On a coutume de dire que l'Orient fascine toujours pour ses mystères. En cette rentrée littéraire, il fascine pour sa simplicité. Deux écrivains ont choisi d'écrire une sorte de tai-chi littéraire : leur écriture épurée s'appuie sur la violence et l'arrogance du monde pour s'élever. Dans leur éloge de l'ombre des âmes, ils peignent des estampes de personnages dont la convalescence est plus importante que la guérison ou que leur propre mort.
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Pour âmes désorientées
Par Olivier Maison
Publié le