Les hôpitaux se mettent en ordre de marche pour les JO
RÉCIT - À Paris comme en province, certains services ont été étoffés pour faire face à une affluence plus importante. Déjà, des voix s’élèvent pour certifier que les urgences à Paris seront vite saturées.
Alors que l’été est toujours la période où les hôpitaux réduisent la voilure de leurs effectifs et ferment, même, pour certains, les urgences, faute de personnel suffisant, les Jeux olympiques vont inverser la tendance dans les régions où vont se dérouler les épreuves. Au lieu d’un service minimum, toutes les structures concernées vont, au contraire, être sur le pont et être dotées de moyens étoffés.
Cœur névralgique de cet événement mondial, en accueillant quinze sites de compétition et des milliers de spectateurs pour la cérémonie d’ouverture, Paris et sa région parisienne vont ainsi muscler l’offre de soin. Car la venue de 15 millions de touristes, 6000 journalistes, 10.500 athlètes et 45.000 volontaires va mettre sous pression les hôpitaux. Depuis des mois, les acteurs de la santé se préparent à ce surcroît d’activité qui va accaparer l’Île-de-France, comme l’indiquent de concert l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) et l’agence régionale de santé (ARS).
Chacune de ces deux…
P-tit-Loup
le
Les nouveaux esclaves (je parle du personnel soignant), H.24, pas de 32 h, que dalle. Par contre 1,4 milliards pour une eau vaguement propre et que la reine des bobos aille faire trempette en combinaison isotherme, là c'est possible !
anonyme
le
Corvéable à souhait .... et avec le sourire
figminou
le
Pas d'inquiétude, il n'y a aucune voie libre pour les rejoindre.