Citation de Jean Kerleroux sur Mort, Mourir et Après

Le secret du succès est d'offenser le plus grand nombre possible de gens.

Tout ce qui paraît au-dessus de tes forces n'est pas forcément impossible ; mais tout ce qui est possible à l'homme ne peut être au-dessus de tes forces.

Et si la mort n'était qu'une infinie répétition du premier jour ?

Ce que l'homme voudrait, c'est vivre plusieurs vies. Et ce n'est pas possible parce qu'il n'en a qu'une, et en plus elle est courte.

Quand on ne sait pas ce qu'est la vie, comment pourrait-on savoir ce qu'est la mort ?

Dehors, c'est froid, y'a plus d'humanité. Un homme est mort inanimé devant un immeuble inhabité. C'est la crise ! La crise ? Qui est-ce qu'elle atteint ? Toi, moi ou le suicidaire qui escalade un toit ?

Chuck Norris est mort depuis 10 ans, mais la Mort n'a pas encore trouvé le courage d'aller lui dire.

Les têtes de mort ont toujours l'air de rigoler parce que les morts rient de s'être pris au sérieux de leur vivant.

Quand on voit les souris s'amuser sur la peau du chat, on mesure le défi que la mort peut nous infliger.

Il n'y a qu'une façon sûre d'être plus fort que la mort et de la narguer ici-bas, et c'est de vivre.

C'est à travers la mort que l'on connait la vie.

La mort est quelquefois tout un art de vivre.

La vie comme la mort n'est faite que de détails.

Le corps d'un ennemi mort sent toujours bon.

Aucun vrai fiasco n'a jamais commencé par l'unique volonté de prouver une simple compétence, il y a une devise des services spéciaux de l'armée de l'air britannique qui dit que « qui ne risque rien n'a rien », une seule pousse de [...] ► Lire la suite

La solitude n'est possible que très jeune, quand on a devant soi tous ses rêves, ou très vieux, avec derrière soi tous ses souvenirs.

Le vent faillit me faire tomber de la passerelle, dès j'y eus posé le pied. Il venait du désert, libre et sauvage. Il remplit mes bronches d'un seul coup, à éclater de chaleur, d'oxygène et de lumière. Depuis plus de vingt-quatre heures, j'étais mort à toute sensation, sauf à celle-là : l'appel de la vie.

Le livre que voici prouvera que la vie quotidienne d'un génie, son sommeil, sa digestion, ses extases, ses ongles, ses rhumes, son sang, sa vie et sa mort sont essentiellement différents de ceux du reste de l'humanité. Ce livre unique est donc le premier journal écrit par un génie

Il y a trois choses qui nous accompagnent jusqu'à la mort : le sang, l'urine, et les excréments.

Si par hasard, vous avez assisté à la représentation de Peter Pan, vous vous souviendrez que le chef des pirates était toujours en train de préparer son dernier discours, car il craignait fort que l'heure de sa mort venue, il [...] ► Lire la suite

Pour ceux d'entre vous qui ne sont pas au courant, c'est à cet endroit ci que repose en paix six des membres de l'équipe des Thundering Herd de 1970. L'écrasement d'avion qui leur a couté la vie à été tellement [...] ► Lire la suite

J'ai vécu quinze ans avec un homme très jeune, mort à 43 ans d'un infarctus. Il avait vingt ans de moins que moi, et notre différence d'âge ne l'a jamais gêné. J'ai aussi vécu avec des hommes plus vieux, certains [...] ► Lire la suite

La seule félicité humaine possible n'est-elle pas, ne se nourrit-elle pas de toutes douleurs, épreuves et angoisses ?

Le christ serait-il né mille fois à Bethléem,
s'il ne naît pas en toi,
c'est en vain qu'il est né.

Il faut qu'en toi Dieu naisse.
Christ serait-il né mille fois à Bethléem,
s'il n'est pas né en toi,
tu restes mort à jamais.

Rien n'est plus affligeant que la mort du coeur, la mort de l'homme est secondaire.

Le vrai sage ne craint pas la mort car il sait que la mort n'est rien. La conscience ne souffre pas puisqu'elle a disparu. Avec la chair qui pourrit, c'est l'esprit qui pourrit aussi, et les désirs, et l'angoisse.

Le découragement est la mort morale.

Le lion jeune le vieux surmontera - En champ bellique par singulier duel, - Dans cage d'or ses yeux lui crèvera, - Deux plaies une, puis mourir, mort cruelle.

La mort fut le premier mystère ; elle mit l'homme sur la voie des autres mystères. Elle éleva sa pensée du visible à l'invisible, du passager à l'éternel, de l'humain au divin.

Nous vivons la mort par intermittence et la vie comme un contrat que nous n'avons pas signé.