stanislas Guerini (LREM) à 15 heures, avant de recevoir Marine Le Pen (RN) à 17h30 et Fabien Roussel (PCF) à 18h30.

Jean-Michel Blanquer bientôt recasé ?

Selon les informations de Mediapart, université Paris 2 (Panthéon-Assas) a exceptionnellement décidé d’ouvrir un poste sur mesure au sein de son département de droit public pour accueillir l’ancien ministre Jean-Michel Blanquer, après la défaite de ce dernier aux élections législatives.

Dans un message, révélé par le journal, le président de l'université n’a pas caché le « caractère inhabituel, voire exceptionnel, de la demande », dont il dit avoir été « saisi ». « Il m’a été demandé, en effet, d’envisager la possibilité d’accueillir au sein de notre université l’ancien ministre Jean-Michel Blanquer, agrégé de droit public en 1996 et spécialiste de droit constitutionnel et de droit public comparé. »

Une LR candidate à la présidence de l'Assemblée nationale

La députée du Doubs et vice-présidente de l'Assemblée, Annie Genevard, souhaite mettre son « expérience » et sa « tempérance » au service de l'Assemblée nationale et présente donc sa candidature à la présidence, pour remplacer Richard Ferrand, annonce-t-elle au Figaro.

« C'est dans l'hémicycle et non dans la rue que doivent se tenir les débats qui animent notre pays. Chaque Français doit pouvoir retrouver l'expression de son opinion à l'Assemblée nationale et c'est la raison pour laquelle la présidence doit incarner ce respect du débat contradictoire », estime-t-elle.

LREM choisit son président de groupe

La succession de Christophe Castaner à la tête du groupe LREM est ouverte. Les candidats ont jusqu'à ce soir pour se déclarer, l'élection devrait être conduite demain matin.

Olivier Faure s'exprime après avoir vu Macron

Le Premier secrétaire du PS estime que « le président doit accepter d'entrer dans une phase beaucoup plus parlementaire, et à entendre tous et toutes ». Olivier Faure affirme avoir dit au chef de l'Etat, au cours « d'un échange nourri », que « nous ne sommes pas l'extrême-gauche, la France insoumise ne l'est pas non plus, je lui ai dit qu'il fallait s'entendre sur un périmètre, continuer l'échange ». « Le casting ne m'intéresse pas du tout, je ne suis pas le DRH de la macronie. La seule chose qui m'intéresse, c'est de savoir ce qu'on va dire aux Français ». 

« Je crois qu'il a entendu le message des Français, qu'il ne pouvait plus être omniprésident. Quelle sera sa façon d'y répondre ? Sans doute est-ce en gestation dans son cerveau », a-t-il ajouté.

Philippe Gosselin juge minoritaires les LR qui prônent un « pacte de gouvernement » avec Macron

« On reste sur cette position qui n'est ni soutien ni opposition bornée », mais « pour l'instant », s'agissant par exemple de la crise de l'hôpital, « on n'a rien sur la table », affirme, sur BFM, le député LR de la Manche Philippe Gosselin.« Qu'il y ait un débat ne me choque pas » sur une participation au gouvernement, « mais il faut se méfier du piège, il y a une forte défiance des Français envers la majorité. S'associer en supplétifs à quelque chose qui n'est pas stable », n'est pas judicieux, met-il en garde. Un bureau politique doit permettre de trancher cette question ce soir.

LFI veut « discuter » d'un groupe Nupes, malgré le refus en face

La France insoumise veut « discuter » de la proposition de Jean-Luc Mélenchon de créer un groupe unique Nupes à l'Assemblée nationale avec ses partenaires socialistes, communistes et écologistes, malgré leurs réponses négatives, indiquent ses responsables.

« Jean-Luc Mélenchon ne fait pas une injonction, il fait une proposition », a fait valoir le numéro deux de LFI Adrien Quatennens sur Cnews. Il a souligné que LFI comptait « discuter » avec les membres de l'alliance de gauche Nupes, et a de nouveau justifié la proposition par le fait que la situation politique est « très instable, inédite », avec également un RN fort de 89 députés.

La « photo de famille » de la France insoumise

Autour de Jean-Luc Mélenchon, les députés de la France insoumise ont posé, ce mardi, pour une « photo de famille » historique. Le groupe parlementaire passe de 17 députés à 79. 

La nouvelle vie de Mounir Mahjoubi

Le député de la 16e circonscription de Paris, secrétaire d'Etat chargé du numérique jusqu'en mars 2019, annonce sur LinkedIn qu'il redevient entrepreneur, donnant rendez-vous dans quelques semaines pour « présenter » son « nouveau projet ». « Je pars avec le sentiment d'avoir été utile, à ceux qui sont éloignés du numérique, aux entrepreneurs innovants, aux citoyennes et aux citoyens que nous protégeons dans l'espace numérique », écrit-il.

Fin de la rencontre Jacob/Macron

Emmanuel Macron « a écouté », « il n'y avait pas de proposition », explique à la sortie de l'Elysée le président des Républicains, Christian Jacob, après sa rencontre avec le Président de la République. « C'est au gouvernement de décider de ses choix », estime-t-il, annonçant que le groupe LR à l'Assemblée nationale saura être « force de propositions », comme il l'avait déjà dit plus tôt dans la matinée sur France inter.

Olivier Faure est arrivé à l'Elysée

« Emmanuel Macron a été réélu, il est légitime, mais il n'a pas été élu pour un mandat clair », estime le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, avant de rencontrer Emmanuel Macron à l'Elysée, où il vient d'arriver. « Je viens avec ce que les électeurs m'ont demandé de dire. S'il dit qu'il touche pas au Smic, je dirai qu'il est totalement à côté de la plaque… », explique-t-il, disant vouloir une « volonté d'écoute » de la part d'Emmanuel Macron.

Olivier Faure compte dire à Emmanuel Macron « des choses très simples », avait-il avancé plus tôt sur franceinfo, « lui dire que ce pays va mal, est en colère, mais qu'il n'est pas bloqué, et qu'il y a des politiques possibles », citant une « revalorisation » du pouvoir d'achat et des pensions de retraites, « augmenter les salaires », porter le Smic à 1 500 euros, soit les propositions de l'alliance de gauche Nupes.

Joël Giraud candidat à la présidence de l'Assemblée nationale

Le député LREM des Hautes-Alpes annonce, sur LCP, son intention « de faire acte de candidature à la présidence de l'Assemblée nationale ». « Quand j'ai été rapporteur général du Budget, j'ai su travailler avec l'ensemble des forces politiques qui composaient le Parlement et que des choses avancent », justifie-t-il.

La majorité à la recherche d'un nouveau président de l'Assemblée nationale

Qui remplacera Richard Ferrand ? Selon une journaliste du Point, sur Twitter, la majorité va lancer aujourd'hui « un appel à candidatures » afin de lui trouver un successeur à la présidence de l'Assemblée nationale, après sa défaite dimanche soir, lors du second tour des élections législatives.

LFI fait sa rentrée à l'Assemblée… en dansant

Les députés de la France insoumise sont arrivés à l'Assemblée nationale, ce mardi, sous l'œil des caméras et notamment celle de LCP. Rachel Keke, Raquel Garrido, Danielle Simonnet et Aurélie Trouvé l'ont fêté avec quelques pas de danse. 

Borne réunit l'ensemble du gouvernement à Matignon en début d'après-midi

La Première ministre Elisabeth Borne va réunir l'ensemble du gouvernement à Matignon mardi en début d'après-midi. Parmi les membres du gouvernement attendus rue de Varenne figureront bien la ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires Amélie de Montchalin, la ministre de la Santé Brigitte Bourguignon, et la secrétaire d'Etat à la Mer Justine Bénin, toutes trois battues dimanche au second tour et qui devront donc démissionner.

Christian Jacob à l'Elysée pour rencontrer Macron

Le président des Républicains, Christian Jacob, est arrivé à l'Elysée où il va échanger avec Emmanuel Macron, deux jours après le résultat des élections législatives. Le Premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, y est attendu pour 11 heures.