Citation de Pierre Corneille sur Mort, Dieu et Mourir

La violence avec laquelle s'est affirmée la suprématie des valeurs blanches, l'agressivité qui a imprégné la confrontation victorieuse de ces valeurs avec les modes de vie ou de pensées des colonisés font que, par un juste retour des choses, le colonisé ricane quand on évoque devant lui ces valeurs.

Une excuse pour le diable : on doit noter que dans cette affaire nous n'avons entendu qu'une des parties. C'est le bon Dieu qui a écrit tous les livres.

La vie est un flipper, j'évite les bumpers, Du tilt j'ai peur, comme un grand joueur.

Parfois, je me demande si Dieu nous pardonnera jamais pour ce que nous nous sommes fait l'un à l'autre ? Puis je regarde autour de moi et je réalise que Dieu a quitté cet endroit il y a longtemps.

Dieu sait qu' je n'ai pas le fond méchant,
je ne souhait' jamais la mort des gens ;
Mais si l'on ne mourait plus,
J'crèv'rais d'faim sur mon talus...
J'suis un pauvre fossoyeur.

L'enfance est le trou noir où l'on a été précipité par ses parents et d'où l'on doit sortir sans aucune aide. Mais la plupart des gens n'arrivent pas à sortir de ce trou qu'est l'enfance, toute leur vie ils y sont, n'en sortent pas et sont amers.

Apprenez, âmes vulgaires, à mourir sans murmurer.

L'homme n'emporte dans la mort que ce qu'il renonça de posséder dans la vie. En vérité, nous ne laissons ici qu'une écorce vide. Ce qui fait la valeur de ce trésor est en nous-mêmes.

Le rêve de la vie champêtre a été de tout temps l'idéal des villes et même celui des cours.

Le jour, c'est la vie des êtres, mais la nuit, c'est la vie des choses.

Que vous réussissiez ou non, peu importe. C'est la vie qui compte.

Je n'ai pas pleuré à la mort de mon père, de ma mère, de Carmet, de Barbara et de Truffaut. Car, pour moi, tous ces gens que j'ai aimés ne sont pas morts. Ils sont là, sans arrêt, autour de moi, et nous nous parlons.

Je sais qui vous êtes. Je sais ce que vous avez fait. Tu m'as pris mon fils ! Tu l'as laissé mourir dans cet endroit ! Tu as simulé sa mort ! On a eu des funérailles. On l'a enterré. Et maintenant vous me demandez mon aide ? Va au diable.

Le plus petit instant de la vie est plus fort que la mort, et la nie.

Pourquoi des êtres humains intelligents ne peuvent-ils discuter de leur origine sans impliquer systématiquement dieu ou des putains d'Aaiens !

La religion et la morale sont les piliers essentiels de la société civile.

Ton Kamasutra,
A bien cent ans d'âge,
Mon Dieu que c'est démodé,
Le nec plus ultra,
En ce paysage,
C'est d'aimer les deux cotés.

La conscience qu'un homme peut avoir de lui-même n'est autre que celle de Dieu à son égard.

La religion des grands consiste pour l'ordinaire à servir Dieu, sans désobliger le diable.

Ignorer ce qui s'est passé avant notre naissance, c'est rester enfant à jamais. Qu'est-ce que la vie humaine si le souvenir des faits anciens ne relie le présent au passé ?

O la belle chose ! Pouvoir achever sa vie avant sa mort, tellement qu'il n'y ait plus rien à faire qu'à mourir.

La vie est d'une incroyable richesse, et si nous n'y trouvons rien il ne faut pas en accuser la vie, mais nous en accuser nous-mêmes.

Le suicide est une mort qu'on ne donne pas à l'ennemi !

On ne décide pas de faire "partie de la vie de quelqu'un". Il faut être deux pour ça (aussi absurde que cela puisse paraître).

La vie devient une chose délicieuse, aussitôt qu'on décide de ne plus la prendre au sérieux.

Laisse moi te dire, je sais que tu ne veux pas écouter ton vieux père, moi aussi je n'écoutais pas le miens et je suis la pour te dire que tu devrais y faire attention cette fois ci. Quand la [...] ► Lire la suite

Pendant que nous parlons, la nuit tombe : la mort Se glisse ; et dans sa grande ombre, elle nous endort.

Le théâtre tragique a le grand inconvénient moral de mettre trop d'importance à la vie et à la mort.

C'est quoi une vie d'homme ? C'est le combat de l'ombre et de la lumière.

Le lion jeune le vieux surmontera - En champ bellique par singulier duel, - Dans cage d'or ses yeux lui crèvera, - Deux plaies une, puis mourir, mort cruelle.