Près d’un million d’entrées mais un primeur qui s’en va : à Saint-Ouen, la halle gourmande se réinvente

Après une période de fermeture estivale, Communale rouvre ses portes ce mardi sans son marchand de fruits et légumes, qui a décidé de quitter les lieux. Si l’espace bars et comptoirs culinaires fonctionne très bien, la zone dédiée au marché sera réorganisée dès la rentrée.

Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), février 2024. Le primeur qui était installé dans le marché de Communale, a décidé de cesser son activité. Il devrait être remplacé en septembre. LP/A.L.
Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), février 2024. Le primeur qui était installé dans le marché de Communale, a décidé de cesser son activité. Il devrait être remplacé en septembre. LP/A.L.

    La musique s’est arrêtée, les bières ne coulent plus et l’écran géant est coupé. Ces quinze derniers jours à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), c’était la période de fermeture estivale de Communale, après sept premiers mois de ripailles et d’apéros et un début d’été marqué par la diffusion des chocs de l’Euro de foot puis des épreuves des JO. Cette élégante halle à la fois « gourmande et culturelle » rouvre ses portes ce mardi 27 août. Certains de ses espaces serviront de « QG » à la délégation brésilienne lors des Jeux paralympiques de Paris 2024.

    Un commerce manquera à l’heure de cette rentrée : le primeur Racines — également installé dans le XVIIIe arrondissement de Paris — a décidé de quitter les lieux, où il tenait le stand de fruits et légumes. Si l’espace bars et comptoirs culinaires marche fort, cela semble plus compliqué pour la partie marché, dont les commerçants ont aussi regretté le peu de fréquentation pendant les Jeux olympiques.