Citation d'Henri de Régnier sur Femmes, Elles et Mêmes

Tous les hommes ont les mêmes droits... Mais du commun lot, il en est qui ont plus de pouvoirs que d'autres. Là est l'inégalité.

Les femmes ne vous permettent pas de les lâcher quand vous en avez assez d'elles. Elles vous le permettent quand vous n'avez plus assez pour elles.

Il faut dire du bien des femmes en général - et en particulier à chacune, du mal de toutes les autres.

Le service public n'est pas désincarné. Ce sont des hommes et des femmes qui le font vivre, c'est un esprit qui l'habite.

Les femmes n'auront une véritable égalité que lorsque les hommes partageront avec elles la responsabilité d'élever la prochaine génération.

Certaines femmes se consolent de leur veuvage en pensant que personne ne risque plus de découvrir au réveil les rides nées dans la nuit.

La différence entre les femmes et les coïncidences, c'est qu'il y a des coïncidences qui ne trompent pas.

J'ai joué, je ne sais plus où Sur un billard d'étrange sorte Les billes restent à la porte Et la queue entre dans le trou.

Il n'y a pas des spectateurs pour rire et des spectateurs pour penser mais des hommes et des femmes qui ont le talent de faire les deux à la fois.

C'est avec passion et dévouement que je serai attentif aux besoins des femmes et me battrai sans relâche pour leurs droits.

Le mariage rajeunit les femmes et nous courbature.

Les femmes comprennent mal ce qu'est l'amour chez les hommes, elles sont constamment déconcertées par leur attitude et leurs comportements.

Les coeurs des femmes sont comme ces petits meubles à secret, pleins de tiroirs emboîtés les uns dans les autres.

Il est normal que les femmes qui ont les plus jolies mines du monde soient les plus susceptibles d'en retirer de l'or.

On attrape les lièvres avec des chiens, les femmes avec de l'argent et les sots avec des louanges.

La vie sexuelle des femmes est un « continent noir » pour la psychologie.

Nous avons contre les femmes laides qui nous font des avances une colère faite du regret des jolies que nous n'avons pas eues.

Les muses et l'amour ont les mêmes retraites ; l'astre qui fait aimer est l'astre des poètes.

Les femmes sont plus habituées à s'intéresser au-dedans des gens. Les hommes s'intéressent aux choses. A la fin de la vie, les choses nous lâchent, ils nous reste les gens.

Quand on dit que les mêmes causes produisent les mêmes effets, on ne dit rien. Car les mêmes choses ne se reproduisent jamais - et d'ailleurs on ne peut jamais connaître toutes les causes.

Le travail des femmes n'est pas un cadeau pour les femmes, c'est un cadeau pour la société.

Les femmes se défendent en attaquant, et leurs attaques sont faites d'étranges et brusques capitulations.

Outre que l'homme ne peut sans déroger s'abaisser à certaines tâches socialement désignées comme inférieures (entre autres raisons parce qu'il est exclu qu'il puisse les accomplir) les mêmes tâches peuvent être nobles et difficiles, quand elles sont réalisées par des hommes, ou insignifiantes et imperceptibles, faciles et futiles, quand elles sont accomplies par des femmes.

Pour savoir jusqu'où va la cruauté de ces charmants êtres que nos passions grandissent tant, il faut voir les femmes entre elles.

Il existe une zone de flou artistique entre le célibat dépressif et le mariage ennuyeux : baptisons-la bonheur.

Les femmes ont deux choix dans la vie : être sorcières ou chattes en chaleur.

Une femme qui a un amant est une femme heureuse ; une femme qui en a deux fait preuve de beaucoup de tempérament, mais une femme qui en satisfait trois... c'est du commerce !

Consacrez 5 minutes au début de chaque journée à vous souvenir que nous voulons tous les mêmes choses (être heureux et être aimés) et que nous sommes tous connectés les uns aux autres.

Oui, je sais, on va encore dire que je parle mal des femmes, mais moi je parle des femmes que je connais, que j'aime et qui savent que je les aime. Les autres, je n'en ai rien à battre, j'ai mieux à la maison !

Beaucoup de gens m'ont reproché d'avoir parlé, il n'y a pas si longtemps, du mariage homosexuel. Je ne pouvais plus me taire. Ce sont les droits civiques de notre époque. C'est l'enjeu de nos jours